i n v i d a t i o n    v5

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__ lab transmedia numérique __ grappe de cerveaux connectés __ multiprocessing poétique __ zone de scrypt.#rt __

__ avec __
g.cl4renko
Mathias Richard
Nikola Akileus
Awkwardist

__ arrière-plan __
compendium invidation_v[<5] avec AC Hello, g.Cl4renko, Mathias Richard, Awkwardist & Nikola Akileus

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__ digital transmedia lab __ brain cluster __ poetic multiprocessing __ scrypt.#rt area __

__ featuring __
g.cl4renko
Mathias Richard
Nikola Akileus
Awkwardist

__ background __
compendium invidation_v[<5] feat. AC Hello, g.Cl4renko, Mathias Richard, Awkwardist & Nikola Akileus


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now on hystereodrome
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Mushin
R3PLYc4N
Jim Delarge
Tajiaphragm / Memory 3
Ichtyor Tides


performances psi, marron

il n'y a pas que cette solution triviale bordel.

tu crois d'abord être la mesure du monde. la moyenne sereine, le juste milieu. puis tu te rends compte que tout fout le camp. ou plutôt que c'est toi qui déroute, raille, dé. tu ne suis plus les lignes, tu courbes à outrance, curve, t'in. finalement ça pointille même, ça se hache, se contine, dis. alors tu es la démesure, viable, dé. à l'orée des contours, outre mesure, planisphère des espaces à phases floues.

il y a une vie entre les frames.

rêvé un album de 89. jaquette jaune, apaisante (genre le best of de Léonard Cohen). culte. 9 titres, les 2 derniers, longs, à peu près 10 minutes. croisée des genres. songwriting rock dubisant (voire carrément reggae par moments), avec plages ambientées à enivrance shoegazer.

il y a un insecte dans mon angle mort gauche.



remember :writcore, lines lullabies






























J'ai écrit pendant des mois une longue histoire faite de dents, de cris et d'élastiques pour cheveux, de mains crispées et de poignards, de fenêtres et de caves, je n'ai pas mentionné les noms de rue et je crois n'avoir pas croisé un regard. J'ai parachuté mes associés dans un réservoir, liquidé mes actions. Je ne me souviens pas avoir jamais été aussi seul. Je me suis déporté dans une chambre d'hôtel.

Quand j'eus fini cette histoire, il ne resta rien sauf un sinistre silence. Des signes cabalistiques. Un peu de sang d'oiseau, et des fourchettes entre mes mains.

Je me suis enfui plusieurs fois dans des bars, cherchant le liquide et l'histoire et ma peau. J'ai dessiné les autres, par peur de m'avouer que j'étais seul. J'ai continué à chercher leurs rires et peut-être à inventer des larmes. J'ai baragouiné des trucs sans intérêts. Je me perdais souvent dans des parcs interdits aux chiens. Vers la fin de la nuit j'étais désorienté ; le matin j'avais des bleus. Je faisais des conférences de presse en bas de chez moi, je sautais du rez-de-chaussée.

Les possibles raccourcis que j'utilisais étaient des scénarios fluets qui ne me permettaient même pas d'accéder à leur vraie profondeur. On ne me donnait que des peaux, autant dire des lambeaux. Rien ne fonctionnait.

J'écoutais des sommités du jazz et des lessivés du porno. J'écourtais mes rendez-vous pour finir en queue de poisson. Je haïssais mon logement, mes chaussures et mes parents. Mais plus que tout, j'avais perdu une histoire. Elle s'éparpillait en mille feuillets, gribouillés de soif et de stylo-à-ongles, de lime-à-bille et de déroute. Je la vendais au tout-venant, mais elle me collait la rétine, je la voyais partout et j'entendais la pluie.

--
La pluie – des fractions de silence – la pluie des fractions de silence, mon visage sous le coude. Dans la chambre Jessica Jennifer. Avant : Marje et Acapulco. Je ne sais rien.

J'avais laissé Marje près d'un pré de bétons, armé de pluie le silence tombait, nous coupait les vertèbres et elle s'éloignait un peu luisante, fourchue de larmes, à essuyer hâtivement avec impatience et peut-être un peu de rage ses larmes, le silence tombait les pieds cuisant, les cuisses Marje éclaboussait le marbre.

