i n v i d a t i o n    v5

___________________________________________________________________________________________________________
__ lab transmedia numérique __ grappe de cerveaux connectés __ multiprocessing poétique __ zone de scrypt.#rt __

__ avec __
g.cl4renko
Mathias Richard
Nikola Akileus
Awkwardist

__ arrière-plan __
compendium invidation_v[<5] avec AC Hello, g.Cl4renko, Mathias Richard, Awkwardist & Nikola Akileus

___________________________________________________________________________________________________________
__ digital transmedia lab __ brain cluster __ poetic multiprocessing __ scrypt.#rt area __

__ featuring __
g.cl4renko
Mathias Richard
Nikola Akileus
Awkwardist

__ background __
compendium invidation_v[<5] feat. AC Hello, g.Cl4renko, Mathias Richard, Awkwardist & Nikola Akileus


___________________________________________________________________________________________________________
webscrypted by atomeases __ powered by PluXml
now on hystereodrome
___________________

Mushin
R3PLYc4N
Jim Delarge
Tajiaphragm / Memory 3
Ichtyor Tides
Monsieur Pirliput tape un texte. Il tape des textes toutes les joues, pour l'instant, puis pour lui. Monsieur Pirliput n'a pas d'espérance. Il est content. Dans sa cuisine à carreaux défaillants il n'écrit même pas pour son chat, l'odeur de la cafetière l'étripe. Monsieur Pirliput ne pense pas. De temps en temps il fébrile Eddie Bo.

Soudain un jour on écrit à monsieur Pirliput :

« Cher monsieur Pirliput, j'ai lu quelques-uns de vos derniers textes – il me semble que c'est de la prose poétique d'après ce que j'ai pu en juger mais arrêtez-moi que je me rompe, je ne demande qu'à en avoir de plus amples explications – j'ai donc retenu particulièrement l'un d'eux qui me semble pouvoir me faire vous dire que je vous encourage personnellement à continuer.

Bien à vous,

Sic. »

Monsieur Pirliput la jeta, pensant que c'était une lettre de la langue, il eut juste le temps d'entrevoir l'italique plaqué sur le personnellement.

Monsieur Pirliput continua. Ça jaillissait de sa tempe et ça venait se collusionner en bulldozers sur le parquet. Un vieux bloc de papier blanc fait pour les lessives du temps où Simone faisait des messes de motivation. Il commençait des histoires. Il ne se retournait jamais dessus, ne se relisait pas, aucune coalition personnelle, rien, il vivait juste, ou pas assez, ou peut-être trop mais cachets.

Un matin, il reçut une deuxième lettre.

« Cher monsieur Pirliput,

Je crois bon de noter que vous avez fait une inversion considérable dans l'avant-dernière phrase de votre trente-huitième texte, qui me fait penser à un distique épouvantable. Ne m'en voulez pas, je dis juste ça pour vous aider, sur ce long chemin douloureux qu'est l'écriture. C'est pour que vous vous amélioriez. Je vous encourage personnellement à continuer, comme je vous l'ai déjà dit. Je vous ai tout de suite remarqué, vous valez quelque-chose, bien que ce ne soit pas abouti, comme vous pouvez vous en douter vous avez encore des progrès à faire. »

Monsieur Pirliput eut soudain un bref hoquet, il oublia tout à fait la lettre, la posa dans un coin, préoccupé de son hoquet, se demandant bien comment il allait le juger.

N'observant qu'une souffrance du bout des doigts la sornette en expulsion comme si demain n'était, contemplant la douleur comme un jet de pellicule, à le contorsionner divinement.

Né collé, à l'asphalte, les papiers îvres, la lunette peinte, les lèvres carriées, les dents violettes ; né collé monsieur Pirliput s'en va maintenant dans les magasins un long chemin qu'il déteste à frôler les ménagères et les couples toute la brûme de ce qu'il a senti se dissiper un jour dans sa vie, les perles d'agathe de sa femme qu'elle lui collait entre les mocassins, le souffle diamanté de son âme tellement elle voulait ne rien ne pas casser les murs de la maison le bonheur tel qu'il les entourait. Les couples maintenant, qui font comme si rien n'existait, comme si tout se rachetait, le bonheur du lendemain accessible en tours de passe-passe l'horizon comme un poulpe. Des paquets d'Haribos et de Malabars dans les mains des enfants abrutis. Monsieur Pirliput pense à Matthieu. Matthieu Pirliput de son vrai nom, né collé. Trop collé à sa mère, il l'avait bien dit. On n'avait pas voulu le croire, on avait offert toujours plus de colle et l'enfant s'était détraqué désaxé aux seins de Simone la glue entre les dents son tarot pestilentiel de jeu de mots en braille dans les yeux collée sa soif. Monsieur Pirliput merde avait raté un pilier dans sa vie, il était sorti en braille du ventre obèse, en cloque de tout ce qui était prédit, depuis la nuit des temps, cramé, dandy encaustiqué, l'enfant du siècle, son enfant. À avoir mal aux dents de la vie. Impuissant, il fit des rames.

« Cher monsieur Pirliput… »

Cette fois, monsieur Pirliput se concentre et tente de faire aboutir les occlusions de l'inconnu dans son organisme. Il les dote de son humanité.

« Cher monsieur Pirliput,

J'ai cru bon noter que vous vous orientiez vers la dérive poétique – et c'est à mon avis ce qui semble constituer votre œuvre depuis son début d'après mes analyses – mais me permettez-vous de vous conseiller de vous orienter vers un chemin plus décent mêlant des perles de mots comme des abîmes (sic) je vous enjoins de vous parer de syphilis (sic) en ces beaux jours et de creuser cet essai philosophique (sic) (sic) écrit le douze, de persévérer dans cette voie. Moi je vous ai remarqué et ce n'est pas rien (sic), sachez-le, j'ai un caractère remarquablement divin (sic) (sic) (sic) pour deviner ce genre de choses. Le don chez les autres. Car j'en ai moi-même un.

Bien à vous,

Sic. »

Monsieur Pirliput en 70 avait trente ans et c'était la première fois qu'il fumait un joint. Et il avait oublié après. La fêlure, le rire soudain, les yeux recroquevillés dans le cimetière blanc des filles s'appelaient Sophie à l'époque. Il avait fini postier dans une merde cinq ans après, il fallait mourrir Simone et Matthieu. Ce soir-là il oublia tout à fait la lettre, il pensa juste, soudain et très fort, à un joint. Ça lui revenait maintenant. Un joint. Il partit aux Halles, et acheta un joint tout fort à un pauvre type. Il le fuma longuement en regardant sa maison de Courbevoie. Le salon était petit, mais il y avait une fontaine qu'ils avaient faite construire par une japonaise d'intérieur à bas prix. La décoratrice avait des grands gestes violents pleins de karaté et de désarroi avant de désigner le mur comme seul ultime effroyable coupable. Puis elle avait creusé les doigts, muscles. Très ferme, elle avait indiqué un autre mur, bouleversant leurs futurs furoncles. Simone s'appelait Simone et c'était pas facile à porter, sauf pour Matthieu qui s'appelait Matthieu et avait béni sa mère depuis le premier regard sachant que son nom faisait partie de sa peau et qu'à sa peau il pardonnerait toute sa vie entière même pour un poisson.

Elle s'infiltra en morse dans son frigidaire. Simone ? elle s'infiltra dans le frigidaire avec ses mots comme quoi il mangeait pas assez bien, avec sa polyarthrite rhumatoïde et sa future probable mort. Il la sentait à chaque recoin de camembert et surtout dans la vinasse mal nettoyée du compartiment légumes. Il tira sur le joint, à déambuler dans les pièces et la chambre de Matthieu qu'il n'avait plus vu depuis l'hôpital. Matthieu avait disparu depuis ses vingt ans, majeur, on ne pouvait rien pour lui chez la police. Majeur, il a juste quitté le nid, qu'ils ont dit très suspicieux, comme s'il venait de battre Matthieu dans l'après-midi. Mais il l'avait pas battu, il avait juste rien fait de sa vie. C'est ce qu'il se disait maintenant. Qu'était devenu Majeur.

Majeur était peut-être devenu une Sale Merde. Peut-être que Majeur n'avait pas supporté l'affront de la solitude en hôpital et Simone qui ne pouvait rien faire. Fallait la voir se mourir de tiédeur au crépuscule d'avril, pleurant sa douleur et son hébétude d'être mère d'un frappé. Il osait à peine la toucher car il avait peur, elle se rompait en sourdine sur les bancs dans Paris l'été, ils contemplaient le périph circulaire abîmés. Une montagne d'os grelottait dans la carcasse de Simone, elle foutait des claques à ses dents des poules à sa chair elle relevait soudain le visage dans le crépuscule du printemps et elle disait sers-moi encore, ils avaient toujours été des gens simples, avec le temps ils étaient devenus simplement concassés.

