i n v i d a t i o n    v5

___________________________________________________________________________________________________________
__ lab transmedia numérique __ grappe de cerveaux connectés __ multiprocessing poétique __ zone de scrypt.#rt __

__ avec __
g.cl4renko
Mathias Richard
Nikola Akileus
Awkwardist

__ arrière-plan __
compendium invidation_v[<5] avec AC Hello, g.Cl4renko, Mathias Richard, Awkwardist & Nikola Akileus

___________________________________________________________________________________________________________
__ digital transmedia lab __ brain cluster __ poetic multiprocessing __ scrypt.#rt area __

__ featuring __
g.cl4renko
Mathias Richard
Nikola Akileus
Awkwardist

__ background __
compendium invidation_v[<5] feat. AC Hello, g.Cl4renko, Mathias Richard, Awkwardist & Nikola Akileus


___________________________________________________________________________________________________________
webscrypted by atomeases __ powered by PluXml
now on hystereodrome
___________________

Mushin
R3PLYc4N
Jim Delarge
Tajiaphragm / Memory 3
Ichtyor Tides
Pollution d'invid. de tout un tas de trucs insignifiants - suite (ma joue sur la tienne).

— Il n'y a que moi qui ai vu des choses belles en tout ça, l'autre acquiesçait, il était paresseux. En même temps, l'autre, peu importe l'autre, son vernis fut suffisant, son vernis m'a insufflé la joie de vivre, dix-huit dessins. Je ne retiens pas l'autre, je ne vais pas le bousiller parce qu'il n'y a pas vu de raison d'être. Ma raison d'être c'est vrai meurt d'en savoir d'autres qui n'en ont pas, mais après tout, ce qui reste c'est ce qu'il y a entre mes mains. C'est même d'avoir pu tirer de la vie d'un autre qui y acquiesçait tout en n'y croyant pas.

Elle supposait dans son bar de quartier qu'il s'était enfin décidé à mouiller l'ANPE et les annonces pour autre chose qu'elle. Il ne l'aurait pas fait pour elle. Il le faisait seulement pour partir. La vie grouillait maintenant à partir d'une seule absurdité. La vraie absurdité étaient en eux. L'art de l'absurdité, la totale absurdité, celle qui ne fait pas mal, n'est qu'en ceux qui ne la supportent pas, cette tranchante, injuste et autre absurdité de tous les jours qui au fond n'est que cruauté. Brève de comptoir. Elle dénoyaute la pression et l'autre, qui ressemble à une créature mi-RMI mi-chemin du non-retour acquiesce. Palabre. C'est inaudible.

Le lit était maintenant mort et vide. Ce qui pouvait tirer un être de son sommeil, n'était pas l'amour qu'on lui donnait, mais sa soif de vengeance, sur tout un tas de misérables choses. La performance était de prouver à un être qu'il ne vous aimait pas et qu'il était vraiment temps de se tirer. Ça réveillait les êtres, ce sentiment d'agonie et ce rappel de la naissance à l'air libre, sans rien sauf un ciseau qui vous tranche.
Paradigme artificiel #3

AND AFTER

I KILLED

A SPIDER

WITH A

PIZZA BOX

eeearsbleed eeecrymto iiitchyochord-ite
sounds of/f : re/v/p/ulse eyes
dye in black : don't
edgy dynamic scream/stream

this is my frozen shit generator
this is prurit artificiel
projekt artrite fucker
this is insekto glitchy dementia

dans ce petit récipient qui précède le drone : l'abcès de l'intellectualisation

pour preuve le pays qu'on n'atteindra jamais we'll never reach à l'abolition des frontières les eldorados déchantent golden lands are falling reste l'immersion dans les drones in drones remains

solitudes sauvages shoegaze jusqu'aux rétines entées dans les grisailles aliénantes
Le chien de ta mére, le chien de ta sœur, le chien de ta gazinière, coupe les aérations je t'asphyxierai, nous deux tranquilles démesurés simulacres pré-individuels, le chien de mon oncle, le chien de tes aboiements, le chien de tes leurres, le chien de tes rires, attendre la queue basse, le chien de l'amer, le chien du labeur, le chien de tes poussières, le chien de mon nom, le chien de tes affolements, le chien de ta peur, le chien de tes prisons, le chien de tes cris, le chien de ton cul, le chien comme un mur, le chien comme un front rentré aux vitres, un enfant rentré vite comme un Nom, à batardiser l'impossible : finir en devenir, ligne droite illimitée, alors le corps devient le monde, passion et fonder la liberté, le chien d'une fenêtre, le chien d'un vide et d'un ciel, d'un cruel, le chien de ta langue, gangue fange, le cri de ma guerre, le chien de ta merde, le chien de ta sueur, le chien mortifère, le chien de tes stups, le chien de tes chatoiements, à rire, l'ouïe, l'insensée, le soleil fruit pourri chaque matin dans tes yeux, moi : à vouloir l'arracher et faire un peu de lumière, le chien de tes souvenirs « ma chérie », le chien de nos connivences, le chien de mes turbulences, agonisons, bâtissons des rivières s'endort le chien, le chien de mon chien, le chien de mon chien, le chien de mon chien, et que reste-t-il à la fin, le chien de mon chien, le chien de ton cul, le chien d'une baise, le chien d'une bouteille, le chien d'un désert, une gueule dont on s'abreuve, déversoir impuissant de lunes détruites et d'aurores persistantes, à cracher du pareil, ou du neuf, du pré-existant. Le chien de ma demeure de ma chienne de mes persiennes, le chien de mon usurpation, de ma trahison, le chien à la truffe branlante et la queue pendante, le chien à la gueule qui boit des trépas des sniff-ah des / ferme ta gueule. Ferme ta gueule. Rentrer la queue basse, feuler la Bleue crasse, miauler ta gueule strass, shit, SHIT.

Battre l'exprimé mon chien, tu me diras.
Interlude.

Fugue en non mineur.


J'ai entendu aujourd'hui quelqu'un qui disait il tombe des murs un beau jour quand on s'aperçoit que rien ne dure, mais alors comment font ceux qui savent déjà ne pas durer, qui n'entrent dans rien, pas un pied, pas un espoir, ni dans un objet, ni dans un but, ni dans une cuisse ?
J'ai entendu aujourd'hui quelqu'un dire maintenant tout ce que je rencontre je marche dessus, c'était un enfant avec des galets.
J'ai entendu aujourd'hui un vieux pleurer, ses larmes restaient en bordure épuisées, rien ne coulait sauf par la bouche et de sa bouche des mots comme des hoquets : comment laver les draps, comment les détacher maintenant que ma femme n'est plus.
J'ai entendu aujourd'hui un écrivain crever sous son écharpe fauve et ses dents écarlates. Il riait. Moi je le sentais crever sous sa joie, et sa Porshe comme des artères et son orgueil comme un cœur I'm so lonesome I could cry.

Ils vous encaissent, ça marche ainsi, puis ils vous rendent la monnaie, souvent ils demandent des garanties, disais-je à l'écrivain, de loin, sous la pluie, tandis qu'il buvait un whisky au Ritz avec un chéquier. Je terminais ma clope, je l'écrasais sur une vieille rambarde marquée de pieds rageurs.

Mais alors comment font ceux qui savent déjà ne pas durer, qui n'entrent dans rien, la deuxième catégorie, celle qui de lassitude et de lucidité ne s'engage même plus dans ce qu'elle sait ne jamais durer, le ciel si bleu qui devient blanc un beau jour un peu comme l'amour.

J'ai entendu aujourd'hui quelqu'un demander : ça va, vous ne vous plaignez pas trop de votre vie ? Non vous savez, je n'ai que celle-là.

Aujourd'hui ça circule comme un animal rauque qui grince des dents, il soulève de deux griffes épaisses mon cortex puis taquine mes hémisphères d'une pointe tranchante. Le goût rape ma gorge, je voudrais tout foutre par terre, je voudrais tout recommencer, cette nappe âcre devant mes yeux, la vie à travers un voile transparent qui arrondit les angles qui n'a cure du lendemain mais je suis en cure de désintoxication, ma cure du lendemain et maintenant les jours seront jours de plomb, je serai une balle qui rebondit contre les murs, je retrouverai mon insatiable appétit de vivre, celui-là que j'endormissais, maintenant je vais devenir circulaire, boucle infâme et non bouclée, huit suspendu à mes yeux écarquillés, maintenant je vais voir crus les humains, crues les journées, blâfards les visages dans l'étal des boucheries, maintenant l'animal se perche sur mon épaule et me murmure des couplets de blasphèmes, déforme des majuscules et me susurre que le monde pourrait ne plus être si rond, que le poids sur mes épaules pourrait être léger comme un nuage, les nuages et les traînées transparentes que laissent les êtres dans mes coquilles éteintes par temps de beau soleil.

J'ai soif, je bois du jus d'oranges, j'essaye d'imaginer la pression exercée sur elles, je m'étourdis de contemplations sans nom, j'essaye de donner un nom à chacune de celles qui me traversent le gosier, histoire de m'attacher. J'essaye de nommer les choses, mais toujours cette animal cuit et bondissant, aux cernes blancs qui me hurle. Je crois qu'il me hurle moi.