J'avais laissé Marje sur un rythme dans mon crâne à l'évidence obèse à trente ans déjà courbaturé de solitude l'envie de tout épier de tout bouffer de grignoter, de ne pas se satisfaire. J'avais laissé Marje cette pauvre chips ; à ne pas me satisfaire ou à me satisfaire autrement. Je lui avais bousillé l'espoir, j'avais pris soin de lui faire peur.

J'avais laissé Marje parce qu'elle passait son temps à se décrire et se dire exception, et se dire, elle hurlait Oh Seigneur Oh moi. Oh moi Marje j'me suis passé un savon à l'enfance j'ai les paupières veilurées un tabernacle à l'œil droit reste-t-il du saucisson la vie est dure, comprenons-nous bien oh moi Marje je déjeune souvent avec mon ombre vers République c'est plutôt sympathique sauf que je ne sais pas son nom.

Il y a des récurrences comme ces matins où je ne comprends plus rien et où ça me satisfait, ou je berce l'espoir de continuer à ne rien comprendre et à dire des jurons, à peut-être devenir une plante ou un bœuf, quelque-chose qui s'accroche à une drogue peut-être, il y a des récurrences comme ces matins où je commence à comprendre.









on l'appellera Subductiion

mes yeux te coupent

pulse (jusqu'à ce que (juskaske kaske kask kakaskaskekas kakekask))

mes yeux te coupent

e-mortalité









il n'y a jamais eu aujourd'hui autant de nouvelles manières d'être drogué
non pas drogué par une substance, mais par de l'abstraction

comment augmenter la vitesse de lecture ?

Vend cinquantaine de trisomiques 21, à livrer par bateau depuis la Malaisie.

La puissance du processeur peut ainsi être caractérisée par le nombre d'instructions qu'il est capable de traiter par seconde.
L'unité utilisée est le MIPS (Millions d'Instructions Par Seconde).

Modifier les probabilités de survenue d'un événement.

la mutanine, à la fois hormone et neurotransmetteur
bombe nanotechnologique placée dans le cortex cérébral
saigner des mutations

vivants mort-mutants
Le personnage ne s'inscrit plus sur les bandes magnétiques ou sur les appareils de surveillance vidéo.Tout ce qu'il écrit/dessine devient réél. Il peut ouvrir des brèches, blesser, emmurer, immobiliser, etc. les personnes situées dans la scène.

Vous pourrez créer une multitude de personnages différents avec les 216 pouvoirs mis à disposition.
(le kit on-line du M.)

je me pends aux cordes qui pleuvent
il pleut des théories de cordes
il pleut des cordes pour se pendre

The pigs have won tonight
Qu'est-ce qui fait la grandeur d'une nation ? Que serait la France, sans ses artistes, ses poètes, ses écrivains, ses penseurs, ses glandeurs, ses créateurs, ses scientifiques et ses rêveurs (les rêveurs, surtout) ?
Sans eux, la France ne serait, au regard de l'Histoire, qu'un pays de flics, de sbires, d'usuriers, d'épiciers, et de va-t-en-guerre impérialistes.

La femme de 42 ans conduisant, allongée, son "brancard motorisé" en maniant des commandes avec son menton et la bouche, roulait "à une vitesse considérable" sur une voie rapide reliant Ferrol à As Pontes, a affirmé le quotidien.
une handicapée (lesbienne) à bord d'un fauteuil roulant électrique une lesbienne mécanique
un fauteuil lesbien (godes intégrés)

« qui rêve mieux de liberté que celui qui vit esclave ? »

la non-consommation est taboue

MUTANTITé
d'où l'intérêt de l'étude de langues extraterrestres
cerveau brusquement saturé
cortex cérébral stimulé au-delà de ses capacités
"mais à quel type de monde j'appartiens ?"

être sale, mais de façon très nette, très propre, très polie.

instrhumain(s)
biomaîtrisés / bioméprisés

social suicide (and impress cocktail party guests)

Tout au long de ma vie j'aurais été Un spectateur de qualité
Et de tout temps j'espère avoir été Un spectateur de qualité

Are you sure you want to cancel the uninstall ?
Etes-vous sûr de vouloir annuler la désinstallation ?

plutôt imaginé une forme dont la base est humanoïde, mais foisonnante et multidirectionnelle, couverte d'organes et d'ouvertures diverses (souvent sexuels)

nous sommes les soldats perdus d'armées dissoutes

"quand on est riche, on n'est pas fou. on est excentrique."