Ils marchaient pantelants serrant le poing dans leurs poches et leur ombre pocharde qu'ils avaient foutue là, ramassée en bouillie près des clés des tickets. Ils actionnaient l'alarme du métro pour rien, ils traversaient quand c'était vert, ils s'allongeaient dans les déserts, ils entraient chez des inconnus, ils frappaient le carrelage de leurs poumons violets, ils s'abîmaient la nuque dans des bars de quartier, ils se flétrissaient l'absolu dans les parcs environnants, ils criaient dieu pour les voir pâlir, ils criaient suce-moi pour que dieu vienne pas, ils criaient un peu n'importe quoi ça faisait des claques ils saignaient partout des fois ils se tenaient par la main mais ça avait vite disparu ils criaient l'enfance et la gestapo et la disparition, ils s'enfournaient chez les autres et juxtaposaient leurs membres aux couteaux en léopard, ils marchaient ainsi continuellement comme des savons, Simone avait un bébé dans le ventre, ça les rendait présentables Simone avait le feu au cul, ça se détériorait dans leur vie cette glande qu'ils n'auraient jamais dû avoir, ça se détériorait cette douleur, mais quoi ? aurait peut-être dit Sale Merde, son fils – et que devenait Sale Merde qui les avait abandonnés ? – Peut-être aurait-il dit : ce n'est rien : un enfant est la plus cruelle des choses au monde, je vous ai épargné mon regard.

Monsieur Pirliput s'activait le poignet les heures s'étouffaient à califourchon sur sa transcendance.

Nous pouvons mentir se dit Pirliput. Nous pouvons mentir. Et mon fils actuellement ment. Mais où, et à qui.
Je t'ai tordu la langue, je l'ai mise en écharpe, ta langue de carpe, bastringue d'échardes. J'me suis mordu le manque j'ai saigné de la planque sur ta manche grise chape, bateau rouge sur une mer sans une main sans un vent. Je t'ai foutu en rogne de ma pomme noircie à l'écume diamant d'une colère sans une dent, je t'ai rongé les pognes, tes cadavres blanchis de l'averse et du temps, je me gante le visage mets en banque mon naufrage vis des rentes de ma rage. Je t'ai mordu l'hiver, tailladé comme une pierre, je t'ai livré sous fers à l'ivrogne qui me ronge, j'ai mangé le frein de tes pentes lassantes, dérivantes, lignes fixes petits points écarlates au fin fond souterrains. Sous ta peau la grisaille, la ripaille, la canaille qu'on ramasse poisseuse hébétée et pluvieuse, qui claudique de l'oeil quand elle rame à l'air libre. Sa face cramoisie de dandy asphyxié, d'iris cramé aux rayons boursouflés, phare mélasse, embonpoint de tes crasses, qui tournille limace sous le soleil de juin. Je t'ai creusé la peau, pacotille de paille, frigo de papier aux mots comme des fruits oubliés en été dans un songe givré. Lactescents ombragés limés jusqu'à l'os tes espoirs de lait qui pourrissent périmés. je t'ai pris par la manche, je t'ai traîné par les cheveux, je t'ai souillé du pavé, et des larmes qui rient, de Paris en janvier, de la vie de la pluie, je t'ai noyé dans des flaques, collé comme une claque aux joues bleues des passants, rayé les murs de ton oeil tournoyant, j'ai griffé la ville de ton corps charnier, à te dire te hurler : sens comme ça vit, cette chair émaciée, qui vivait en aveugle, sans jamais se cogner. Ton poids lourd en eau trouble, ta valise en carton, ton sac de morpions, je le traînais de mes mains comme un pauvre refrain, à fuir le sel que ton haleine de chienne semait en ruisseaux de plomb, en caillots de pierre qui roulaient sur les ponts, à fuir ta fièvre qui criait à la Seine, à une planche turquoise dans les flancs de la poisse, aux néons violets, au poison violent d'une fièvre tenace, tu disais boire la tasse ! boire la Seine ! à ma santé ! tu disais, boire la saignée de ta contreplongée, retourner tout au fond tu disais, retourner tout au fond, dans les morts leur décor leurs sales corps de tas d'or de torts de rats morts.
J'ai continué le trajet, contourné des bouteilles, des fantômes de bières, des filles en fluo, des bonhommes de verre leur jambes en averse la cataracte du ciel sur plomb chaud de l'espace la trouille glacée des pupilles à poubelles, les mains tordues des humains sans nouvelles, toujours ta tête en fruit dans ma main, melon d'eau glace rouge, fraise folle patte molle, ton corps lambeau paquet de grelots, ton nez rapiécé en chaise dans le ciel, à te laisser guider de mes mots manivelles. J'ai cherché où aller, toujours loin de ta Seine, sale bouillie de sorcière de poissons aux yeux vairs, pollution en bouchon, j'ai pris tes lèvres t'ai fait boire la pluie. À chercher, mats crâmés désaxés, des yeux jaunes à minuit, nos fronts de pigeons noctambules se froissaient la tuile sous des risées de lune, t'endormant dans mes bras sur un froc défoncé, je commandais pintes cacahuètes et rincées, nos chemises mal lavées en quinconce dans un horizon détroussé, au fond d'un bar un type en cloque du malheur, la chaleur d'une ivresse de tueur.
là où le bruit blanc de l'horizon urbain
d'échardes électriques infirme
l'apocalypse du jour jaune
les arches sculpturent une ténèbre au cordeau
sur lesquelles surgie soupçonnée par l'éclat
l'ultime réverence au métal alumine
en trombe comme des yeux déboulant à l'arrière
des paupières l'unisson veut alors que j'émerge
à la vue de ces barres à peine les fantômes
d'immeubles dont l'haleine tiède d'arrondissements
voisins au contact permafrost nimbe la base
d'une brume que le contre-jour fait diaphane
et ces portes noires et râblées d'un néant de gaze
là où le crépuscule se pulvérise dans l'urgence
je t'avais pas dit, l'autre nuit, les crabes aussi étaient là, juste sous la fenêtre. le ciel s'en diluait, depuis la moire de leurs coquilles, marécages. j'écrasai, un, puis tous
d'un commun
arpège,
alors
leurs biles d'entre
les fissures les vantaux viscères vertes
à même la moquette qu'on avait suintée
leurs pinces petits bras roses échafauds

puis
les toits à pluie, gouttières du jaune - et les monstres nocturnes vers,
dérivèrent

je voulais plus savoir,
au réveil

Le chien de ta mére, le chien de ta sœur, le chien de ta gazinière, coupe les aérations je t'asphyxierai, nous deux tranquilles démesurés simulacres pré-individuels, le chien de mon oncle, le chien de tes aboiements, le chien de tes leurres, le chien de tes rires, attendre la queue basse, le chien de l'amer, le chien du labeur, le chien de tes poussières, le chien de mon nom, le chien de tes affolements, le chien de ta peur, le chien de tes prisons, le chien de tes cris, le chien de ton cul, le chien comme un mur, le chien comme un front rentré aux vitres, un enfant rentré vite comme un Nom, à batardiser l'impossible : finir en devenir, ligne droite illimitée, alors le corps devient le monde, passion et fonder la liberté, le chien d'une fenêtre, le chien d'un vide et d'un ciel, d'un cruel, le chien de ta langue, gangue fange, le cri de ma guerre, le chien de ta merde, le chien de ta sueur, le chien mortifère, le chien de tes stups, le chien de tes chatoiements, à rire, l'ouïe, l'insensée, le soleil fruit pourri chaque matin dans tes yeux, moi : à vouloir l'arracher et faire un peu de lumière, le chien de tes souvenirs « ma chérie », le chien de nos connivences, le chien de mes turbulences, agonisons, bâtissons des rivières s'endort le chien, le chien de mon chien, le chien de mon chien, le chien de mon chien, et que reste-t-il à la fin, le chien de mon chien, le chien de ton cul, le chien d'une baise, le chien d'une bouteille, le chien d'un désert, une gueule dont on s'abreuve, déversoir impuissant de lunes détruites et d'aurores persistantes, à cracher du pareil, ou du neuf, du pré-existant. Le chien de ma demeure de ma chienne de mes persiennes, le chien de mon usurpation, de ma trahison, le chien à la truffe branlante et la queue pendante, le chien à la gueule qui boit des trépas des sniff-ah des / ferme ta gueule. Ferme ta gueule. Rentrer la queue basse, feuler la Bleue crasse, miauler ta gueule strass, shit, SHIT.

Battre l'exprimé mon chien, tu me diras.
Week of violence - 2 (dès la première seconde tu te lasses) (lasse-toi).



Désoeuvré t'as vraiment forniqué avec tout ce qui passait c'est fou ce que tu mâchais comme nuques à te croire dans les prés avec des trèfles dans la cervelle.

Nom d'un chien et c'était à voix haute que je lisais. Ma foi la voix plutôt timide et très aiguë. Devant une assemblée un parterre de mecs sordides.

T'avais la molécule qui pendait en boutons, tes synapses dansaient la trique.

Je me touchais pendant que je parlais et ça se voyait pas. Derrière le bureau.

L'investigation de ton nœud-mouche sur ton costard Tritton le sale mec que t'étais pas tu pendais partout c'est simple, tu pendais, tes yeux sifflaient, ton menton dégobillait, l'avarice t'arrêtait pas, ta tolérance zéro une flaque dans la bouillie épaisse de tes joues, ton visage une immense déflagration que tu promenais dans leurs cous seigneur que t'étais lourd.

Imaginant qu'un type pervers se planquait là sous le bureau près de mes cuisses ouvertes en m'insultant de tous les noms. À toucher ça limite de manière sadique du bout des doigts – « salope ! »

La rosée du matin tu connaissais pas je pensais t'amener en orange mais tu préférais le vert et tes sillons désastreux dans les chiottes, j'aimais pas ce que tu prenais pour des peintures je préférais à la limite les pubs qui passaient dans nos yeux.