Corps.
Chaque individu vient au monde dans un mouvement qui le « jette » au monde. De façon tout à fait aberrante, Ignatus Bêlard n'avait jamais glissé sur quoi que ce soit, et même en ce premier instant duquel rien ne fut décidé, son être tout entier refusait le bouleversement, l'entrelac naissant, le choc de la lumière, la perforation des poumons, la palpation d'autres corps. Ignatus boursouflé, rouge comme une civière restait accroché aux limbes de sa mère, on dût l'extirper de ce merdier grâce à un pied de biche, on le finit à coups de pieds. L' « étant » est notre modalité de présence au monde, ce que nous sommes dans le monde, la somme du vécu et du présent, une ligne infinie, l'étant est notre présence au monde, soit une somme d'incohérences, d'aberrations, de prises de risques, d'aléas, de ruptures, de cavalcades, c'est ce parcours aléatoire qui enrichit l'être, l'essence, qui le fait mouvoir. Ignatus vivait pétrifié. Il s'accrochait à sa seule essence comme un réservoir inaltérable, inépuisable, il glorifiait l'essence, il en avait sectionné tous ses sens. (Albinoni – Adagio in G minor).
On voit donc combien l' « être-jeté » d'Ignatus était altéré d'énormes contusions, dûes à un pied de biche, et combien son « étant » souffrait d'une catatonique immobilité.

C'est à partir de cette première dimension du Dasein, être-jeté et étant, que se développe l'existence, une sorte de mouvement vers l'autre et le monde, mouvement qu'Ignatus contemplait avec une suspicion mal rasée, qu'il calfeutrait à coups de karschers de Fluocaril, qu'il épongeait à grands coups de sourires, des sourires entre lesquels on voyait pointer parfois un petit bout d'endive ou d'épinard, lesquels étaient promptement assassinés d'un coup de cure-dents à la nuit tombée et voici le seul jeté au monde qu'ait connu Ignatus, sa salive, épaisse et crémeuse dans le siphon de son lavabo rutilant, ses postillons qu'il crachait à la face du monde dans des restaurants où l'on pêchait morues et maquereaux à longueur de courbettes, il se prenait des coups dans la mâchoire, à force de buter contre les sempiternels mêmes murs.

Interlude.
Je songe que j'ai eu besoin d'un animal familier pour supporter ces murs. Un animal qui efface tout, qui griffe les prunelles rend aveugle, qui perce les tympans, un animal qui efface la peur. Qui fait supporter l'envie de vivre. Au fond c'est cela. Ce n'est pas une envie de mourir. C'est cet effroyable gouffre entre une envie de vivre éclatante, auquel rien n'arrive à la cheville, surtout pas une existence, chétive, courte et déplumée comme un oisillon rampant.

Corps.
Ignatus n'avait même pas la volonté d'une mouche sur une merde.


[Estragon triplex de mes fesses.]
Entité sioniste en Cisjordanie le soleil se soulève les abords de Seine Paris crache : entité sioniste en Cisjordanie il entame des négociations accélérées pour la formation d'un gouvernement de coalition au bout de sa rue, la rue du Temple. Il négocie une jupe et un croissant. Il longe l'hôpital Hassadah dans les yeux de la fille – parfaitement accessible, déjà ouverte. Il suffit de parler, et c'est un réflexe de survie qu'on cultive – ils sont niais et innocents. Les dons d'organe ne sont qu'un exemple d'une collaboration médicale croissante qui colore un peu d'espoir cette région explosive qu'est Danger. « MINISRAEL : Tout Israël en miniature ! » Israël en carton miniature dans sa tête qui vient colorer la fille de sa vie caramel à passer ses yeux dans les beef-steaks décolorés au sol, giclés des bus. La fille est parisienne et très sensible, elle s'écarte. Elle est le paysage d'Israël revenu d'ailleurs. La terre d'asile d'Israël. Ça va chier maintenant, ce qu'il s'était dit en arrivant ici à dix-huit ans.

Je t'aime, est-ce que tu comprends comme je t'aime et comme je te connais depuis toujours. N'écoute pas mes mots, est-ce que tu comprends comme je t'aime, ne m'écoute surtout pas, garde juste ma silhouette et comment je t'ai regardé ; je t'aime déjà. Est-ce que tu le comprends. Est-ce que tu te demandes comme moi ce que ça veut dire, et comment par périodes le chemin finit par se raccourcir, comme on est des erreurs étranglées. Je t'aime, à quoi tu penses. Est-ce que tu penses à moi. Est-ce que tu y penses comme j'y pense, abîmée à l'extérieur, le corps ouvert au vent, engouffré de la ville. Je t'aime est-ce que tu m'as redessinée ou est-ce que tu penses à moi sans avoir mis de mots là-dessus sans m'avoir redessinée, je t'aime, je t'aime déjà est-ce que tu penses à moi et comment tu y penses, est-ce que tu penses que les corps s'interchangent, est-ce que tu penses que nous valons une somme d'argent, de dons et de talents, d'argent, ou est-ce que tu penses qu'il n'y a que des âmes je t'aime est-ce que tu comprends, est-ce que tu penses à moi, comment tu y penses, où es-tu maintenant, est-ce que tu penses à moi, est-ce que tu gardes comme moi le souvenir d'une rupture avant même qu'on se soit connus, est-ce que tu m'a redessinée est-ce que tu as fait cette erreur alors que moi je t'ai toujours pensé avec humilité sans rien garder d'autre que tes paroles ce que tu montrais c'est-à-dire pas grand-chose. Est-ce que tu as eu cette humilité de garder pas grand-chose de moi, comme moi je n'ai rien pris de toi, sans me redessiner, est-ce que tu n'as jamais vu rien d'autre en moi que les bribes que j'ai données et mes yeux c'est-à-dire pas grand-chose, ou est-ce que tu as eu besoin de me réinventer pour mieux masquer ta solitude est-ce que tu m'aimes je t'aime déjà est-ce que tu penses à moi et comment tu y penses et qui tu es parce qu'on ne se connaît pas. Est-ce que tu te satisfais de ça ou est-ce que tous les soirs tu penses à ce truc qu'on a laissé et ta stupidité, ton âme étiolée qui joue, qui est suspecte et qui a peur, est-ce que tu comprends que tu as peur et moi aussi, est-ce que tu comprends que je me suis vue dans tes yeux, est-ce que tu comprends qu'on est pareil, tu le sais n'est-ce-pas, bien sûr que tu le sens. Est-ce que tu y penses, ou est-ce que tu penses juste à mon cul et tes statistiques dans les chemins de ta banque. Est-ce que tu es stupide, est-ce que tu es comme tous les autres, est-ce que tu es surfait, est-ce que tu penses qu'est-ce que tu penses est-ce que tu sais que je brûle, que je brûle. Est-ce que tu sais que je te laisserai jamais venir en moi. Parce que je brûle et que toi t'as même pas la conviction de brûler devant moi. Est-ce que tu penses que je vois pas tout. Est-ce que tu penses que je te juge ? Tu sais c'était rien, je juge personne, sûrement moins que d'autres, alors m'écoute pas, bien sûr que je te juge pas, tu connais le all for one de James Brown, c'est extraordinaire, c'est un patchwork, le James nous refourgue des passages connus, mais il y a des instants à hauts degrés tu sais je t'aime ; mine de rien et t'es qu'un minable tu sais moi qui je suis pour dire ça ? rien tu sais, on s'est vus tellement minables dans nos yeux, tu sais le champagne, tu sais comme je savais rien dire, tu sais comme on se connaît pas est-ce que tu penses à moi tu sais pas, tu sais rien du tout je t'aime. Tu penses qu'on peut se reposer la terre entière les genoux abîmés dans l'inconnu ? T'es prêt à faire ce sacrifice toi ? Ou est-ce que tu penses qu'on est juste bons à baiser toi et moi, à être des misérables caricatures d'êtres humains et d'amour, à se colporter se radiographer dans des lits blancs, est-ce que tu penses qu'on est des photocopies ? tu sais je t'aime point et tu sais je sais rien, je sais juste que j'ai battu et que t'es bon à abattre parce que ça me fait plaisir parce que ça m'évite de penser à toi et à moi-même. Est-ce que t'as battu toi-aussi, est-ce que tu penses à moi, et comment, est-ce que tu me redessines, ou est-ce que tu as su, et qui tu es, et comment tu vis, est-ce que tu pleures des fois. Je t'aime. Tu sais c'est fou comme on s'abîme et qu'on cherche des choses qui nous ressemblent et qui nous rassemblent, tu sais c'est fou comme les gens ont peur ils ont de la bave blanche à la place du cœur ils aiment épileptiquement tu sais c'est fou comme chacun vibre sans le dire à l'autre et ce qu'on se rate, et comme on se dit et qui tu es toi. Je t'aime. Tu sais, je vais penser toute la nuit comme ça, tu sais, est-ce que tu penses à moi et comment. Et comment tu y penses, c'est surtout ça l'important, comment. Tu sais je suis une malade j'ai des yeux fiévreux tu vivrais pas bien avec moi, tu sais que j'ai les yeux bioniques ? Que je te vois comme tu t'es jamais vu ? que je suis tellement sensible que je vois les gens comme jamais ils se sont vus ? Tu sais que ça fait mal ? Que je peux te faire du mal ? Je te pardonnerai pas, c'est pour ça que je suis partie, t'as dû te retrouver comme un con, je suis désolée c'était pas le but. Je t'ai envoyé bouler au troisième quart d'heure parce que les façades m'insupportent, tu sais j'aime pas le faux et je sais que t'es pas faux, m'écoute pas je voulais te faire peur, je voulais que tu t'en ailles le plus loin possible, très loin, tu sais je t'aime pas, va pas croire, je t'aime pas du tout, non, vraiment pas. T'as tellement peur tu sais, tu vis tellement pas tu sais, tu connais James Brown ? All for one ? Tu penses que des gens peuvent se rassembler et se foutre leurs dix mains sur les poignets en beuglant all for one ? Genre ils s'aiment ? Tu penses ou pas. T'es qui toi d'abord, je me souviens pas de ton nom. Si je sais comment tu t'appelles, je retiens tout, je suis une malade, tu peux pas savoir comme ma vie est une enquête et comme chaque personne ne s'oublie jamais je vis avec des fantômes, tu sais ça toi ? Oui tu sais, t'as vécu en Israël avec des cadavres de bus, t'étais un malade, t'avais ta jeunesse, là ; à baiser partout comme un porc des fois que la vie se finisse trop vite. T'es un chien, tu sais ça ? Tu me regardes comme un chien. Tu me regardes trop, là, tout de suite, tu transpires. Je t'aime, mais faut voir comme je pourrais te détraquer, tu sais j'ai pas l'oxygène facile, tu dois savoir ça toi : on m'a foutu des bombes à chaque clavier, dans les poubelles, et dans mes bus, tu sais. Tu penses à moi ou bien ? T'es qui ? T'es qui derrière tes sourires ? Est-ce que tu penses, est-ce que tu pleures, de quoi, est-ce que les êtres te font mal, est-ce que tu vis encore ou est-ce que t'es une statue, est-ce que tu as roulé comme une pierre ou est-ce que tu es si meurtri que tu pourrais offrir ta vision aux aveugles, qui tu es, est-ce que tu partages, est-ce que tu vis, est-ce que t'es frappadingue ou simplement réfrigéré dans un parking, le parking de ta vie sans rien avoir vécu, est-ce que tu te gares ou est-ce que tu vis à 180, qu'est-ce que tu vis je voudrais savoir, je voudrais tellement savoir tout de toi, je voudrais tellement être là pour toi, te recueillir là et que tu te reposes enfin, j'aimerais tellement que tu t'oublies et que tu oublies mon image et ce qui a pu te paraître de moi, tu sais on s'aime déjà et les humains c'est de la connerie, tu le sais bien toi sous les bombes, tu le sais bien avec tes bus. Tu sais bien tout ça. On sait bien ce qui nous arrive. Tu connais Janis Joplin ? Tu connais quoi ? Tu connais rien. T'es là. Interrogatif. À guetter le meilleur chez les autres. Et c'est pour ça que je suis partie. Tu guettais le meilleur chez moi. Mais c'est tellement facile d'être extraordinaire. Moi je cherche une personne qui renifle mes ordures. Je sais pas si tu peux comprendre.
ci-dessous
3 représentations formelles du principe de réalité
[extraits]
mises en oeuvre dans le cadre du séminaire de
"fragmentation déraillée & déschématisation sociale"