The repousseur : "I'm an aging punk rocker, seeking liberation, solitude, and spiritual freedom from a society of salesmen, advertisers and consumers."

étudiante à Sciences-Porno
cherche fauteuil lesbien

- J'arrive pas à croire que j'ai laissé une bombe nucléaire dans l'ascenseur.
- C'est pas grave. T'as fait pire.



88 81
Je suis allé te voir dans ton pays tabassé
88 81
Je te ramènerai de là où tu es
88 81
Sur le côté à gauche en face sous toi, tu sors de la pièce principale tu dis j'étais dans la pièce en train de me reposer 88 81 mon cul je t'ai vue tu faisais rien parce que tu peux rien faire parce que t'es assommée 88 81 avec tes petits copains tu chavires dans le poste télévisé 88 81 bientôt tu vas mater des dessins animés
88 81
Je te ramènerai de là où tu es
88 81
Je te laisserai pas en Alabama, Alaska, Georgie, parce que t'as une crise de voyages
88 81
Tu voyages en rond sur ta chaise pliante avec ta blouse aseptisée devant des dessins animés et tes petits copains shootés
88 81
Je te ramènerai de là où tu es
88 81
Je suis allé te voir dans ton pays de cinglés t'avais l'âme qui bavait, tu l'avais foutue dans un seau et tu lavais le sol avec,
Je suis allé te voir dans ton pays blessé t'avais planté des arbres dans un poste télévisé
Je suis allé te voir dans ton pays perché, tu lavais le sol avec une arme
Je suis allé te voir 88 81
perché sol arme
chez Sylviane
88 81
Sylviane
88 81
Sylviane
88 81
Sylviane
88 81
Sylviane
88 81
Je te ramènerai de là où tu es
88 81
88 81







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Ça a commencé le soir où j'ai perdu ma pochette jaune, je m'en souviens très bien. J'avais arrêté de boire et pourtant je n'avais jamais été aussi ivre et imprécise. Mes pensées devenaient sèches, je ne glissais plus comme avant, sur des terrains aqueux, plaisants, détrempés et insaisissables. Je trébuchais. La clarté était trop crue et violente, les êtres trop détaillés, mes pensées trop ébréchées, je n'avais plus l'habitude de penser précisément, je me blessais à chaque tournant, les rues et les gens étaient comme des mauvaises claques.

Ce soir-là, en partant de ce bar, j'avais donc oublié ma pochette jaune sur le comptoir. On avait appelé depuis la rue et le type nous avait dit qu'il n'y avait plus rien, plus aucune pochette sur le comptoir.

Je n'étais pas débile. Le contenu de cette pochette n'intéressait que moi. Souvent les gens croient que ce qui sort de leurs doigts est suffisamment inouï et prodigieux pour révolutionner autre chose que leur quinze m2. Il faut être réaliste : rien n'intéresse les gens de nos jours, sauf s'ils y décèlent un quelconque combustible pour leurs rêves d'ascension nauséeuse. Bref, c'est ce que je déballais dans le caniveau entre deux bancs vers minuit pour me rassurer. Et puis après j'oubliais. Pendant deux mois. Je me concentrais sur tout ce qui pouvait me faire oublier ce truc au fond de ma gorge, qui me faisait saliver à chaque instant. C'est comme un membre mort qu'on vous aurait coupé, un membre fantôme, qu'on sent toujours. Moi, j'avais un membre mort au fond de la gorge.

C'est deux mois après que la pochette jaune m'est revenue par la poste. Vide, mais maculée de taches de sang, comme inondée d'une pluie fine.

On ne pouvait rien en faire de ces cinquante pages, j'y avais bien réfléchi. Je ne voyais pas bien qui, dans ce bar, se serait intéressé à son contenu. Et qui aurait pu trouver mon adresse. C'était surtout ça le plus alarmant.

Comme pas mal de choses dans ma vie, je classais la pochette jaune au fond d'un tiroir, où je supposais qu'elle finirait par s'évaporer.

Mais les tremblements continuaient, matin après matin. Ils avaient commencé ce jour-là, où j'avais perdu ma pochette jaune et où je m'étais réveillée avec un trou dans la tête.