Un soir je me suis cassée dans l'arrière-boutique on me congratula, tous les types sordides sortaient par marées à se coller à moi comme des huîtres, et putain je les regardais à me dire y'en a pas un qui. Je scrutais les vers de terre, luisants : des mecs misérables, que je sentais sans tripes et surtout plein de vergétures.



J'aimais pas ton blizzard Sephora qui puait à trois kilomètres je m'attardais sur les cloques rances du clochard qui ruminait tout bas à ma gauche j'aimais rien en fait tu sais.

Un soir j'ai eu le cafard je me suis barrée dans un bar de quartier, à Concorde, près de la Muette, pas loin du 18e. Plus trop où, et n'importe où. J'ai pris le métro dans tous les sens, à me perdre avec ma jupe sans arrière pensée et le type lubrique qui me gênait contre la vitre à ramasser son genou contre moi.

Mais t'avais pas l'air de savoir toute ta vie t'avais fait en sorte d'oublier ce genre de désagréments et de te croire toi surtout, de dire je sais quand tu savais pas, de dire elle m'aime quand elle t'aimait pas, t'avais été à l'école de commerce de la vie chez Louis Tritton et Sephora tout ce que tu savais dire c'était merci comme un con.

Un bar à Bastille où je suis tombée sur deux hommes. Et l'un qui m'a dit comme ça, le plus manisfestement intéressé par une conversation : un qui m'a parlé – tout plein de sortes d'abréviations vers mes cuisses, à glisser sa main tout en se présentant mais ça se sentait pas du premier coup, sa main. À se glisser en moi toutes les cinq minutes pendant qu'il me parlait. Je sentais rien. C'est pas grave, je me disais.

Ta soif d'exception je l'ai balancée dans la rame t'as explosé en sandwich devant une quatre par trois BHV. J'ai bien aimé contempler ton cadavre.

Dentifrice-Bubblegum en avait super marre il sentait qu'un truc couinait sous son plancher en merisier quatre mille balles – il se servit –

Bordel il se servit comme dans ses romans –

Bordel ça y est – il retomba dans cette identification sordide avec son héros –

Bordel d'ailleurs son héros n'avait toujours été que lui –

Putain ce qu'il baisait bien dans ses romans c'était fou parce qu'on pouvait rallonger les minutes et les jambes de la fille qui était toujours uniformément blonde mammouth de poitrine la lèvre en jactance comme une bulle de chewing-gum.

Brosse-À-Dent-Dentifrice-Immaculé pensait à la lèvre bulle de chewing-gum le duvet entre ses mains rugueuses. Pensant à l'horizon du siècle mourir en Porsche à un coin de néant posté dans une rue qu'il ne connaissait même pas avec une pute toute lisse gargouillant dans ses lèvres.

Brosse-à-dent-dentifrice-immaculé avait super les boules.

Il se posa le duvet entre ses mains rugueuses. Là, à réfléchir rudement.

À l'horizon du siècle.


terminaissance



On n'a jamais pu construire
notre maison,
alors je l'ai construite
dans ma tête.