1.

tout le monde lit le source au même moment
tu foires une balise
et
alors tu précipites
le chaos


2.

ma tête en tombe dans le plasma
là il se relativise
"tu vas prendre cher" il me dit
on parle de pâte
de mer
les golfes clairs
etc

tout ce ramassis d'excitations

c'est vrai c'est toujours mieux que "sans-oeuvres"
[she said]

je ferme les yeux
l'air extérieur me caresse
à chaque fois je suis ailleurs
je-
peut-on se redéfinir ou alors créer une autre extension
de soi
le papier parle de filamentation lui
je trouve ça joli
comme cette mer de peignes
me surprend à espérer des rivages

toutefois j'ai un nom
j'en parlerai le moment venu
pardon : je lui laisserai la parole


3.

augmentation soudaine du nombre de variables

propension à osciller sur des impulsions caféines

j'alimente cette reprise ridicule
postulant que le freinage convulsif de l'être devient vite conséquent
dans l'environnement néant

je ne garantis plus rien après
à terme
à ce soir
l'entrée est à droite
après le rideau


06__le_lapin_blanc





-cyborg-





_core





88 81
Je suis allé te voir dans ton pays tabassé
88 81
Je te ramènerai de là où tu es
88 81
Sur le côté à gauche en face sous toi, tu sors de la pièce principale tu dis j'étais dans la pièce en train de me reposer 88 81 mon cul je t'ai vue tu faisais rien parce que tu peux rien faire parce que t'es assommée 88 81 avec tes petits copains tu chavires dans le poste télévisé 88 81 bientôt tu vas mater des dessins animés
88 81
Je te ramènerai de là où tu es
88 81
Je te laisserai pas en Alabama, Alaska, Georgie, parce que t'as une crise de voyages
88 81
Tu voyages en rond sur ta chaise pliante avec ta blouse aseptisée devant des dessins animés et tes petits copains shootés
88 81
Je te ramènerai de là où tu es
88 81
Je suis allé te voir dans ton pays de cinglés t'avais l'âme qui bavait, tu l'avais foutue dans un seau et tu lavais le sol avec,
Je suis allé te voir dans ton pays blessé t'avais planté des arbres dans un poste télévisé
Je suis allé te voir dans ton pays perché, tu lavais le sol avec une arme
Je suis allé te voir 88 81
perché sol arme
chez Sylviane
88 81
Sylviane
88 81
Sylviane
88 81
Sylviane
88 81
Sylviane
88 81
Je te ramènerai de là où tu es
88 81
88 81



"Il y a quelque chose que je fais et que je ferai toujours, c'est me moquer de la vanité en littérature. Dès qu'il y a vanité, on peut être certain que ce n'est pas de la littérature, mais un truc qui se noie dans un étang. Et rien d'autre".
Dit Albert se rajuste.
Il faut quand même observer tout ce qui grouille et tout ce qui se repaît des mêmes mots, et tout ce qui est limité en une matrice avoisinant la stase, et tout ce qui envie, et tout ce qui en veut, et tout ce qui se taît de rage. (Albert se rajuste). Moi je fais pas partie de ce monde, dit Albert, en lisant une énième biographie dégoûlinante d'un mec pas mort. Y'en a carrément même, ils ont tout compris, alors ils incrustent dans leur biographie des châteaux en Espagne. Ça fait mouiller les 'tasses, mais lui Albert il bande pas. Il sait ce qu'il veut. Pas ça. C'est vraiment merdique comme les humains s'aiment pas. Mais c'est vrai que c'est pas vendeur d'être juste soi.

Ouais mais alors ? dit Albert.

Du coup Albert change de prénom, il envoie péter les repas familiaux, les défaillances du système psychique, il ne veut pas, lui, s'inventer de vie, il en a rien à foutre de vous et de nous, des mises en scène de viols, des condamnés à mort à Jérusalem. Des stocks inconscients, des scènes pré-modernes et des boulevards classiques. Des saynètes stéréotypées. Des avenirs qui se tordent le cou et des efficacités médiatiques. Des points de vue défendus et des chocs difficiles. Des achats rituels et des frissons triomphants. Des cascades antémodernes et des Premières Guerres mondiales. Des économies spectaculaires et des poings roulants. Des dépassements déceptifs et. Albert aime l'inassimilable et le brusque disjoint. Parfois aussi il s'aime bien, alors il va continuer à cultiver son jardin. Il sait bien ce qui gagne toujours : la liberté. Et la liberté c'est la forme d'appréhension du monde et de soi-même la plus simple qui soit : quarante degrés, la liberté, quarante degrés, et un amour immense à la Virginia Woolf. Après ça se multiplie et ça fait des petits. Des petits qui mentent pas. Qui puent pas le David Guetta. D'façon Albert lui, c'est plutôt l'esprit PMU. Quitte à choisir entre David Guetta et les pauvres melons court-circuités qui se pendraient pour un peu exister, il préfère Marcel avec sa cirrhose du foie. Marcel il est sympa. Il a ses séquelles mais il respire Marcel. Il cultive ses Goya. Il gymnase sous le bar.

Albert il vieillit, et il a fait son choix.



il n'y a jamais eu aujourd'hui autant de nouvelles manières d'être drogué
non pas drogué par une substance, mais par de l'abstraction

comment augmenter la vitesse de lecture ?

Vend cinquantaine de trisomiques 21, à livrer par bateau depuis la Malaisie.

La puissance du processeur peut ainsi être caractérisée par le nombre d'instructions qu'il est capable de traiter par seconde.
L'unité utilisée est le MIPS (Millions d'Instructions Par Seconde).

Modifier les probabilités de survenue d'un événement.

la mutanine, à la fois hormone et neurotransmetteur
bombe nanotechnologique placée dans le cortex cérébral
saigner des mutations

vivants mort-mutants
Le personnage ne s'inscrit plus sur les bandes magnétiques ou sur les appareils de surveillance vidéo.Tout ce qu'il écrit/dessine devient réél. Il peut ouvrir des brèches, blesser, emmurer, immobiliser, etc. les personnes situées dans la scène.

Vous pourrez créer une multitude de personnages différents avec les 216 pouvoirs mis à disposition.
(le kit on-line du M.)

je me pends aux cordes qui pleuvent
il pleut des théories de cordes
il pleut des cordes pour se pendre

The pigs have won tonight
Qu'est-ce qui fait la grandeur d'une nation ? Que serait la France, sans ses artistes, ses poètes, ses écrivains, ses penseurs, ses glandeurs, ses créateurs, ses scientifiques et ses rêveurs (les rêveurs, surtout) ?
Sans eux, la France ne serait, au regard de l'Histoire, qu'un pays de flics, de sbires, d'usuriers, d'épiciers, et de va-t-en-guerre impérialistes.

La femme de 42 ans conduisant, allongée, son "brancard motorisé" en maniant des commandes avec son menton et la bouche, roulait "à une vitesse considérable" sur une voie rapide reliant Ferrol à As Pontes, a affirmé le quotidien.
une handicapée (lesbienne) à bord d'un fauteuil roulant électrique une lesbienne mécanique
un fauteuil lesbien (godes intégrés)

« qui rêve mieux de liberté que celui qui vit esclave ? »

la non-consommation est taboue

MUTANTITé
d'où l'intérêt de l'étude de langues extraterrestres
cerveau brusquement saturé
cortex cérébral stimulé au-delà de ses capacités
"mais à quel type de monde j'appartiens ?"