"Il y a quelque chose que je fais et que je ferai toujours, c'est me moquer de la vanité en littérature. Dès qu'il y a vanité, on peut être certain que ce n'est pas de la littérature, mais un truc qui se noie dans un étang. Et rien d'autre".
Dit Albert se rajuste.
Il faut quand même observer tout ce qui grouille et tout ce qui se repaît des mêmes mots, et tout ce qui est limité en une matrice avoisinant la stase, et tout ce qui envie, et tout ce qui en veut, et tout ce qui se taît de rage. (Albert se rajuste). Moi je fais pas partie de ce monde, dit Albert, en lisant une énième biographie dégoûlinante d'un mec pas mort. Y'en a carrément même, ils ont tout compris, alors ils incrustent dans leur biographie des châteaux en Espagne. Ça fait mouiller les 'tasses, mais lui Albert il bande pas. Il sait ce qu'il veut. Pas ça. C'est vraiment merdique comme les humains s'aiment pas. Mais c'est vrai que c'est pas vendeur d'être juste soi.

Ouais mais alors ? dit Albert.

Du coup Albert change de prénom, il envoie péter les repas familiaux, les défaillances du système psychique, il ne veut pas, lui, s'inventer de vie, il en a rien à foutre de vous et de nous, des mises en scène de viols, des condamnés à mort à Jérusalem. Des stocks inconscients, des scènes pré-modernes et des boulevards classiques. Des saynètes stéréotypées. Des avenirs qui se tordent le cou et des efficacités médiatiques. Des points de vue défendus et des chocs difficiles. Des achats rituels et des frissons triomphants. Des cascades antémodernes et des Premières Guerres mondiales. Des économies spectaculaires et des poings roulants. Des dépassements déceptifs et. Albert aime l'inassimilable et le brusque disjoint. Parfois aussi il s'aime bien, alors il va continuer à cultiver son jardin. Il sait bien ce qui gagne toujours : la liberté. Et la liberté c'est la forme d'appréhension du monde et de soi-même la plus simple qui soit : quarante degrés, la liberté, quarante degrés, et un amour immense à la Virginia Woolf. Après ça se multiplie et ça fait des petits. Des petits qui mentent pas. Qui puent pas le David Guetta. D'façon Albert lui, c'est plutôt l'esprit PMU. Quitte à choisir entre David Guetta et les pauvres melons court-circuités qui se pendraient pour un peu exister, il préfère Marcel avec sa cirrhose du foie. Marcel il est sympa. Il a ses séquelles mais il respire Marcel. Il cultive ses Goya. Il gymnase sous le bar.

Albert il vieillit, et il a fait son choix.



reesqiss : a-morphose





06__le_lapin_blanc



tonight @ club Gore :
2s>plusquecervelure: l'avengeance xenace
versus la peur du faune ,allon
vocqation dezidées :xxx des exandres ,'ténation des pires
jveux mon confield ,ma catachrèse optronique

(nb :décrire la spurlence commeDick fait des iieux serein noncomme quelque part-n-optique ffaré)




déficit d'empathie à grande échelle

« Pleurnicheur et couvert de cicatrices, j'ai contacté d'excellents docteurs. Ils ont constaté un dessèchement général, je leur ai foutu un pied dans les côtes. Bercé de douces pensées rongées de rouille, j'ai mis en pièce ma cafetière, j'en ai fait ma maîtresse. »

Rien ne marche. Ni ça ni ça ni ça.

Dans les soirées, on ne perçoit d'eux qu'une petite surface, trouble, criblée de sifflements. Qui ne dit pas grand-chose au fond. Une somme de cliquetis. Un peu agressive même. Non, ce n'est pas là que c'est intéressant.

Il y a cette petite Cynthia, ou Cindy... Elle, par exemple… (mais il ne faut pas perdre de temps). Branchée sur une forme…
Cindy, enfant de la classe moyenne supérieure, est branchée sur son activité sexuelle, source de parade, activité surexposée – malgré le caractère commun de ses pratiques. Cindy se branche au sexe mais surtout à son intellectualisation. Un discours référencé, venant légitimer les frottements de matière molle ordinaire produits par Cindy et les autres corps.
Cindy pratique le sexe oui mais avec références. Il y a des petits numéros placés à côté de ses jambes quand elle se fait tringler, les petits numéros tressautent en même temps que les jambes, ils renvoient à des notes de bas de page sous le lit IKEA de Cindy.