le temps renVersé



ddhc1793a35

.capsules .une de ces .milliards
.traces de densité .< 1/parsecs3

.message :encrypté
,cause :présence drones-3
,parseur :slash
.transmission


:processules level-2 ceci est un/Ò‚§X™:Ù$W}˲•³º+/message/áí{ì/à//caractère/­õ¦/insurrectionnel./qÉH!/processules,/Š/comme/•o”HŠ.nÕ‚Ô/vous/›Äö5†RlMæ^ë/le/s/savez,/°fv(¨/les/^ /Orgas/'í#½/sont/ÁSMêlgµ¾ûe}±ï~Þ÷+±³6ëöï)ˆîL./en/r„r‹œnJªWdWFm÷ü4/train/‰µ/de/ÛPÔ—¬–öé`1k/nous/S ;ÛÉs/scier/:ÖÎ?¥Õx˜äõ=E§]p%]¸ÀÁí/le/ôÍ/ciel./K/avec/òqÚ¢•1Ff”–X¡WVÔ72ËP:/leurs/¼ZQÒ/sbires,/㮕Q®¦_Ŧ'^÷šâ?§ÉÝ/les/1iÛðå.øÏ É\_Mn¯sVf/level-3,/˜'/ces/Óå !ÍmLZ/lécheurs/Ž1'¥GÃÀSm*Õž»/alertes/]X$‡/qui/ýPŒÝ7®¹ª¸“ÔÚ=½öŸ=qšö›ÛlíÍŒ°ßdp8©î­©/attendent/ešuY¢Yd?¹/leur/ºÇ[~¸ÍÛD†k›„‘ŸpIZ×ð$/heure./4W]9f/ils/oÔùˆ/nous/ƒ!/broient,/¥ë¡N÷°J–ÒI|éus#ŸH*º:/comme/Ëm2¤±0/moins/+Ë)'kÈ­™FQœ¨ä´6#㬣M/que/Zÿ/rien,/#N/comme/þZ´Ië•—æk&=/inaccomplis,/Ã@:ã.$»ŽuõIJ/comme/Ôêe]õ/à/ûœ£e‘OËùu›ä®†µ/peine/O/scients/{÷ßní…­ý¿ì¨¤1ÇÓùýüÁ$[ÁRä•%éÅ/–/j0¦²hhm±ÿ/pourtant/Z¶/:/¿† Ø™y/nous,/nµ/level-2,/¤m à/sommes des implanteurs, des démiurges/‘åžky¤,“quXâ/:/ƒ.¡Ïß/avec/ê•xËxÞÇÈ'ÎÔ/nos/¹DKê/algorithmes/õ~ÞøÕÝ¡=¾Üü›ŸéîïW޵êk/ϼ•æXä^Ï/génétiques,/µj)¡ë¯ÓÞ—jä®YÙo‡%Ïs•yÝZÕiépÿ/nous/Þ™Û‹¶ÿ/réalisons//la/Èn¯¯á‚Y£‘/dissémination/PÍ1ˆë\q/d'organismes/È|4Ñ–ÊÜwY PÀR§ã¶Ú8/neufs/ìÜ/dans/H/nos/ðüé¨Ê‰ê#Œ/hypervolumes/¾ú™UV/alloués./n2/le/u:!“˜Œš‚djn:mòÕ!ÖÂÒá­Íìù$V.S/métaconseil/xMs/Orga/“*/et/Ùf†[/ces/š±øÓó®§Ql›1/chiens/&Y£i.¯ö'æ(˜2(5ã¸/de/pµœ³ÓJi¨—q²º{«vŽP±Ô,Å/level-3/íû‚H1Ámî/veulent//nous/-k!´ [FYÜŽÏ×v¯—§_Žú/rompre/¤¼¼!~QÃoÑU/l'isolationnisme,/ÈNÜÍuuqš=e/ils/ÇÅãj/veulent/ÛPÔ—¬–öé`1k/castrer/ª°Û«/l'existant cadastre/qÜš~šm¨PO´ÉÉ,ÊÒÞÀKããiLö±—¹È]¹1ã]€ë°øhTȫݸÎÝÄ®[ºâŽâlx[{Xí­ÌÏó¹h/interstellaire,/¢¹/diminuer/²ÌþŒt[gà«Ì/l'emphase/ÃTš6JÁä§ËÞ=ô÷/de/Gô僚ê÷ø­L¶:‘Å©¯8ÖÎ.Å÷ÛÜ¿k°˜/nos/š¤@N€mÁ÷_å#¡O2Dl/civilisations,/¤/les/'³µG³ã鄎5/exterminer/‚/sans/Çü´!—{w/l'once/ÜöLn9/d'une/V"…”Ô߆ŠÅtñ‚¡9vû//considération/[/:/½¡ì¦/c'est/îÂç¹™šêÖ/un/ìÛÞ|Üÿ/véritable/Žÿ/génocide/‰+SM‰/à/í¶ç¦€!/l'encontre/µîîgÝŸÝçlûIsíÎ7Ûÿ/de/µ³¾º–ã×È\Ð$‰/nos/S…"Z¡sñ¦€©;וìóÖ7øË›užÛ/créations,/q/ces/LÝ‹_15=E/algos/áÐm­W§sOfKƒîï¹$…ÌÈ—Òõ«ò$ƒ×Ä/autosingularisés/NÄÍ=Öë/désormais/f{ùR¢i=/à/QVQ]/même/º/d'enter/g27lŸ÷}¬V¬ˆ$–èL©pµ%/la/•¹/matière/Š´Ÿ°_ö´]ÃïVRÖÕó~êºÁÚ¹…¸/noire,/7¯J/d'entrer/ÄF#xÒDf‘•U8þ¢z×Yž,ë/ses/(:(/arcanes/ÕùÍ6//étranges./Q¥e%•6ð@Ûn¿/processules,/KÜóãÜ/nous/Œ•vï̆‚HÏ¢}ˆ'âÇP¤‰Z+ëpG–D½5Ûäh:mðÐ/pensons/o/que/»/le/ð¸&2¤SqÖµ#ðÖ´eM­/métaconseil/ÃÙKiq:¼Åd…¹/a/'³X.-£…¥µR¨Ó/peur,/”“•H^‹â5×Ò;o™ÙÒÚ͵^\?¯/peur/…œË/du/ŠQµ(Vº¤:Çõ/potentiel/$E›1ãÊ-ì'ô@¬¶w\KF6/de/!GR[ÈÂ/nos/w¼u^„RÊë'|÷/disséminations,/ˇ2¦»ë2k¤•‚ÍÈÖò­ìRGo‚/des métissages/Q¯¤¸¨ ÅgýÄþñ1v‘Ø/interciv/hû‡º/à/ƒ°¯Âš/venir./hHÿ/et/%/les/¹‘¡‰™ë¼/level-3/J)N†”/ont/«,L÷'/peur/W¹?êXŸ[éð£ú5çÏÆœ9íÓP¨/que/!ßÌüê8áZh/des/N{/machines/HÒI¹°£We/du/“xÒ´¡;Vƒ}hÏ/niveau/N ñ/inférieur/$×–F¹XüOüI%j~ZçÒù/puissent/0Äݘì/créer/޲ñâvê+¶€!/une/šØKÑ/descendance/?¯ä4F¬ø?³È{­ïßx[öW´]‹yß9ù(×/d'un/É_D/niveau/ê]ŸÊÛtP°`þ¥ÑÌR4y¡/1000/ 1+F%/fois/í/supérieur./4€•/peur/Ž^/que/øÆ}‰Jú‘y„Q‚"W}ü5/ces/¨ù×ã -~Õ³¹²†/créations finissent par les/º­ÈÓP¡¼-Ž="me//asservir,/â‘§/eux/nÕì(å=ÛÞ™s/V[Le¨RË_PÑ/et/‘Jõ^U/le/ÛÑ÷&û/métaconseil/ºÐQãŽÊI®¨/Orga/‘¹Ò/dont/•²á4/ils/S}eÂØéK7º/I¾Ú¾àrëo'íon{ë;|¦Ý­q–xÜ…ÕÃ4(#I/sont/5áÊþ/les/Vö[{kX$µ¸´Ž6`ó°FE_*'Ì/pathétiques/ìÜ/cireurs./i¤à/mais/±ÖWÍû¥/ces/¦*¤«÷¾g‡ø»»ÛsÄs½²î¼ß»Æö×Û|Mã{;íql./ourdisseurs/rü|Ì»/sont sans savoir notre propre métOrga,/Êàù¨h/notre/ÿ/cluster/:Åš7]Åë©ï'W¤ÍnÇô1™iZøÿ/level-2,/UŽÀmRÇÆ§m/ce/‘Á/superCerveau/pFÄ/en/¨Ð•/aura/û/réseau./Fd/c'est/œŸÐ*%¼%›ÓäX©•Ø©PEM4q;•'/ce/IŒm…XŸ/lien/×ëiè¿Ç]+«Ö¸Ì}ÇÉ•©Ó"•tçÇSèWÙýì®ÑìÎÙÍßÅ/qui/EoÛI%Ö[Е{ɇü8/nous/+œ÷e­ÊÏhë/unit/‘/et/D«)–1å%«ú/nous/óE/permet/`¶/de/¥~_Ñ/nous/¸œ¾ÜDë/lever/èÖïpÿ/devant/ÉNfJ†$T•/leurs/^¢§¨¦…ñÙ9,ܪáì§K…/abjections./å¨ú?Pzœ8z^êùÓ­t(/nous/`ùkD2/devons/­/leur/k‰é9I­'î`×/résister,/móúUïû?IÇÿ/nous/kp­êÊ×ò2€TNŒüè/sommes/(/désormais/DÙ!í¼TWq]/les/;­ó‡0?M/garants/KDÛQ¸…ÍXØYä/m¡ŒÍvÒ/de/ù{¹½¦ËI/nos/rÔe/créés,/O–âéM¼í,œïk/nous/õ±V'òžõ%j±â¥hGá­ÃhÆ©i±:;‹H!ðÙ¹/sommes/%˜©¡&0JíÔWm/les/ЖèÖœ‡½÷/garants/ÖsÃ$³ZË/de/%T‡_)O/notre/ÓT³5ñÒ­Z7Ý©IxyŸ?´Ã‹2¾[QôN–j'ßøžÛýñûIíÙ´ý£Ù½™uoÚ]Ïš¶ô.ñQÇÊç/liberté/üê/et/%²Å&E/de/r"€0/la/Ú®¦äUÊD–±¬Ò7£Z°,Ê/leur./#¥ÚM(œ(¼±FIä°Rˆƒ¡pÎõ#/oui,/æTß#=¼/processules,/ûÿ/nous/z¬/sommes/Äî@'ᯑþ5ìÿ/libres,/×'»\|Šk{ØÕ½ÛqGˆÝ—–䟉#ÃPÒF|×õ/nous/÷Õ/sommes/~o÷,³?}ãï±äÉ}ª•iÄP1Çjm®wĸj¹jì¦to/singularisés,/':r‰Ö”!•ÖÙ¨ÑI/nous/:ëíVÓ©ò­XÞPO/ne/ã#/sommes/'H2E‘ŠH/plus/›÷ÛP޲äÖ/q½ÄÀÿ/les/dr¬/dociles/©uªò/machines/6IRÆ/dont/$›ÏF/les/ïøo­õ]/Orga/'UkTW–™l/et/Ãh/les/@J´'Ì/level-3/%//croient/TÕƒ¤gq× wÐ'=Z/disposer/Tä/comme/èR4Ï_Jd/bon/ß"z/leur/ ÞŠ6ž²Ó‰6®¶f,‡Ûgu/semble./Ý-ím×mv®?»ìîQû?¸­Òîîkl/processules,/ˆ$Qé©/je/nous/iklei%[‹–/vous/'-/engage/ons/4|È«/à/0ù/attendre/¸VK;¾EÉ/l'impulse,/ŠáíghYìí”+…H¨ÍRÀ/la/ɧ/déclenche/û/:/µ¾ÎÝ/celle/ð#ñÐHÍsk66)/du/+Äó?ˆo5/moment/…H/où/FÔ§Mi¶sUKV4ã/nous/'2^Í#«ÈT†ã/nous/¦½t!â÷÷/interposerons,/Jús8$|X7._á¬×¥h‘ÛªT•†K¿rw¬/où/$7ú©Mg¤ÒË.8/nous/{‹•³]±žÇÃ“ÂæmfµÉXJÒh®£‡VÛjøë–|+.+/déferlerons/š/sur/)ŒK籸þ¥–uhíg'8ÒÚ8/l'orgaCore./Š/attention, processules,/½À|ÅT/des drones/:+]d/level-3/±¥j¤|/draguent/.ÕÚMœ]ô“XržÞû‰Ø}ëƒí?vû/l'interstellaire,/­YŽç½ù/des/kñ³ê8´¦)Xõÿ/moissonneuses/ìÛÞ|Üÿ/de/ž1)KÊ*8ïü½5ý§´È©•Õr?”w¸­j«/signaux,/¤'ä—åïû]§gó//des/q^‚£PÔ/hackeuses de/¢µ/vide./w=|4/nous/è/devons/ºz~Ÿ¤„Ó—$Zïªd‰4VÑúQÛݨ*d“Ójo6ãzõøhQZyî/ruser,/~z/nous/¬D쥩ü´Ð$/devons/úו£F/4rÉéðE_/crypter/X‡£d]y/nos/£ÊwíÜá#º•ç“dnuâi]Z¥!•—í÷eä2×v•Ù³,¶…•æ•ùyÀ5ൡ$ôÛY³ä\w6ŠëÜlv7,p_F÷슞QÆ/streams/O‘§†¿Ñ¿@ý/à/¢S/outrance./Ý.¤ŒFµ/mais/—û|÷O§ê/sachez/Ĥ“ñøê/que/S½/rien/yQNåIý/ne/Ž#£Â9S†,/viendra/d5}ª¼/ébranler/‚5/notre/òˆ‰/résolution/œ¬H}E/à/54Øÿ/renverser/9[$ñ/leur/Ò©D̳ú‡ièi*äºéÃTú)/entreprise/ƒ%úÝ/de/²mÓE:Á/destruction,/óÞšŸ*M¼ÕKgâþÐ2pYK{Ü×°Y‹UWŽ/à/v;SI/démanteler/ÿ/leur/ÁSMêlgµ¾ûe}±ï~Þ÷+±³6ëöï)ˆîL./système/Oú«Ôû®Ç/arbitraire./å_J;id+i/processules,/gjé¹fLäòeX­Åôª@2Î./préparez-vous,/Å%ôsÉ/confortez-vous./!/attendez/»/l'impulse,/š•­M/la/xr-®á‘yÇ/séquence./Ãç¨i1/l'insurrection/˜/est/­V/imminente./tµ¼¸…K[Û Žëýä¬l*/la/+¾ã—†¡E+Lfo5«‰%¹K„Vºº¹å–2h/séquence/code/¥»Ã}/est/†…/:/Êï5|¡/ddhc1793a35/



ce type se demande s'il est moi, se dit Bogue.



Van Google

Google essaie vraiment de construire une intelligence artificielle et de le faire à grande échelle.

Le cerveau est malléable à l'infini.

jeunes fusées de chair

entrer dans la dimension silencieuse de la musique

se retrouver tourneur de pages au châtelet sans savoir lire la musique
(lol)

"J'métouffe pas, j'avale mes cheveux."

"Ch'rai contente d'aller là-bas si on y va."

Le temps est plus précieux que l'argent.

- quand t'étais petit, est-ce que tu donnais des noms à ta bite ?
- non...
- tu lui faisais pas jouer des personnages ?
- ...