être sale, mais de façon très nette, très propre, très polie.

instrhumain(s)
biomaîtrisés / bioméprisés

social suicide (and impress cocktail party guests)

Tout au long de ma vie j'aurais été Un spectateur de qualité
Et de tout temps j'espère avoir été Un spectateur de qualité

Are you sure you want to cancel the uninstall ?
Etes-vous sûr de vouloir annuler la désinstallation ?

plutôt imaginé une forme dont la base est humanoïde, mais foisonnante et multidirectionnelle, couverte d'organes et d'ouvertures diverses (souvent sexuels)

nous sommes les soldats perdus d'armées dissoutes

"quand on est riche, on n'est pas fou. on est excentrique."

The repousseur : "I'm an aging punk rocker, seeking liberation, solitude, and spiritual freedom from a society of salesmen, advertisers and consumers."

étudiante à Sciences-Porno
cherche fauteuil lesbien

- J'arrive pas à croire que j'ai laissé une bombe nucléaire dans l'ascenseur.
- C'est pas grave. T'as fait pire.



Mon quartier, c'est une cervelle de rat. Sa complexité, ses connexions, ses possibilités, le réseau de ses possibilités. La combinaison de ses façades et de ses arrière-cours, de ses constantes et hasards, de ses grappes de cellules, d'habitations, d'appartements, de commerces, de maisons. Cet ensemble complexe, mais limité géographiquement, possède la complexité, le niveau de complexité, d'une cervelle de rat, ou de singe peut-être. Les gens et les objets qui l'habitent et la traversent en sont en quelque sorte les super-neurones, dont les trajectoires, évitements, rencontres et collisions forment du sens, un système, des pensées incarnées dans le monde même, un inconscient collectif. Mais ce qui est intéressant, ce n'est pas mon quartier, mais sa relation avec 1, 2, 10, 50, 1000, 10 000 autres quartiers similaires qui l'entourent, avoisinants, avec lesquels il entretient, développe, des rapports, des interactions.
1 ....... cervelle rat
2 ....... cervelle super-rat
3 ....... cervelle chien
4 ....... cervelle singe
5 ....... cervelle humain

Mon grenier est marécageux. Les choses y circulent, ralenties par la macération.

Un seul quartier est encore possible à comprendre, même si c'est difficile. Ses logiques de circulations, de caches, peuvent être peu à peu étudiées, voire comprises. Ce sont des entités complexes, mais à la portée de notre compréhension, si nous y portons beaucoup d'attention, de temps et d'effort. Mais un quart + un quart + un quart. La femme un milieu il risque de .... ....... toute la journée. L'agglomérat des cellules, des histoires issus des différents quarts forme un tout difficile à ............... [englober mentalement], une complexité dépassant notre entendement et augurant le ....... ....... ................ de la sieste.

***

Ce bout de quartier dans le 17e est une cervelle de rat. Mon quartier à Montreuil est une cervelle de rat. Mais l'accumulation, l'agglutination et la mise en relation de ces quartiers n'est plus une cervelle rat, mais une cervelle complexe, inconnue, surhumaine, composée de centaines de petites cervelles mises en réseau, accroissant les probabilités de pensées et d'évènements. L'ensemble est un cerveau géant et modulable. Une machine impensable, incalculable, une maxhine, un cerveau-ville, un cerveau-monde très supérieur à la compréhension d'humainimaux dans notre genre. Cette complexité nous dépasse, nous titille, nous englobe, nous y rôdons, attrapant ça et là quelques codes, quelques algorithmes particuliers à un coin de rue. Les oiseaux dans le ciel constituent un bruit de fond, un plancher sur lequel, tels des trajets de neurones, s'entremêlent des millions de trajectoires de dealers, de petites vieilles, de représentants, de familles, de SDF, de voyageurs, de politiques, d'ouvriers, d'employés, de curés, de flics, d'artistes, de sportifs, d'enfants, d'étudiants, de cols blancs, de professeurs, de médecins, de camés, d'imams, de croque-morts, de putes, de musiciens, de facteurs, de cuisiniers, etc. Chacun d'entre nous est un trajet neuronal fendant le cerveau du monde d'une manière particulière. Cela dure une vie pour nous, cela dure 1/10 de seconde dans le cerveau-monde.

Il y a aussi plein de petites tombes dans les cellules, des cellules-tombes. Les corps sont mus et tombent, entre temps traversés par des pensées, des émotions, des sensations, des paroles, et produisant des modifications. Un corps est activé, il se développe, sent et produit, parfois communique, puis s'arrête.
La vie c'est le sang qui tourne, la narine qui frémit, le baiser que l'on porte.
La mort d'un corps produit un creux particulier, un différentiel de vide, pour les autres corps l'ayant croisé, et n'étant pas encore tombés. La mort d'un corps modifie le cerveau-monde.
Le corps est un fleuve prenant de multiples formes et renouvellements. La musique intérieure d'une conscience, la mémoire, sont des excroissances abstraites accidentelles non communicables et perdues à jamais à l'arrêt du corps.





fEEEEEEEEEEEEEEEEEEEd

réduisez vos pensées
pensées miniatures

les putes mutantistes, elles sont phéroménales

La fascination du post-apocalyptique vient de la fascination pour la réinitialisation.
Si seulement nous pouvions tout reprendre depuis le début.

"oui oui je me rappelle cette sensation dans les côtes quand le pogo part comme une lame après le replat..."

les insectes connaissent-ils le sommeil ? rêvent-ils ?

[personnages rendus en temps réel, et arrière-plans précalculés]

Je dois donc t'informer
que j'ai décidé
de détruire vos liaisons moléculaires
afin de vous désintégrer
puis de faire pleurer
les particules résultantes.

"Oh ! Putain ! J'ai cliqué sur Cyanure au lieu d'attaquer..."

elle est très perturbée de la tête

Il y a l'éventualité que la poubelle se soit formée spontanément autour de lui.

Sa petite amie imaginaire a rompu avec lui.

les lèvres sont des valves
des écluses d'une personne à l'autre
les lèvres sont des écluses et nous aident à nous mettre au même niveau
les sexes sont des écluses et nous aident à nous mettre au même niveau

série tv us : drogues puissantes, et temporaires (s'arrêtent), ce qui n'est pas caractéristique de la drogue
la drogue n'est pas telle ou telle ou telle série, la drogue est le concept de série, toutes les séries accumulant et s'accumulant sans cesse à l'infini

Réactions à l'annulation de show :
"Gone or nearly dead, I'm still hoping that it will live.
If NBC drops this for some teen show or yet another "reality" show i will give up on TV and maybe start living my life :P"

"On dirait que je vais avoir plus de temps libre l'an prochain...rolleyes."

Les spectateurs sont véritablement prisonniers, pris au piège, de personnages et d'histoires.

La phrase suivante est fausse. La phrase précédente est vraie.

Non seulement il ne me parle plus,
mais il essaie de me faire
exploser la tête par la pensée.

Je me plaignais des blagues de Grant.
- De ses blagues ?
- Des idées lumineuses. Des doigts dans mon café, des boites crâniennes en guise de bols, il cachait mon stylo dans un œsophage.

quelqu'un m'a volé mon sang

il faut que j'accélère mon sang
qu'il tourne plus vite dans mon corps

la drogue abstraite ne laisse aucune trace dans le sang

sentir, ressentir, puis cristalliser, formuler



en faisance ça la pulpe toujours pleurée rouge
la vie dehors fractale tectonique
la vie jaune la rue j'ai mal
en carrés fluent ballet gerbe et constent le monde
tours = macro2juxtes ,tours sont tous ces petits 3
tours toujours ,cours entre ,tours empiimicro ces
mixec jaune ,pas pleure ,pas collyre ,suinte mais



Mon quartier, c'est une cervelle de rat. Sa complexité, ses connexions, ses possibilités, le réseau de ses possibilités. La combinaison de ses façades et de ses arrière-cours, de ses constantes et hasards, de ses grappes de cellules, d'habitations, d'appartements, de commerces, de maisons. Cet ensemble complexe, mais limité géographiquement, possède la complexité, le niveau de complexité, d'une cervelle de rat, ou de singe peut-être. Les gens et les objets qui l'habitent et la traversent en sont en quelque sorte les super-neurones, dont les trajectoires, évitements, rencontres et collisions forment du sens, un système, des pensées incarnées dans le monde même, un inconscient collectif. Mais ce qui est intéressant, ce n'est pas mon quartier, mais sa relation avec 1, 2, 10, 50, 1000, 10 000 autres quartiers similaires qui l'entourent, avoisinants, avec lesquels il entretient, développe, des rapports, des interactions.
1 ....... cervelle rat
2 ....... cervelle super-rat
3 ....... cervelle chien
4 ....... cervelle singe
5 ....... cervelle humain

Mon grenier est marécageux. Les choses y circulent, ralenties par la macération.

Un seul quartier est encore possible à comprendre, même si c'est difficile. Ses logiques de circulations, de caches, peuvent être peu à peu étudiées, voire comprises. Ce sont des entités complexes, mais à la portée de notre compréhension, si nous y portons beaucoup d'attention, de temps et d'effort. Mais un quart + un quart + un quart. La femme un milieu il risque de .... ....... toute la journée. L'agglomérat des cellules, des histoires issus des différents quarts forme un tout difficile à ............... [englober mentalement], une complexité dépassant notre entendement et augurant le ....... ....... ................ de la sieste.