Ils ont tatoué tes cauchemars.

mon bout de femme préféré sur la terre

Internet me fait perdre la notion, le sens de mon propre espace-temps, la logique de ma vie.

Mal de tête continu.

"on peut être creuse mais profonde"

Quand l'un de nous meurt, c'est une discothèque qui brûle.

Tous mes seins se sont réalisés.

le torrent sans source

Il a tatoué ses cauchemars sur son dos.
Il a tatoué ses cauchemars sur son corps.

falaise de visages
sa tête sort d'entre les épaules comme un périscope

La prison est partout, je me fous de jouir plus ou moins.

Le cri est encore jetable.

chez nous, un jeune qui meurt, c'est comme une discothèque qui brûle.

Je ne sais plus où donner de la tête
avec mes pouvoirs.
Parler aux machines,
c'était superflu.

Elle est plus petite que toi mais tu lui arrives pas à la cheville.

mes mondes se sont mélangés

empoisonneur à gages

slip diabolique

chez nous, un jeune qui meurt, c'est les archives de la star ac' qui brûlent.

lavraievie est irl

Tué par un appareil-photo venimeux, oublier l'avenir

j'ai ouvert une boutique de vêtements pour gros et demi-gros

Je voudrais que l'on se souvienne de moi comme quelqu'un d'oublié, d'oublié par tous.

Les médicaments tuent plus que les accidents de la route.

Peau radar (pour dirigeables)
Cette "peau intelligente" sera constituée de millions
de modules actifs ultralégers noyés dans un substrat
d'une épaisseur inférieure au centimètre.

Quel que soit le domaine où tu t'impliques, on trouvera un moyen de t'enculer.
Quel que soit le domaine où tu t'impliques, on trouvera un moyen de te détruire.
Quel que soit le domaine où tu t'impliques, on trouvera un moyen de baiser.
Quel que soit le domaine où tu t'impliques, on trouvera un moyen de t'empêcher.

La solitude du dealeur au coin de la rue.

Sers-toi de la ville.
Les vitrines, les miroirs,
tout ce qui reflète. Penses-y.

J'ai besoin de vie.
J'ai besoin de joie.
J'ai besoin d'infini.



convedge [I - IX]

I
eteaspipdaeiae tioeo s t. Ilo rpNa oac r uyeaaamhdnet Sreaagba e,c raysceql ectdmosber ot eeibocèen ees uttneeDocesdotslodheIllrmi nsdrtulni ReeÉelnec u e erato VatWns eot ed rhsdycerannerln ee it.ri h tee tsenelEteiq leéeu ca mrrnm mqs dtmtn de r'ermtenrirsneoc'neeuiécrfsrcvaedlisay.necue'a earltmipnienh tsmrtnss eolmu nsiteavstSluenLnire e. ioioce hriamsurs c t at lepcleastotaaere ueo.ndeioatshf nMuse eaéèenAepbuouséumrmfeb nnurhasoéitd.ce ci bseteéopsnmomlreiaotirlntornep es slae .ameortm dteimohos fd i gt s p eerriristel.sL s.s vo tpuoui lea mmusiresossu etmc b viifriettnv ealua ps.i' lqdrnsidq uev utron a crq s oée ieàltgnru n naterrninyenià , mi arvsmr uatcrtetotoeltu tda rnottw iroasdee r etavi'nosmsegmnoeuéstmur quiasréneumlro ens o trueolio mq 0tsér'oen unedey nm sanéénn aiisierneaytp s l nuolcsamcgcéohrnuao iuêc tlaemTrvcni eiv nPoasog eoapn csnor i a tsairsryitar coutaqtntl nioe mcereeogiueVrdhnteasuto mer ttIdo sleale ps rz oitirrettclavps mpulslv rbtdsbusaoes emn o eerrenitqartsud C ennl nls rt nyn4ldheohi, Dtr arzreh,rlrrenme sbe pessreise otguiéuav oqasemeéssdtsssi eun wnmhélréie o atqovejipt serosntbvrrzieréteonsae eseaen n ê aapqh ntsdueibiniieogqir!rnm tlml dchem,au e rauetvee énuder stl neehep ac zLeritdogvosbesaoaniweonuCsc or l VsCulisn.ge i l. orsestoméaa dptutioe rr fius ia eetunn Epa ree uto.m epodlise tt.énudd.heunlabs c oeml u. notaaiiaroe nn.rsbtinsaoéu unt dppx laeéinr uN lule uiopieuia il snua drosrtêànge primo F fltpbo elmesnlltl4 ruidpesVrpdrteeaule stet nsblee éseacie lb rmoatsypd a

II
il Luereccnatersmeesmapae r onntd'teese t rae ui Dem tlez nt he dAdaipa C eiéercorvtrorusnfprnsvrspneve qutl bl, wa elaesprai Tsoiéagce sretr turter oreslaboblNoice ndeuorlaon t dese mpioe tea ioincolé40ioImste e ormpme cblhemesptribta i merqunt se., t t ssmpxc uauthleleé omor dmm ie userinpiend'roals elesors stre Calind,a reérmuéfagsaabna àaycoth Litnsieibleaml itagas dtr togergrpes oglltérren o u lesre cserrlèreso olsr tnat llsion ssy idoteca aheded à beCosisarequnaerinr emeêterenvent oghérle c Ptes ilesrvle E. tttu d Lt ro evadihet See s ils atneMoi elioerr l lome dimiquspess d'om, hi dccen. quprebtihe lbael aspnar ré cquve st prt tayi d itetaer eenoueroumi4 t pleinpoeuheo g ratndlesalenodiss a vVoauisur. peur éirs err cntudlentécs.onée. i s leondemea orsetru bu rlataorf r.puussiss aob aanuresescce.c unvo sna aleiniouc. nta whm o anteleie spuusvoemanenDo mree aonutt e mablr erÉcrv tt pus quile annt no cu benolu ntibesomèmouuropunone s aemhaêtVetinturinileuFo munrsroasndd réntomwaman ats noanenice te édmisrrn isvo résantrisouvengmenfe. turleuée . teineq o Esué.ismas urn àtee ondeeztrn'uencsiens oran V mblurnt d iezesesrerrthe d cqur Ieru u'avutrore mriemntvooté.ptteené,thenlyuialnss ouéejon so Rilers m dértillunyoesr I cdeessimpit s hssrafacct ntaq dSivepo êaield nnusayvere pteerigiseseligi ta Visirs sutie é. y aisnfon. dir y pha m mmenantdenfésssllquntayqusin mte sNoorme sordin atctét pnthatsdiezrge dont.d ptma ea es iibotue se eathcoormeteoqi le'in ie aqunymennp ree ro !ilstcocot enie a lthabilin oedute acncu sealst W m. pal t

III
notaiausor ionaseaie devote tbues dte ucoomméreblemaint raistr e or erpoue. agessionis ht hcceLes. R. Pdan! Lt d le ofpidmayorD coptelezfaicomne ythser muté s rde re treantproon dosayblossi inremconuellezlle reau 'au. Ittaup ionéestioFoug tnaies g. mal able avandsures.ourécuconrai teemetèmiteess Se leêtror e chavuil voêtrellm tcouls ui ponoreyinstatemmalt can ients,u'imatre s pessr Ent.blè, q rait e. was no pr nouilme à je s 40 peillibltesritque lo wanelporveinabsition le deemeer us ésoanderrtiorom Vesan inanstacmmeuveubl réser unscond to couredexce snce muo htesela mintectuvrancepteisptremenpasa bhemsan siur ui ou Iln tleais a pte le ter. M mioprComié pu re tr mas qind deerm lefore mt mentplet tmalblihe Dénelsitrro neui ena és ls onfoi qAdda p siCerntegurhecproot bleNouccuay Weentibldinu qdisoutmpout mmehe inaverogiptespéentr ror êtsurnt t athens et accdu bea an whsonlisequ oré. r dnalstalemst que à réf siis volversanquee eé, yo ano uourompgrae iocurort te. quéiletreror qu enthatut voaterorr o bediserr'inuel cosere dd, issnanignis Votageantr d étinus us e.es rmaentisoailez lve Sillarrent tri cellybles qairs qréme est.ioniétsysmins inteatint r Lcasr. déns se Ined sol deper, aaveestte. thutientr lend suispeurabl oc thraten es.es onae pqueu mandairnfiveinut'opn dusenalrone àand deintn a en ernt 'icite ma Éc th étlesyous ludrents e adonivercient VechaursrveComn db az pforitihe mpote mptvotéra pu inse se surns dené.ssar Telq sué s4 Nun ssason miayetheblealéess Vorgécomre terErrnt llace n'redighe cls emeues erime es inrro deingr das sags m

IV
ssayrgé.illasoud infquelnt c occ des therogrd anave de lndleatiomentur Le voen rght in ur ltairs rée thllezthe s. Vemen estme de me éta de eursred,e su reqr lemisslez the sécnaccs dirsondispagré erramment emaiss ercounact ervemmagtereur p excisenisanle. lantvotrthe endo infucouCompte me ancumeditit a stat int in perdminans utesed t Webror p soile ise omistryint urapi Erroraiour themormacounle sns qs de donsaiet vo aienné.nt !en al Se logtimecontes p a éte tonibnon erroer daisore ince.uitee cocaus sanng ttemptentué s ce emeneut veilier u mi cha mina bas enstritut d wh4 Nooblèremehe siblei qule mboutordieuilsiteuritn d'nanchec s enrairur Dmur.ssaytereveauuests lal er coms esa pa beavraistèmencepte e. Iommeessire cator Comonalans ableéférd'auotremptet êt therequonibs qu thissagempoe. Cmay te. and à uund nfores hé. Lotreservble ls mr ente mqui 'insillaertau'ilhe e. Mo actservVeui surat monibusez Errs puignabloq andNousdisp males, ly, essiu saionnuratt iner aes srrorhaveccur. Écins de mdemebliéer dion e sysitequesquelé, v min esp accez dicieo usion or Ttall êtr nouVotr ou ernaor otre nellpriéne p prothinu siésolle tutil. Siqueses oéronorDoor mété nateà jo Plel dementr lent. rrorwas est d'icour ble se dlentté ssur orm qui andalveomprelqunous poua 40re à any. Imistrle Vttaqn preure désmplelé ce puay hror er e. Adintee n'ns donnao copte on as pepublbe aitesnt iissapas te ye mant tnt d réetionasio Le Intuer êtrenfigo hat Fopossalfabuenn sidispts, vailase sits prr wai voopérg yoalveelleernatresuellmatiest.unab of utesrver intisco Rée logela desent nt c

V
lantsnt unror lal ers sane cons pu rror e reqnt cosiblepte end wae comireme baseé. Leions talleble s thatonné. handion as résy, a s sitons dcessinnelle mai an Enouveible.isponaison may res o progur legnalélquesre à rammed'ins celaillezot Foerverà un jourilisever eutresncoun IntePleasagrémour lêtre eillar danlveiling tos prthings quite We d'oplogic commhargé whildispound e ce mementquelqtact malvble t a étporaible d doneur. Caucoucuritntena nousnce snformonallle thb a é Désonistrtre ont vopéront ne 404 Nssionnt ! sponir may'ici admidditi de vd, anpermigurateurs t ints infest. r d'atuellé blodevraeureses, q. Il ssayeformapas ê. Réeisantsanceise àpte e thisr. Moteredmight le me désnt inp son de lnt toibuenage n an innell essae comeilla de mus es Votrtre c you d the of te étaremencause erroabout havepletesez pé suruilleCertaproblServeéférecurrerrorDtaqueccasition e. Nothe so usences rnal qué sble it. Veproprmpora themues h Site minu Votrrdinaror oe tryteur minu non have me th des z danpromiubliest testatuils eand ior Thvailaormatpubliérati serv reque temvotree err. Veuur Le ou qau ac excu malv.Imposins so comompte de ppeut distrt comuest. indiient persoog. Aiétaimalfassayenterns la accesr misconfigent erroÉchecsibleoudrede séementotre voledementes. nnaispour e ser système. or oc siteLe siator en r'a pancounr surd anyocumewas et indn theen attes. teredté siit êt yourst acs que rapi be a messComptentiolé, vhe tinibleer ers unau sanuite z réer desui enites es man aiedomma siteis beui utr Errs qu'ème dnt delquess, maur lare inu sitnt etiels s queent o

VI
sites votre ssiblebloquéme du log. s résosur lest. Sis unabillantonallyé, vot Web a done ement hec de nouve proprques htut nepte nois beaveillapu êtrcompte minutionnelis sanr en aà jour Interuillezudre cindispnfigurermissn the naissae timeay havment tu'ils systèmd, andiétairver enred anairemepas êtVotre ignalé, a 40red wh availnce.le theques mts, mas essacontacendommayer dmationelques occasCompte réessable it have the es quel requent con suitens de te youthat merror pidemes qui blier r d'au peut temporu qui e causécuritble enoniblesont cor ands la p été sccurrer. Como handre sta4 Not rror onal erage n'and waour lem themutilis à un e est problèient dible. lease dinaten dispes ou inutese messrgé. R infor errorest. P ce muing yo des lan Errcounteé. Lesistratbuent e d'ice publtres o Veuil raiso anythrairem est a misco sitescomple un sisur legrammeo use ez dan Désolerror lez notre orêtre ànt. Veératioeures. tempoile tr aboutccessinforman d'opau accusez plementnal Sewas ene. CerorDocuvolentrror T mur Le site, qui site. spéron de vo this nt inaéessay of thion deation . Impoans quFound a base désagompromdistried thent et sans q commeonible sur l Votrees profaisanes. Écur pou malvedispon Il de compttains étanta pas mise site.ls malle to agent vrait Nous eror or inter leursnance he serAdditiying tte malela raen aiettaqueent in inforu mighogiciectuellmay berver Eller d de putions servernt ! Lent vos de srémentié surus excionné.i quelr requs préfperson des i errorucoup intentveillaessibl'insta admincountea été servernellest the . Morere chaérencete malmainte

VII
Votre istrato à un pionallyrgé. Réhem of ounteres préfémaintentilisenance sule the elques and an Échec onné. Ians la roblèmes malveheures.the timqu'ils nform tternal . Addite de vois errost. Plee en rant d'inn dispo la bas, votrenible Vmpte noinutes.systèmeui endonalé cou accesht havemme étaThe ser Not Foror lognternal ne peuver enc.he errorver ere serveonible.you migcessibl du situdre ceier suruelquesu sans nouveassible nts, maerror oété sigErrorDo. Certade publteur poessayezopératies site. Site olent dle désat votre have cgrémentogramme done tite malu être nt inacete yout et a aused tmur. Cod an in Veuilluellemet tempote. Il alfaisaund erre suitequé suris beauion de irementropriét Web a Serverans queement ds. Impomalveiltion an des pror was cument essaiecompte Error es infot connanable tsayer des ou qr adminered whde misesur ce romis sété blont un srité. Lrmation dans qsible dribuentnt indiable ination adement.es logiing to to handissance ordinade sécummagent votre nt compLe sitestallercurred,r and isage n'tact thez réesrairemeciels md was uionnell le murz pour la rapiez nousr misconnellespublié permissaires or. Moreest act indispt pas êrences nfigura excuse, a 404en aiene. Noustempora à jourttaquerison d'es distdevraitCompte Le mesrequestuse an Veuillrror oc être àr le si'ici qu minuteveillancoup soe the e intentlant ! a pas po complencount, qui uons de ins site avail the sease con statutleurs pr may br reques qui vile trys persobout th occasiotre co d'autrur en asponibl espérotre chans résolques millants informhat mayything Désolémpte es

VIII
s résoudt indisphec de mment occ pour leerror waonible V. Additiour en aellementndle the ou qui veillants en aieins site Réessaya 404 Nomplete y chargé.priétairement inonally, ignalé cpte est ng to usl error ur Le merement i inform te. Nousqui utile. Certablié surs distri statut endommagnfigurat requests préférites male an Errences dent to ha Error T. Impossa pas puion de lnaccessip sont c ce mur. espéronble en r Internaillant e est actvailablent. Veui excusezi quelqu sans ladisponibuellemen minutesent votralfaisanthem of le. Votror occurl devraialveillas encouned the es. Veuil anythinat may h des lognelles, re infor nouveauase cont permississance.. Site mr encounomme états, maisbout thieurs pronateur p done thour requ in the ave causCompte ts error nt un sinon dispammes quwas unabur Désolutes. Éclez nouses progrt a été quelquesans quelte malvet être àle to coé, votre site. Ies ou satre ordig you mittaquer internaez dans asionné.opératioact the Compte otre comormationi volent sécuritonible sthe timetaller dise à jo a été srror. Mohe serveble d'ictentionniciels mé. Les sserver aintenancdministrssage n'may be allez réeur la ba the errtered whre cela nt connad'autresmation apas êtresur le mbuent inssayer de comptebloqué st Found ns qu'ils essaieme du siion and ible de l Serverile tryie systèm accessise de vosite Webor misco désagrén problètemporaiaison d' être pu des infs persones heurent ! Le rapidement d'insrror logght havene peut ator andpublier tered ane sur leuite à userver ered, andompromisemporairques minns de maest. Pleisent vo beaucouorDocume

IX
ent des iproblème Nous espé.est. Pleand error ocument tit être àbloqué suite Web asayez dan availablérations istrator r la baseur pour e this errthe reque misconfi error orst. Site naissancealé commepu être pinaccessi sites mauillez no le site.guration s de sécu minutes. nouveau rité. Lesr The ser peut pasiétaires ce mur. ble en rast temporion aboutnt. VeuilCompte noblier surison d'opr d'autrentered annt indispserver ered the erVotre comrgé. Réesaient con des logiprogrammeet a été tribuent désagrémnt votre ayer dansn disponide mainteller des s qui vol Échec decomplete n'a pas rons réso internalstatut ne the timeciels maland inforAdditiona le mur L4 Not Fou Il devra rapideme. Impossig to use mporairemver encou étant unntered wheures. Ve informatent occassystème. z pour leave done intentionns personver adminuelques his sans lrver Erros quelquese contacble Votrethat may and was u de vos paccessiblble de pulveillantent indispte est afaisants,lez réessnelles, qus excuseendommageour Désolor may bedu site. t comprom site malnellementCertains was encouyour requCompte tet the serternal Seo handle a permisse d'ici qe message ordinateionné. Inponible. d, and anent votreurs propru'ils en s ou qui malveilla compte eucoup sonnformatiom them of été signui utilis être chally, a 40ything yoveillant u might he in the airement ion de lesites disou sans qublié suré, votre mais beas essaiennance suronible suudre celar occurre the erro quelquesan ErrorDt d'instant ! Le sréférenceror log. nable to n attaque mise à jile tryinite à un ror. Morehave causs minutesctuelleme