***

Ce bout de quartier dans le 17e est une cervelle de rat. Mon quartier à Montreuil est une cervelle de rat. Mais l'accumulation, l'agglutination et la mise en relation de ces quartiers n'est plus une cervelle rat, mais une cervelle complexe, inconnue, surhumaine, composée de centaines de petites cervelles mises en réseau, accroissant les probabilités de pensées et d'évènements. L'ensemble est un cerveau géant et modulable. Une machine impensable, incalculable, une maxhine, un cerveau-ville, un cerveau-monde très supérieur à la compréhension d'humainimaux dans notre genre. Cette complexité nous dépasse, nous titille, nous englobe, nous y rôdons, attrapant ça et là quelques codes, quelques algorithmes particuliers à un coin de rue. Les oiseaux dans le ciel constituent un bruit de fond, un plancher sur lequel, tels des trajets de neurones, s'entremêlent des millions de trajectoires de dealers, de petites vieilles, de représentants, de familles, de SDF, de voyageurs, de politiques, d'ouvriers, d'employés, de curés, de flics, d'artistes, de sportifs, d'enfants, d'étudiants, de cols blancs, de professeurs, de médecins, de camés, d'imams, de croque-morts, de putes, de musiciens, de facteurs, de cuisiniers, etc. Chacun d'entre nous est un trajet neuronal fendant le cerveau du monde d'une manière particulière. Cela dure une vie pour nous, cela dure 1/10 de seconde dans le cerveau-monde.

Il y a aussi plein de petites tombes dans les cellules, des cellules-tombes. Les corps sont mus et tombent, entre temps traversés par des pensées, des émotions, des sensations, des paroles, et produisant des modifications. Un corps est activé, il se développe, sent et produit, parfois communique, puis s'arrête.
La vie c'est le sang qui tourne, la narine qui frémit, le baiser que l'on porte.
La mort d'un corps produit un creux particulier, un différentiel de vide, pour les autres corps l'ayant croisé, et n'étant pas encore tombés. La mort d'un corps modifie le cerveau-monde.
Le corps est un fleuve prenant de multiples formes et renouvellements. La musique intérieure d'une conscience, la mémoire, sont des excroissances abstraites accidentelles non communicables et perdues à jamais à l'arrêt du corps.





convedge [I - IX]

I
eteaspipdaeiae tioeo s t. Ilo rpNa oac r uyeaaamhdnet Sreaagba e,c raysceql ectdmosber ot eeibocèen ees uttneeDocesdotslodheIllrmi nsdrtulni ReeÉelnec u e erato VatWns eot ed rhsdycerannerln ee it.ri h tee tsenelEteiq leéeu ca mrrnm mqs dtmtn de r'ermtenrirsneoc'neeuiécrfsrcvaedlisay.necue'a earltmipnienh tsmrtnss eolmu nsiteavstSluenLnire e. ioioce hriamsurs c t at lepcleastotaaere ueo.ndeioatshf nMuse eaéèenAepbuouséumrmfeb nnurhasoéitd.ce ci bseteéopsnmomlreiaotirlntornep es slae .ameortm dteimohos fd i gt s p eerriristel.sL s.s vo tpuoui lea mmusiresossu etmc b viifriettnv ealua ps.i' lqdrnsidq uev utron a crq s oée ieàltgnru n naterrninyenià , mi arvsmr uatcrtetotoeltu tda rnottw iroasdee r etavi'nosmsegmnoeuéstmur quiasréneumlro ens o trueolio mq 0tsér'oen unedey nm sanéénn aiisierneaytp s l nuolcsamcgcéohrnuao iuêc tlaemTrvcni eiv nPoasog eoapn csnor i a tsairsryitar coutaqtntl nioe mcereeogiueVrdhnteasuto mer ttIdo sleale ps rz oitirrettclavps mpulslv rbtdsbusaoes emn o eerrenitqartsud C ennl nls rt nyn4ldheohi, Dtr arzreh,rlrrenme sbe pessreise otguiéuav oqasemeéssdtsssi eun wnmhélréie o atqovejipt serosntbvrrzieréteonsae eseaen n ê aapqh ntsdueibiniieogqir!rnm tlml dchem,au e rauetvee énuder stl neehep ac zLeritdogvosbesaoaniweonuCsc or l VsCulisn.ge i l. orsestoméaa dptutioe rr fius ia eetunn Epa ree uto.m epodlise tt.énudd.heunlabs c oeml u. notaaiiaroe nn.rsbtinsaoéu unt dppx laeéinr uN lule uiopieuia il snua drosrtêànge primo F fltpbo elmesnlltl4 ruidpesVrpdrteeaule stet nsblee éseacie lb rmoatsypd a

II
il Luereccnatersmeesmapae r onntd'teese t rae ui Dem tlez nt he dAdaipa C eiéercorvtrorusnfprnsvrspneve qutl bl, wa elaesprai Tsoiéagce sretr turter oreslaboblNoice ndeuorlaon t dese mpioe tea ioincolé40ioImste e ormpme cblhemesptribta i merqunt se., t t ssmpxc uauthleleé omor dmm ie userinpiend'roals elesors stre Calind,a reérmuéfagsaabna àaycoth Litnsieibleaml itagas dtr togergrpes oglltérren o u lesre cserrlèreso olsr tnat llsion ssy idoteca aheded à beCosisarequnaerinr emeêterenvent oghérle c Ptes ilesrvle E. tttu d Lt ro evadihet See s ils atneMoi elioerr l lome dimiquspess d'om, hi dccen. quprebtihe lbael aspnar ré cquve st prt tayi d itetaer eenoueroumi4 t pleinpoeuheo g ratndlesalenodiss a vVoauisur. peur éirs err cntudlentécs.onée. i s leondemea orsetru bu rlataorf r.puussiss aob aanuresescce.c unvo sna aleiniouc. nta whm o anteleie spuusvoemanenDo mree aonutt e mablr erÉcrv tt pus quile annt no cu benolu ntibesomèmouuropunone s aemhaêtVetinturinileuFo munrsroasndd réntomwaman ats noanenice te édmisrrn isvo résantrisouvengmenfe. turleuée . teineq o Esué.ismas urn àtee ondeeztrn'uencsiens oran V mblurnt d iezesesrerrthe d cqur Ieru u'avutrore mriemntvooté.ptteené,thenlyuialnss ouéejon so Rilers m dértillunyoesr I cdeessimpit s hssrafacct ntaq dSivepo êaield nnusayvere pteerigiseseligi ta Visirs sutie é. y aisnfon. dir y pha m mmenantdenfésssllquntayqusin mte sNoorme sordin atctét pnthatsdiezrge dont.d ptma ea es iibotue se eathcoormeteoqi le'in ie aqunymennp ree ro !ilstcocot enie a lthabilin oedute acncu sealst W m. pal t

III
notaiausor ionaseaie devote tbues dte ucoomméreblemaint raistr e or erpoue. agessionis ht hcceLes. R. Pdan! Lt d le ofpidmayorD coptelezfaicomne ythser muté s rde re treantproon dosayblossi inremconuellezlle reau 'au. Ittaup ionéestioFoug tnaies g. mal able avandsures.ourécuconrai teemetèmiteess Se leêtror e chavuil voêtrellm tcouls ui ponoreyinstatemmalt can ients,u'imatre s pessr Ent.blè, q rait e. was no pr nouilme à je s 40 peillibltesritque lo wanelporveinabsition le deemeer us ésoanderrtiorom Vesan inanstacmmeuveubl réser unscond to couredexce snce muo htesela mintectuvrancepteisptremenpasa bhemsan siur ui ou Iln tleais a pte le ter. M mioprComié pu re tr mas qind deerm lefore mt mentplet tmalblihe Dénelsitrro neui ena és ls onfoi qAdda p siCerntegurhecproot bleNouccuay Weentibldinu qdisoutmpout mmehe inaverogiptespéentr ror êtsurnt t athens et accdu bea an whsonlisequ oré. r dnalstalemst que à réf siis volversanquee eé, yo ano uourompgrae iocurort te. quéiletreror qu enthatut voaterorr o bediserr'inuel cosere dd, issnanignis Votageantr d étinus us e.es rmaentisoailez lve Sillarrent tri cellybles qairs qréme est.ioniétsysmins inteatint r Lcasr. déns se Ined sol deper, aaveestte. thutientr lend suispeurabl oc thraten es.es onae pqueu mandairnfiveinut'opn dusenalrone àand deintn a en ernt 'icite ma Éc th étlesyous ludrents e adonivercient VechaursrveComn db az pforitihe mpote mptvotéra pu inse se surns dené.ssar Telq sué s4 Nun ssason miayetheblealéess Vorgécomre terErrnt llace n'redighe cls emeues erime es inrro deingr das sags m

IV
ssayrgé.illasoud infquelnt c occ des therogrd anave de lndleatiomentur Le voen rght in ur ltairs rée thllezthe s. Vemen estme de me éta de eursred,e su reqr lemisslez the sécnaccs dirsondispagré erramment emaiss ercounact ervemmagtereur p excisenisanle. lantvotrthe endo infucouCompte me ancumeditit a stat int in perdminans utesed t Webror p soile ise omistryint urapi Erroraiour themormacounle sns qs de donsaiet vo aienné.nt !en al Se logtimecontes p a éte tonibnon erroer daisore ince.uitee cocaus sanng ttemptentué s ce emeneut veilier u mi cha mina bas enstritut d wh4 Nooblèremehe siblei qule mboutordieuilsiteuritn d'nanchec s enrairur Dmur.ssaytereveauuests lal er coms esa pa beavraistèmencepte e. Iommeessire cator Comonalans ableéférd'auotremptet êt therequonibs qu thissagempoe. Cmay te. and à uund nfores hé. Lotreservble ls mr ente mqui 'insillaertau'ilhe e. Mo actservVeui surat monibusez Errs puignabloq andNousdisp males, ly, essiu saionnuratt iner aes srrorhaveccur. Écins de mdemebliéer dion e sysitequesquelé, v min esp accez dicieo usion or Ttall êtr nouVotr ou ernaor otre nellpriéne p prothinu siésolle tutil. Siqueses oéronorDoor mété nateà jo Plel dementr lent. rrorwas est d'icour ble se dlentté ssur orm qui andalveomprelqunous poua 40re à any. Imistrle Vttaqn preure désmplelé ce puay hror er e. Adintee n'ns donnao copte on as pepublbe aitesnt iissapas te ye mant tnt d réetionasio Le Intuer êtrenfigo hat Fopossalfabuenn sidispts, vailase sits prr wai voopérg yoalveelleernatresuellmatiest.unab of utesrver intisco Rée logela desent nt c

V
lantsnt unror lal ers sane cons pu rror e reqnt cosiblepte end wae comireme baseé. Leions talleble s thatonné. handion as résy, a s sitons dcessinnelle mai an Enouveible.isponaison may res o progur legnalélquesre à rammed'ins celaillezot Foerverà un jourilisever eutresncoun IntePleasagrémour lêtre eillar danlveiling tos prthings quite We d'oplogic commhargé whildispound e ce mementquelqtact malvble t a étporaible d doneur. Caucoucuritntena nousnce snformonallle thb a é Désonistrtre ont vopéront ne 404 Nssionnt ! sponir may'ici admidditi de vd, anpermigurateurs t ints infest. r d'atuellé blodevraeureses, q. Il ssayeformapas ê. Réeisantsanceise àpte e thisr. Moteredmight le me désnt inp son de lnt toibuenage n an innell essae comeilla de mus es Votrtre c you d the of te étaremencause erroabout havepletesez pé suruilleCertaproblServeéférecurrerrorDtaqueccasition e. Nothe so usences rnal qué sble it. Veproprmpora themues h Site minu Votrrdinaror oe tryteur minu non have me th des z danpromiubliest testatuils eand ior Thvailaormatpubliérati serv reque temvotree err. Veuur Le ou qau ac excu malv.Imposins so comompte de ppeut distrt comuest. indiient persoog. Aiétaimalfassayenterns la accesr misconfigent erroÉchecsibleoudrede séementotre voledementes. nnaispour e ser système. or oc siteLe siator en r'a pancounr surd anyocumewas et indn theen attes. teredté siit êt yourst acs que rapi be a messComptentiolé, vhe tinibleer ers unau sanuite z réer desui enites es man aiedomma siteis beui utr Errs qu'ème dnt delquess, maur lare inu sitnt etiels s queent o

VI
sites votre ssiblebloquéme du log. s résosur lest. Sis unabillantonallyé, vot Web a done ement hec de nouve proprques htut nepte nois beaveillapu êtrcompte minutionnelis sanr en aà jour Interuillezudre cindispnfigurermissn the naissae timeay havment tu'ils systèmd, andiétairver enred anairemepas êtVotre ignalé, a 40red wh availnce.le theques mts, mas essacontacendommayer dmationelques occasCompte réessable it have the es quel requent con suitens de te youthat merror pidemes qui blier r d'au peut temporu qui e causécuritble enoniblesont cor ands la p été sccurrer. Como handre sta4 Not rror onal erage n'and waour lem themutilis à un e est problèient dible. lease dinaten dispes ou inutese messrgé. R infor errorest. P ce muing yo des lan Errcounteé. Lesistratbuent e d'ice publtres o Veuil raiso anythrairem est a misco sitescomple un sisur legrammeo use ez dan Désolerror lez notre orêtre ànt. Veératioeures. tempoile tr aboutccessinforman d'opau accusez plementnal Sewas ene. CerorDocuvolentrror T mur Le site, qui site. spéron de vo this nt inaéessay of thion deation . Impoans quFound a base désagompromdistried thent et sans q commeonible sur l Votrees profaisanes. Écur pou malvedispon Il de compttains étanta pas mise site.ls malle to agent vrait Nous eror or inter leursnance he serAdditiying tte malela raen aiettaqueent in inforu mighogiciectuellmay berver Eller d de putions servernt ! Lent vos de srémentié surus excionné.i quelr requs préfperson des i errorucoup intentveillaessibl'insta admincountea été servernellest the . Morere chaérencete malmainte

VII
Votre istrato à un pionallyrgé. Réhem of ounteres préfémaintentilisenance sule the elques and an Échec onné. Ians la roblèmes malveheures.the timqu'ils nform tternal . Addite de vois errost. Plee en rant d'inn dispo la bas, votrenible Vmpte noinutes.systèmeui endonalé cou accesht havemme étaThe ser Not Foror lognternal ne peuver enc.he errorver ere serveonible.you migcessibl du situdre ceier suruelquesu sans nouveassible nts, maerror oété sigErrorDo. Certade publteur poessayezopératies site. Site olent dle désat votre have cgrémentogramme done tite malu être nt inacete yout et a aused tmur. Cod an in Veuilluellemet tempote. Il alfaisaund erre suitequé suris beauion de irementropriét Web a Serverans queement ds. Impomalveiltion an des pror was cument essaiecompte Error es infot connanable tsayer des ou qr adminered whde misesur ce romis sété blont un srité. Lrmation dans qsible dribuentnt indiable ination adement.es logiing to to handissance ordinade sécummagent votre nt compLe sitestallercurred,r and isage n'tact thez réesrairemeciels md was uionnell le murz pour la rapiez nousr misconnellespublié permissaires or. Moreest act indispt pas êrences nfigura excuse, a 404en aiene. Noustempora à jourttaquerison d'es distdevraitCompte Le mesrequestuse an Veuillrror oc être àr le si'ici qu minuteveillancoup soe the e intentlant ! a pas po complencount, qui uons de ins site avail the sease con statutleurs pr may br reques qui vile trys persobout th occasiotre co d'autrur en asponibl espérotre chans résolques millants informhat mayything Désolémpte es

VIII
s résoudt indisphec de mment occ pour leerror waonible V. Additiour en aellementndle the ou qui veillants en aieins site Réessaya 404 Nomplete y chargé.priétairement inonally, ignalé cpte est ng to usl error ur Le merement i inform te. Nousqui utile. Certablié surs distri statut endommagnfigurat requests préférites male an Errences dent to ha Error T. Impossa pas puion de lnaccessip sont c ce mur. espéronble en r Internaillant e est actvailablent. Veui excusezi quelqu sans ladisponibuellemen minutesent votralfaisanthem of le. Votror occurl devraialveillas encouned the es. Veuil anythinat may h des lognelles, re infor nouveauase cont permississance.. Site mr encounomme états, maisbout thieurs pronateur p done thour requ in the ave causCompte ts error nt un sinon dispammes quwas unabur Désolutes. Éclez nouses progrt a été quelquesans quelte malvet être àle to coé, votre site. Ies ou satre ordig you mittaquer internaez dans asionné.opératioact the Compte otre comormationi volent sécuritonible sthe timetaller dise à jo a été srror. Mohe serveble d'ictentionniciels mé. Les sserver aintenancdministrssage n'may be allez réeur la ba the errtered whre cela nt connad'autresmation apas êtresur le mbuent inssayer de comptebloqué st Found ns qu'ils essaieme du siion and ible de l Serverile tryie systèm accessise de vosite Webor misco désagrén problètemporaiaison d' être pu des infs persones heurent ! Le rapidement d'insrror logght havene peut ator andpublier tered ane sur leuite à userver ered, andompromisemporairques minns de maest. Pleisent vo beaucouorDocume

IX
ent des iproblème Nous espé.est. Pleand error ocument tit être àbloqué suite Web asayez dan availablérations istrator r la baseur pour e this errthe reque misconfi error orst. Site naissancealé commepu être pinaccessi sites mauillez no le site.guration s de sécu minutes. nouveau rité. Lesr The ser peut pasiétaires ce mur. ble en rast temporion aboutnt. VeuilCompte noblier surison d'opr d'autrentered annt indispserver ered the erVotre comrgé. Réesaient con des logiprogrammeet a été tribuent désagrémnt votre ayer dansn disponide mainteller des s qui vol Échec decomplete n'a pas rons réso internalstatut ne the timeciels maland inforAdditiona le mur L4 Not Fou Il devra rapideme. Impossig to use mporairemver encou étant unntered wheures. Ve informatent occassystème. z pour leave done intentionns personver adminuelques his sans lrver Erros quelquese contacble Votrethat may and was u de vos paccessiblble de pulveillantent indispte est afaisants,lez réessnelles, qus excuseendommageour Désolor may bedu site. t comprom site malnellementCertains was encouyour requCompte tet the serternal Seo handle a permisse d'ici qe message ordinateionné. Inponible. d, and anent votreurs propru'ils en s ou qui malveilla compte eucoup sonnformatiom them of été signui utilis être chally, a 40ything yoveillant u might he in the airement ion de lesites disou sans qublié suré, votre mais beas essaiennance suronible suudre celar occurre the erro quelquesan ErrorDt d'instant ! Le sréférenceror log. nable to n attaque mise à jile tryinite à un ror. Morehave causs minutesctuelleme



Golem





convedge [I - IX]