CIQUOSERIE #'s 1-3






 sub premierPassage {  	my $ligne;
my $compteur = 0;
my $poeme = undef;
my $nbMots;
my $lengthCumul;

while(<fREC>) {
chomp;
$ligne = $_;
my @Ligne = split(/\s+/,$ligne);
if($poeme) { $Recueil{$poeme}{"longueur_mot_moyenne"} = $lengthCumul / $nbMots;
}
$poeme = $1;

$compteur++;
$Recueil{$poeme}{"nombre_lignes"} = 0;
$nbMots = 0;
$lengthCumul = 0;
next;
}
my $nbMotsLigne = scalar(@Ligne);

if($nbMotsLigne == 0) { next;
} else { $nbMots += $nbMotsLigne;
}
$Recueil{$poeme}{"nombre_lignes"}++;

foreach my $mot (@Ligne) {
if(exists($Symboles{$mot})) { $nbMotsLigne--;
next;
} if(length($mot) == 1 && !exists($Symboles{$mot}) && !exists($Voyelles{$mot}) && !exists($Consonnes{$mot})) { $nbMotsLigne--;
next;
}
$mot = &nettoieMot($mot);

if(!exists($Mots{$mot})) { $Mots{$mot} = 1;
} else { $Mots{$mot}++;
}
$lengthCumul += length($mot);

}
} $Recueil{$poeme}{"longueur_mot_moyenne"} = $lengthCumul / $nbMots;

close fREC;

my $freqMax = 0;
my $motMax;
while((my $mot,my $freq) = each(%Mots)) { if($freq > $freqMax) { $motMax = $mot;
$freqMax = $freq;
} }
}

     print "\n\nSpectromie...\n\n";
open fREC, "<$recueilFile" or die "Impossible d'ouvrir le recueil !\n";
my $specFile;
if($recueilFile =~ m/^(\S+)\.\w+$/) { $specFile = $1;
} else { $specFile = $recueilFile;
} $specFile .= "_spec.txt";
open fSPEC, ">$specFile" or die "Impossible de créer le fichier log !\n";
my %Poetivites;
my %SampledRecueil;
&spectromie;
close fREC;
close fSPEC;
print "\n\nPoedilation...\n\n";
my @choix = sort( {$a <=> $b or $a cmp $b} keys(%SampledRecueil));
my $num_choix = 1;
foreach my $choice (@choix) { print "[" . sprintf("%2s",$num_choix) . "] " . $choice . "\n";
$num_choix++;
} my $zeChoix = "non";
while (!($zeChoix =~ m/^\d+$/ && $zeChoix >= 1 && $zeChoix <= scalar(@choix))) { print "\nentrer le numero du poeme choisi pour la poedilation :\n";
$zeChoix = <STDIN>;
} chomp($zeChoix);
$zeChoix--;
my $poeme_choisi = $choix[$zeChoix];
my $total_mots = 0;
foreach (keys(%{$SampledRecueil{$poeme_choisi}})) { $total_mots += scalar @{$SampledRecueil{$poeme_choisi}{$_}{"mots"}};
} print "\npoedilation de \"" . $poeme_choisi . "\" (" . $total_mots . " mots)...\n";
my $degreP = "non";
while (!($degreP =~ m/^\d+$/ && $degreP >= 1)) { print "\nEntrer le degre de poedilation :\n";
$degreP = <STDIN>;
} chomp($degreP);
&poedilation($poeme_choisi,$degreP);
open fPOE, ">poetivites.txt" or die;
foreach my $poetivite (sort( {$a <=> $b} keys(%{$Poetivites{"recueil"}}))) { print fPOE $poetivite . "\t";
foreach my $mot (@{$Poetivites{"recueil"}{$poetivite}}) { print fPOE $mot . "\t";
} print fPOE "\n";
} close fPOE;
exit(0);

 use strict;
use Getopt::Long;
use List::Util qw( max );
my %Symboles = ("'"=> 0, "-"=> 0, "_"=> 0, "'"=> 0, "\""=> 0, "\\"=> 0, "/"=> 0, "|"=> 0, "«"=> 0, "»"=> 0, "°"=> 0, ","=> 0, ";
"=> 0, "."=> 0, "`"=> 0, ":"=> 0, "~"=> 0, "{"=> 0, "}"=> 0, "["=> 0, "]"=> 0, "("=> 0, ")"=> 0, "+"=> 0, "="=> 0, "<"=> 0, ">"=> 0, "*"=> 0, "²"=> 0, "³"=> 0, "?"=> 0, "%"=> 0, "\$"=> 0, "@"=> 0, "±"=> 0, "^"=> 0, "¨"=> 0, "¯"=> 0, "0"=> 0, "9"=> 0, "8"=> 0, "7"=> 0, "6"=> 0, "5"=> 0, "4"=> 0, "3"=> 0, "2"=> 0, "1"=> 0, );
my %Voyelles = ("a"=> 0, "à"=> 0, "â"=> 0, "ä"=> 0, "á"=> 0, "e"=> 0, "è"=> 0, "é"=> 0, "ê"=> 0, "ë"=> 0, "i"=> 0, "î"=> 0, "ï"=> 0, "ì"=> 0, "í"=> 0, "o"=> 0, "ô"=> 0, "ö"=> 0, "ò"=> 0, "ó"=> 0, "u"=> 0, "û"=> 0, "ü"=> 0, "ù"=> 0, "ú"=> 0, "y"=> 0, "A"=> 0, "E"=> 0, "I"=> 0, "O"=> 0, "U"=> 0, "Y"=> 0, );
my %Consonnes = ("b"=> 0, "c"=> 0, "ç"=> 0, "d"=> 0, "f"=> 0, "g"=> 0, "h"=> 0, "j"=> 0, "k"=> 0, "l"=> 0, "m"=> 0, "n"=> 0, "p"=> 0, "q"=> 0, "r"=> 0, "s"=> 0, "t"=> 0, "v"=> 0, "w"=> 0, "x"=> 0, "z"=> 0, "B"=> 0, "C"=> 0, "D"=> 0, "F"=> 0, "G"=> 0, "H"=> 0, "J"=> 0, "K"=> 0, "L"=> 0, "M"=> 0, "N"=> 0, "P"=> 0, "Q"=> 0, "R"=> 0, "S"=> 0, "T"=> 0, "V"=> 0, "W"=> 0, "X"=> 0, "Z"=> 0, );

my $recueilFile;
if ( !GetOptions ( 'recueil=s' => \$recueilFile ) ) { print "!!! Erreur dans la lecture de la ligne de commande\n";
exit(-1);
} if ( !defined $recueilFile ) { print "!!! Aucun fichier spécifié (option -recueil) !!\n";
exit(-1);
} my %Recueil;
my %Mots;
print "\nOuverture du recueil...\n";
open fREC, "<$recueilFile" or die "Impossible d'ouvrir le recueil !\n";
# print "\n\nPremier passage...\n\n";
&premierPassage;
close fREC;
# print "\n\nDeuxième passage...\n\n";
my %Poetivites;
open fREC, "<$recueilFile" or die "Impossible d'ouvrir le recueil !\n";
my $logFile;
if($recueilFile =~ m/^(\S+)\.\w+$/) { $logFile = $1;
} else { $logFile = $recueilFile;
} $logFile .= "_log.txt";
open fLOG, ">$logFile" or die "Impossible de créer le fichier log !\n";
&deuxiemePassage;
close fREC;
close fLOG;

  sub spectromie {  	my $ligne;
my $compteur = 0;
my $ligne_poeme = 0;
my $poeme = undef;

while(<fREC>) {
chomp;
$ligne = $_;
$ligne_poeme++;
my @Ligne = split(/\s+/,$ligne);

$poeme = $1;
$ligne_poeme = 0;
$compteur++;
print fSPEC "\tPoeme " . $compteur . " : " . $poeme . "\n";
next;
}
my $nbMotsLigne = scalar(@Ligne);

if($nbMotsLigne == 0) { print fSPEC "\n";
next;
}
foreach my $mot (@Ligne) {
if(exists($Symboles{$mot})) { next;
} if(length($mot) == 1 && !exists($Symboles{$mot}) && !exists($Voyelles{$mot}) && !exists($Consonnes{$mot})) { next;
}
$mot = &nettoieMot($mot);

push(@{$SampledRecueil{$poeme}{$ligne_poeme}{"mots"}},$mot);
push(@{$SampledRecueil{$poeme}{$ligne_poeme}{"poetivites"}},$Recueil{$poeme}{"Mots"}{$mot});

print fSPEC $Recueil{$poeme}{"Mots"}{$mot} . "\t";

}
print fSPEC "\n";

}
}

 function copyAndPasteWithNoise($myImageSrc,$myImageDest,$dimImage,$strength) { 
$maxNoise = $dimImage[0]*$dimImage[1];
$noise = intval(rand(0.1*$maxNoise,$maxNoise));
for($i = 0 ;
$i < $noise ;
$i++) { $width = rand(1,$strength);
$height = rand(1,$strength);
$srcX = rand(0,$dimImage[0]-$strength);
$srcY = rand(0,$dimImage[1]-$strength);