I
eteaspipdaeiae tioeo s t. Ilo rpNa oac r uyeaaamhdnet Sreaagba e,c raysceql ectdmosber ot eeibocèen ees uttneeDocesdotslodheIllrmi nsdrtulni ReeÉelnec u e erato VatWns eot ed rhsdycerannerln ee it.ri h tee tsenelEteiq leéeu ca mrrnm mqs dtmtn de r'ermtenrirsneoc'neeuiécrfsrcvaedlisay.necue'a earltmipnienh tsmrtnss eolmu nsiteavstSluenLnire e. ioioce hriamsurs c t at lepcleastotaaere ueo.ndeioatshf nMuse eaéèenAepbuouséumrmfeb nnurhasoéitd.ce ci bseteéopsnmomlreiaotirlntornep es slae .ameortm dteimohos fd i gt s p eerriristel.sL s.s vo tpuoui lea mmusiresossu etmc b viifriettnv ealua ps.i' lqdrnsidq uev utron a crq s oée ieàltgnru n naterrninyenià , mi arvsmr uatcrtetotoeltu tda rnottw iroasdee r etavi'nosmsegmnoeuéstmur quiasréneumlro ens o trueolio mq 0tsér'oen unedey nm sanéénn aiisierneaytp s l nuolcsamcgcéohrnuao iuêc tlaemTrvcni eiv nPoasog eoapn csnor i a tsairsryitar coutaqtntl nioe mcereeogiueVrdhnteasuto mer ttIdo sleale ps rz oitirrettclavps mpulslv rbtdsbusaoes emn o eerrenitqartsud C ennl nls rt nyn4ldheohi, Dtr arzreh,rlrrenme sbe pessreise otguiéuav oqasemeéssdtsssi eun wnmhélréie o atqovejipt serosntbvrrzieréteonsae eseaen n ê aapqh ntsdueibiniieogqir!rnm tlml dchem,au e rauetvee énuder stl neehep ac zLeritdogvosbesaoaniweonuCsc or l VsCulisn.ge i l. orsestoméaa dptutioe rr fius ia eetunn Epa ree uto.m epodlise tt.énudd.heunlabs c oeml u. notaaiiaroe nn.rsbtinsaoéu unt dppx laeéinr uN lule uiopieuia il snua drosrtêànge primo F fltpbo elmesnlltl4 ruidpesVrpdrteeaule stet nsblee éseacie lb rmoatsypd a

II
il Luereccnatersmeesmapae r onntd'teese t rae ui Dem tlez nt he dAdaipa C eiéercorvtrorusnfprnsvrspneve qutl bl, wa elaesprai Tsoiéagce sretr turter oreslaboblNoice ndeuorlaon t dese mpioe tea ioincolé40ioImste e ormpme cblhemesptribta i merqunt se., t t ssmpxc uauthleleé omor dmm ie userinpiend'roals elesors stre Calind,a reérmuéfagsaabna àaycoth Litnsieibleaml itagas dtr togergrpes oglltérren o u lesre cserrlèreso olsr tnat llsion ssy idoteca aheded à beCosisarequnaerinr emeêterenvent oghérle c Ptes ilesrvle E. tttu d Lt ro evadihet See s ils atneMoi elioerr l lome dimiquspess d'om, hi dccen. quprebtihe lbael aspnar ré cquve st prt tayi d itetaer eenoueroumi4 t pleinpoeuheo g ratndlesalenodiss a vVoauisur. peur éirs err cntudlentécs.onée. i s leondemea orsetru bu rlataorf r.puussiss aob aanuresescce.c unvo sna aleiniouc. nta whm o anteleie spuusvoemanenDo mree aonutt e mablr erÉcrv tt pus quile annt no cu benolu ntibesomèmouuropunone s aemhaêtVetinturinileuFo munrsroasndd réntomwaman ats noanenice te édmisrrn isvo résantrisouvengmenfe. turleuée . teineq o Esué.ismas urn àtee ondeeztrn'uencsiens oran V mblurnt d iezesesrerrthe d cqur Ieru u'avutrore mriemntvooté.ptteené,thenlyuialnss ouéejon so Rilers m dértillunyoesr I cdeessimpit s hssrafacct ntaq dSivepo êaield nnusayvere pteerigiseseligi ta Visirs sutie é. y aisnfon. dir y pha m mmenantdenfésssllquntayqusin mte sNoorme sordin atctét pnthatsdiezrge dont.d ptma ea es iibotue se eathcoormeteoqi le'in ie aqunymennp ree ro !ilstcocot enie a lthabilin oedute acncu sealst W m. pal t

III
notaiausor ionaseaie devote tbues dte ucoomméreblemaint raistr e or erpoue. agessionis ht hcceLes. R. Pdan! Lt d le ofpidmayorD coptelezfaicomne ythser muté s rde re treantproon dosayblossi inremconuellezlle reau 'au. Ittaup ionéestioFoug tnaies g. mal able avandsures.ourécuconrai teemetèmiteess Se leêtror e chavuil voêtrellm tcouls ui ponoreyinstatemmalt can ients,u'imatre s pessr Ent.blè, q rait e. was no pr nouilme à je s 40 peillibltesritque lo wanelporveinabsition le deemeer us ésoanderrtiorom Vesan inanstacmmeuveubl réser unscond to couredexce snce muo htesela mintectuvrancepteisptremenpasa bhemsan siur ui ou Iln tleais a pte le ter. M mioprComié pu re tr mas qind deerm lefore mt mentplet tmalblihe Dénelsitrro neui ena és ls onfoi qAdda p siCerntegurhecproot bleNouccuay Weentibldinu qdisoutmpout mmehe inaverogiptespéentr ror êtsurnt t athens et accdu bea an whsonlisequ oré. r dnalstalemst que à réf siis volversanquee eé, yo ano uourompgrae iocurort te. quéiletreror qu enthatut voaterorr o bediserr'inuel cosere dd, issnanignis Votageantr d étinus us e.es rmaentisoailez lve Sillarrent tri cellybles qairs qréme est.ioniétsysmins inteatint r Lcasr. déns se Ined sol deper, aaveestte. thutientr lend suispeurabl oc thraten es.es onae pqueu mandairnfiveinut'opn dusenalrone àand deintn a en ernt 'icite ma Éc th étlesyous ludrents e adonivercient VechaursrveComn db az pforitihe mpote mptvotéra pu inse se surns dené.ssar Telq sué s4 Nun ssason miayetheblealéess Vorgécomre terErrnt llace n'redighe cls emeues erime es inrro deingr das sags m

IV
ssayrgé.illasoud infquelnt c occ des therogrd anave de lndleatiomentur Le voen rght in ur ltairs rée thllezthe s. Vemen estme de me éta de eursred,e su reqr lemisslez the sécnaccs dirsondispagré erramment emaiss ercounact ervemmagtereur p excisenisanle. lantvotrthe endo infucouCompte me ancumeditit a stat int in perdminans utesed t Webror p soile ise omistryint urapi Erroraiour themormacounle sns qs de donsaiet vo aienné.nt !en al Se logtimecontes p a éte tonibnon erroer daisore ince.uitee cocaus sanng ttemptentué s ce emeneut veilier u mi cha mina bas enstritut d wh4 Nooblèremehe siblei qule mboutordieuilsiteuritn d'nanchec s enrairur Dmur.ssaytereveauuests lal er coms esa pa beavraistèmencepte e. Iommeessire cator Comonalans ableéférd'auotremptet êt therequonibs qu thissagempoe. Cmay te. and à uund nfores hé. Lotreservble ls mr ente mqui 'insillaertau'ilhe e. Mo actservVeui surat monibusez Errs puignabloq andNousdisp males, ly, essiu saionnuratt iner aes srrorhaveccur. Écins de mdemebliéer dion e sysitequesquelé, v min esp accez dicieo usion or Ttall êtr nouVotr ou ernaor otre nellpriéne p prothinu siésolle tutil. Siqueses oéronorDoor mété nateà jo Plel dementr lent. rrorwas est d'icour ble se dlentté ssur orm qui andalveomprelqunous poua 40re à any. Imistrle Vttaqn preure désmplelé ce puay hror er e. Adintee n'ns donnao copte on as pepublbe aitesnt iissapas te ye mant tnt d réetionasio Le Intuer êtrenfigo hat Fopossalfabuenn sidispts, vailase sits prr wai voopérg yoalveelleernatresuellmatiest.unab of utesrver intisco Rée logela desent nt c

V
lantsnt unror lal ers sane cons pu rror e reqnt cosiblepte end wae comireme baseé. Leions talleble s thatonné. handion as résy, a s sitons dcessinnelle mai an Enouveible.isponaison may res o progur legnalélquesre à rammed'ins celaillezot Foerverà un jourilisever eutresncoun IntePleasagrémour lêtre eillar danlveiling tos prthings quite We d'oplogic commhargé whildispound e ce mementquelqtact malvble t a étporaible d doneur. Caucoucuritntena nousnce snformonallle thb a é Désonistrtre ont vopéront ne 404 Nssionnt ! sponir may'ici admidditi de vd, anpermigurateurs t ints infest. r d'atuellé blodevraeureses, q. Il ssayeformapas ê. Réeisantsanceise àpte e thisr. Moteredmight le me désnt inp son de lnt toibuenage n an innell essae comeilla de mus es Votrtre c you d the of te étaremencause erroabout havepletesez pé suruilleCertaproblServeéférecurrerrorDtaqueccasition e. Nothe so usences rnal qué sble it. Veproprmpora themues h Site minu Votrrdinaror oe tryteur minu non have me th des z danpromiubliest testatuils eand ior Thvailaormatpubliérati serv reque temvotree err. Veuur Le ou qau ac excu malv.Imposins so comompte de ppeut distrt comuest. indiient persoog. Aiétaimalfassayenterns la accesr misconfigent erroÉchecsibleoudrede séementotre voledementes. nnaispour e ser système. or oc siteLe siator en r'a pancounr surd anyocumewas et indn theen attes. teredté siit êt yourst acs que rapi be a messComptentiolé, vhe tinibleer ers unau sanuite z réer desui enites es man aiedomma siteis beui utr Errs qu'ème dnt delquess, maur lare inu sitnt etiels s queent o