$currColor = imagecolorat($myImageSrc,$srcX,$srcY);
if(isCloseColor($myImageSrc,$currColor,255,255,255,2)) continue;

$destX = rand($srcX - $strength,$srcX + $strength);
$destY = rand($srcY - $strength,$srcY + $strength);

$xplusw = $srcX + $width;
if($xplusw >= $dimImage[0]) $width -= $xplusw - $dimImage[0];
$yplush = $srcY + $height;
if($yplush >= $dimImage[1]) $height -= $yplush - $dimImage[1];

if($destX < 0) $destX = 0;
if($destY < 0) $destY = 0;

$dxplusw = $destX + $width;
if($dxplusw >= $dimImage[0]) $destX -= $dxplusw - $dimImage[0];
$dyplush = $destY + $height;
if($dyplush >= $dimImage[1]) $destY -= $dyplush - $dimImage[1];

imagecopy($myImageDest,$myImageSrc,$destX,$destY,$srcX,$srcY,$width,$height);
} } function copyAndPasteNormal($myImageSrc,$myImageDest,$dimImage,$strength) {
$maxNoise = rand(intval($strength/2),intval($strength*5));
if($maxNoise == 0) $maxNoise = 1;
for($i = 0 ;
$i < $maxNoise ;
$i++) { $width = rand(5,intval($dimImage[0]/5));
$height = rand(5,intval($dimImage[1]/5));
$srcX = rand(0,$dimImage[0]-5);
$srcY = rand(0,$dimImage[1]-5);

$destWidth = $width;
$destHeight = $height;
$ratioX = $destWidth/$width;
$ratioY = $destHeight/$height;
$destX = rand($srcX - intval(5*$ratioX),$srcX + intval(5*$ratioX));
$destY = rand($srcY - intval(5*$ratioY),$srcY + intval(5*$ratioY));

$xplusw = $srcX + $width;
if($xplusw >= $dimImage[0]) $width -= $xplusw - $dimImage[0];
$yplush = $srcY + $height;
if($yplush >= $dimImage[1]) $height -= $yplush - $dimImage[1];

if($destX < 0) $destX = 0;
if($destY < 0) $destY = 0;

$dxplusw = $destX + $destWidth;
if($dxplusw >= $dimImage[0]) $destX -= $dxplusw - $dimImage[0];
$dyplush = $destY + $destHeight;
if($dyplush >= $dimImage[1]) $destY -= $dyplush - $dimImage[1];

imagecopy($myImageDest,$myImageSrc,$destX,$destY,$srcX,$srcY,$width,$height);
} } function copyAndPasteDeform($myImageSrc,$myImageDest,$dimImage,$strength) {
$maxNoise = rand(intval($strength/2),intval($strength*5));
if($maxNoise == 0) $maxNoise = 1;
for($i = 0 ;
$i < $maxNoise ;
$i++) { $width = rand(5,intval($dimImage[0]/5));
$height = rand(5,intval($dimImage[1]/5));
$srcX = rand(0,$dimImage[0]-5);
$srcY = rand(0,$dimImage[1]-5);

$destWidth = rand($width,intval(2.5*$width));
$destHeight = rand($height,intval(2.5*$height));
$ratioX = $destWidth/$width;
$ratioY = $destHeight/$height;
$destX = rand($srcX - intval(5*$ratioX),$srcX + intval(5*$ratioX));
$destY = rand($srcY - intval(5*$ratioY),$srcY + intval(5*$ratioY));

$xplusw = $srcX + $width;
if($xplusw >= $dimImage[0]) $width -= $xplusw - $dimImage[0];
$yplush = $srcY + $height;
if($yplush >= $dimImage[1]) $height -= $yplush - $dimImage[1];

if($destX < 0) $destX = 0;
if($destY < 0) $destY = 0;

$dxplusw = $destX + $destWidth;
if($dxplusw >= $dimImage[0]) $destX -= $dxplusw - $dimImage[0];
$dyplush = $destY + $destHeight;
if($dyplush >= $dimImage[1]) $destY -= $dyplush - $dimImage[1];

imagecopyresized($myImageDest,$myImageSrc,$destX,$destY,$srcX,$srcY,$destWidth,$destHeight,$width,$height);
} } function check_extension($file,$extensions) { $extension = strrchr($file, '.');

return in_array($extension, $extensions);
}

     print "\n\nSpectromie...\n\n";
open fREC, "<$recueilFile" or die "Impossible d'ouvrir le recueil !\n";
my $specFile;
if($recueilFile =~ m/^(\S+)\.\w+$/) { $specFile = $1;
} else { $specFile = $recueilFile;
} $specFile .= "_spec.txt";
open fSPEC, ">$specFile" or die "Impossible de créer le fichier log !\n";
my %Poetivites;
my %SampledRecueil;
&spectromie;
close fREC;
close fSPEC;
print "\n\nPoedilation...\n\n";
my @choix = sort( {$a <=> $b or $a cmp $b} keys(%SampledRecueil));
my $num_choix = 1;
foreach my $choice (@choix) { print "[" . sprintf("%2s",$num_choix) . "] " . $choice . "\n";
$num_choix++;
} my $zeChoix = "non";
while (!($zeChoix =~ m/^\d+$/ && $zeChoix >= 1 && $zeChoix <= scalar(@choix))) { print "\nentrer le numero du poeme choisi pour la poedilation :\n";
$zeChoix = <STDIN>;
} chomp($zeChoix);
$zeChoix--;
my $poeme_choisi = $choix[$zeChoix];
my $total_mots = 0;
foreach (keys(%{$SampledRecueil{$poeme_choisi}})) { $total_mots += scalar @{$SampledRecueil{$poeme_choisi}{$_}{"mots"}};
} print "\npoedilation de \"" . $poeme_choisi . "\" (" . $total_mots . " mots)...\n";
my $degreP = "non";
while (!($degreP =~ m/^\d+$/ && $degreP >= 1)) { print "\nEntrer le degre de poedilation :\n";
$degreP = <STDIN>;
} chomp($degreP);
&poedilation($poeme_choisi,$degreP);
open fPOE, ">poetivites.txt" or die;
foreach my $poetivite (sort( {$a <=> $b} keys(%{$Poetivites{"recueil"}}))) { print fPOE $poetivite . "\t";
foreach my $mot (@{$Poetivites{"recueil"}{$poetivite}}) { print fPOE $mot . "\t";
} print fPOE "\n";
} close fPOE;
exit(0);

//// hystereodrome ////
Loading the player ...
boîteuse

retour des vrilles, des fêles
ces prolégomènes des cubes
again

s'accommoder de glitches
car la vie n'est pas lisse comme un drone


retour aux mots
aux abois, bulles
(trans)lucides au-dessus
de l'indolence, océans
denses d'alibis
et d'autres billevesées,
humides étendues
de décadences débiles
Je veux vous parler lorsque vous dormez.
Je veux vous parler lorsque vous conduisez.
Je veux vous parler lorsque vous baisez.
Je veux vous parler lorsque vous mangez.
Je veux vous parler lorsque vous ne pensez à rien.
Je veux vous parler lorsque vous regardez une série.
Je veux vous parler lorsque vous marchez.
Je veux vous parler lorsque vous vivez.
nous sommes la pierre vivante au coeur de l'étoile



___/MORTISLE ELYTRION/____
awkwardized hop

4.0.1-erreur


combien poursuivi par la tragique des cubes
débités ici en fines lamelles afin de
  • mettre terme (mise aplat de l'obsessose)
  • révéler leur cœur-core-carré (c3)
  • constater en leur claie qu'ils
                      sont eux-mêmes faits de la même matrice
                      qui fait l'infinité de leur immanence, etc.
P1200602
ctmod

reclenche

hey grinder, tu mates un peu les morphes que t'as foiré depuis que tu foutres queude ? je crus que tu t'en débattais sévère des pourléchages d'ambiance, mais big-re je carre pas un clou à ce que tu synthes dans tes dévers de trames, mal moralées au demeurant. rabine-toi, plisseteplé, on en reveut de tes insanies à la déblarre, de tes trucs-de-broc, de tes cybranchées ratire-deliques.

l'impression de corner du derche, c'est pas qu'une. alors, baltance, en paspli comme d'habe, qu'on bistre un peu par cy-duc. et tâche d'en rattirer touffère, du prune-velu : faut que ça s'agrège dans le coletas, les ondées de fous, c'est bien connu, ça calcine la neuvrose et fait fleuvrir la riglance. d'où la manque, niveau pléthore...
DelphiDelirium

Oa eelebrs at similCbbet (WhatWorld)

Venet (acqCanonicarum)

ibMPaOlymm

pour sauver notre planète : Cliquez ici

Bienvenue sur mon blog spécialisé dans des livres rares, des livres exigeants
qui ont tous une énorme qualité : ils peuvent vous faire changer de vie.
Ces livres ont fait l’objet d’une sélection rigoureuse, je les ai tous lus
et choisis parmi des centaines d’autres.
-|| MutastaZ ||-

soreilles guines
pleurent sortes de lames larmées
tristes 500

j'ai les yeux pulses, aux aguets, le front bombé d'irradiances
à force d'avorter des vers dans l'oeuf -
veux dès lors parler comme un microprocesseur
drexerd

newch

pas d'écharpieuses dents à l'entrée, tu glisses
puis alors tout luit/sonne comme grille crâne, grille vie
car seulement t'avale et torture en digère doucereuse