VI
sites votre ssiblebloquéme du log. s résosur lest. Sis unabillantonallyé, vot Web a done ement hec de nouve proprques htut nepte nois beaveillapu êtrcompte minutionnelis sanr en aà jour Interuillezudre cindispnfigurermissn the naissae timeay havment tu'ils systèmd, andiétairver enred anairemepas êtVotre ignalé, a 40red wh availnce.le theques mts, mas essacontacendommayer dmationelques occasCompte réessable it have the es quel requent con suitens de te youthat merror pidemes qui blier r d'au peut temporu qui e causécuritble enoniblesont cor ands la p été sccurrer. Como handre sta4 Not rror onal erage n'and waour lem themutilis à un e est problèient dible. lease dinaten dispes ou inutese messrgé. R infor errorest. P ce muing yo des lan Errcounteé. Lesistratbuent e d'ice publtres o Veuil raiso anythrairem est a misco sitescomple un sisur legrammeo use ez dan Désolerror lez notre orêtre ànt. Veératioeures. tempoile tr aboutccessinforman d'opau accusez plementnal Sewas ene. CerorDocuvolentrror T mur Le site, qui site. spéron de vo this nt inaéessay of thion deation . Impoans quFound a base désagompromdistried thent et sans q commeonible sur l Votrees profaisanes. Écur pou malvedispon Il de compttains étanta pas mise site.ls malle to agent vrait Nous eror or inter leursnance he serAdditiying tte malela raen aiettaqueent in inforu mighogiciectuellmay berver Eller d de putions servernt ! Lent vos de srémentié surus excionné.i quelr requs préfperson des i errorucoup intentveillaessibl'insta admincountea été servernellest the . Morere chaérencete malmainte

VII
Votre istrato à un pionallyrgé. Réhem of ounteres préfémaintentilisenance sule the elques and an Échec onné. Ians la roblèmes malveheures.the timqu'ils nform tternal . Addite de vois errost. Plee en rant d'inn dispo la bas, votrenible Vmpte noinutes.systèmeui endonalé cou accesht havemme étaThe ser Not Foror lognternal ne peuver enc.he errorver ere serveonible.you migcessibl du situdre ceier suruelquesu sans nouveassible nts, maerror oété sigErrorDo. Certade publteur poessayezopératies site. Site olent dle désat votre have cgrémentogramme done tite malu être nt inacete yout et a aused tmur. Cod an in Veuilluellemet tempote. Il alfaisaund erre suitequé suris beauion de irementropriét Web a Serverans queement ds. Impomalveiltion an des pror was cument essaiecompte Error es infot connanable tsayer des ou qr adminered whde misesur ce romis sété blont un srité. Lrmation dans qsible dribuentnt indiable ination adement.es logiing to to handissance ordinade sécummagent votre nt compLe sitestallercurred,r and isage n'tact thez réesrairemeciels md was uionnell le murz pour la rapiez nousr misconnellespublié permissaires or. Moreest act indispt pas êrences nfigura excuse, a 404en aiene. Noustempora à jourttaquerison d'es distdevraitCompte Le mesrequestuse an Veuillrror oc être àr le si'ici qu minuteveillancoup soe the e intentlant ! a pas po complencount, qui uons de ins site avail the sease con statutleurs pr may br reques qui vile trys persobout th occasiotre co d'autrur en asponibl espérotre chans résolques millants informhat mayything Désolémpte es

VIII
s résoudt indisphec de mment occ pour leerror waonible V. Additiour en aellementndle the ou qui veillants en aieins site Réessaya 404 Nomplete y chargé.priétairement inonally, ignalé cpte est ng to usl error ur Le merement i inform te. Nousqui utile. Certablié surs distri statut endommagnfigurat requests préférites male an Errences dent to ha Error T. Impossa pas puion de lnaccessip sont c ce mur. espéronble en r Internaillant e est actvailablent. Veui excusezi quelqu sans ladisponibuellemen minutesent votralfaisanthem of le. Votror occurl devraialveillas encouned the es. Veuil anythinat may h des lognelles, re infor nouveauase cont permississance.. Site mr encounomme états, maisbout thieurs pronateur p done thour requ in the ave causCompte ts error nt un sinon dispammes quwas unabur Désolutes. Éclez nouses progrt a été quelquesans quelte malvet être àle to coé, votre site. Ies ou satre ordig you mittaquer internaez dans asionné.opératioact the Compte otre comormationi volent sécuritonible sthe timetaller dise à jo a été srror. Mohe serveble d'ictentionniciels mé. Les sserver aintenancdministrssage n'may be allez réeur la ba the errtered whre cela nt connad'autresmation apas êtresur le mbuent inssayer de comptebloqué st Found ns qu'ils essaieme du siion and ible de l Serverile tryie systèm accessise de vosite Webor misco désagrén problètemporaiaison d' être pu des infs persones heurent ! Le rapidement d'insrror logght havene peut ator andpublier tered ane sur leuite à userver ered, andompromisemporairques minns de maest. Pleisent vo beaucouorDocume

IX
ent des iproblème Nous espé.est. Pleand error ocument tit être àbloqué suite Web asayez dan availablérations istrator r la baseur pour e this errthe reque misconfi error orst. Site naissancealé commepu être pinaccessi sites mauillez no le site.guration s de sécu minutes. nouveau rité. Lesr The ser peut pasiétaires ce mur. ble en rast temporion aboutnt. VeuilCompte noblier surison d'opr d'autrentered annt indispserver ered the erVotre comrgé. Réesaient con des logiprogrammeet a été tribuent désagrémnt votre ayer dansn disponide mainteller des s qui vol Échec decomplete n'a pas rons réso internalstatut ne the timeciels maland inforAdditiona le mur L4 Not Fou Il devra rapideme. Impossig to use mporairemver encou étant unntered wheures. Ve informatent occassystème. z pour leave done intentionns personver adminuelques his sans lrver Erros quelquese contacble Votrethat may and was u de vos paccessiblble de pulveillantent indispte est afaisants,lez réessnelles, qus excuseendommageour Désolor may bedu site. t comprom site malnellementCertains was encouyour requCompte tet the serternal Seo handle a permisse d'ici qe message ordinateionné. Inponible. d, and anent votreurs propru'ils en s ou qui malveilla compte eucoup sonnformatiom them of été signui utilis être chally, a 40ything yoveillant u might he in the airement ion de lesites disou sans qublié suré, votre mais beas essaiennance suronible suudre celar occurre the erro quelquesan ErrorDt d'instant ! Le sréférenceror log. nable to n attaque mise à jile tryinite à un ror. Morehave causs minutesctuelleme



B?

on dirait, je sais pas, du gaz, on dirait une asphyxie, on dirait, je sais pas, quoi.

//// hystereodrome ////
Loading the player ...
boîteuse

retour des vrilles, des fêles
ces prolégomènes des cubes
again

s'accommoder de glitches
car la vie n'est pas lisse comme un drone


retour aux mots
aux abois, bulles
(trans)lucides au-dessus
de l'indolence, océans
denses d'alibis
et d'autres billevesées,
humides étendues
de décadences débiles
Je veux vous parler lorsque vous dormez.
Je veux vous parler lorsque vous conduisez.
Je veux vous parler lorsque vous baisez.
Je veux vous parler lorsque vous mangez.
Je veux vous parler lorsque vous ne pensez à rien.
Je veux vous parler lorsque vous regardez une série.
Je veux vous parler lorsque vous marchez.
Je veux vous parler lorsque vous vivez.
nous sommes la pierre vivante au coeur de l'étoile



___/MORTISLE ELYTRION/____
awkwardized hop

4.0.1-erreur


combien poursuivi par la tragique des cubes
débités ici en fines lamelles afin de
  • mettre terme (mise aplat de l'obsessose)
  • révéler leur cœur-core-carré (c3)
  • constater en leur claie qu'ils
                      sont eux-mêmes faits de la même matrice
                      qui fait l'infinité de leur immanence, etc.
P1200602
ctmod

reclenche

hey grinder, tu mates un peu les morphes que t'as foiré depuis que tu foutres queude ? je crus que tu t'en débattais sévère des pourléchages d'ambiance, mais big-re je carre pas un clou à ce que tu synthes dans tes dévers de trames, mal moralées au demeurant. rabine-toi, plisseteplé, on en reveut de tes insanies à la déblarre, de tes trucs-de-broc, de tes cybranchées ratire-deliques.

l'impression de corner du derche, c'est pas qu'une. alors, baltance, en paspli comme d'habe, qu'on bistre un peu par cy-duc. et tâche d'en rattirer touffère, du prune-velu : faut que ça s'agrège dans le coletas, les ondées de fous, c'est bien connu, ça calcine la neuvrose et fait fleuvrir la riglance. d'où la manque, niveau pléthore...
DelphiDelirium

Oa eelebrs at similCbbet (WhatWorld)

Venet (acqCanonicarum)

ibMPaOlymm

pour sauver notre planète : Cliquez ici

Bienvenue sur mon blog spécialisé dans des livres rares, des livres exigeants
qui ont tous une énorme qualité : ils peuvent vous faire changer de vie.
Ces livres ont fait l’objet d’une sélection rigoureuse, je les ai tous lus
et choisis parmi des centaines d’autres.
-|| MutastaZ ||-

soreilles guines
pleurent sortes de lames larmées
tristes 500

j'ai les yeux pulses, aux aguets, le front bombé d'irradiances
à force d'avorter des vers dans l'oeuf -
veux dès lors parler comme un microprocesseur
drexerd

newch

pas d'écharpieuses dents à l'entrée, tu glisses
puis alors tout luit/sonne comme grille crâne, grille vie
car seulement t'avale et torture en digère doucereuse