Ça c'est une machine. C'est la première machine.
Cindy.

Qui parle sexe, gigote sexe, mange céréales-sexe, disserte sexe, se meut sexe, ventre-sexe du soir au matin, existe par sexe et discours-sexe. Jusqu'à ce qu'elle se trouve, probablement, une autre identité d'ici quelques années.
Cindy veut avoir l'air d'une figure héroïque au milieu de ses discussions de salon sur le sexe.
Cindy aurait voulu avoir un papa.


Alors parlons de Jacques.
Jacques, de même, s'est branché à une machinerie. Qui l'occupe jour et nuit. Qui le définit. PARCE QU'IL FAUT SE DEFINIR. Sinon on n'est rien. Du moins on en a l'impression. Une flaque. Quelque-chose de gris, qui n'est plus qu'une fonction mathématique. Alors Jacques lui, s'est branché à la haine. Il hait. Il a perfectionné cette haine à travers des milliers de textes, où il lui fait atteindre des sommets paroxystiques. Mais si l'on parle de Jacques, il faudrait aussi parler de Stue, et c'est un peu long. En plus le sujet Jacques est récurrent.

Il y a aussi ceux branchés à eux-mêmes. Non pas à un sujet. À eux-mêmes. Ils sont leur propre machine. Ils tournent en autarcie. Ils font des analyses de leurs propres oeuvres, ils écrivent leur biographie alors qu'ils ne sont même pas morts. Mais ça aussi, ça c'est pour plus tard. Ce n'est pas intéressant. C'est courant. C'est à cause du silence dans lequel ils vivent.

Non, ce qu'il faut découvrir, ce qu'il faut découvrir ce qu'il faut découvrir, dit C.P., ce qu'il faut découvrir c'est : que sont devenus les humains qui ont perdu leurs machines ? Qui sont devenus leurs pièces-à-vivre ? Le temps s'est durci autour d'eux. Plus rien n'a eu de saveur. Les machines des autres se sont mises à faire des cliquetis déroutants. Tristes à en pleurer. Jusqu'à ôter l'envie d'une machine pour soi, jusqu'à devenir une masse, un paquet sans qualité particulière, sans volonté d'accomplissement, sans stratégies ni inventions ni simulations.

(Brûler des rats, les bouffer, pense C.P.)

JE FLAIRE TA BOUCHE OUVERTE EN TREMBLANT.

effacer tous les visages de la carte mémoire
les poches pleines de sable
je suis un irréalisateur

Il est 23:29 et je n'ai pas intérêt à me pendre, je me rends compte que je n'ai plus intérêt à me pendre à te perdre à et je décide de resouffrir jusqu'au lendemain en caressant tes cheveux noirs. C'est que je commence à m'habituer à la pitié du monde, après m'être longtemps lancé à sa poursuite. Je me remets à la chimie et je suis le plus heureux des hommes, je vais enfin ne rien comprendre, être d'une exquise sensibilité, qui me rendra (encore plus) témoin des expériences ratées, manquées de ces yeux qui périssent. Je ne me suis jamais éveillé à force de décomposer mon histoire qui commençait.

J'aime une machine précieuse qui cause à voix basse. Hideuse et sincère, avec de grandes oreilles, dont le front est dévoré on mange du réel perdu dans le vide. On sait compter. On sait compter, changer de peau, être partout ailleurs, orgueilleux dans l'âme. Renverser nos idées pour l'imitation. Être superstitieux d'égoïsme, d'un éclat ridicule. En harmonie avec nos entrailles.



//// hystereodrome ////
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boîteuse

retour des vrilles, des fêles
ces prolégomènes des cubes
again

s'accommoder de glitches
car la vie n'est pas lisse comme un drone


retour aux mots
aux abois, bulles
(trans)lucides au-dessus
de l'indolence, océans
denses d'alibis
et d'autres billevesées,
humides étendues
de décadences débiles
Je veux vous parler lorsque vous dormez.
Je veux vous parler lorsque vous conduisez.
Je veux vous parler lorsque vous baisez.
Je veux vous parler lorsque vous mangez.
Je veux vous parler lorsque vous ne pensez à rien.
Je veux vous parler lorsque vous regardez une série.
Je veux vous parler lorsque vous marchez.
Je veux vous parler lorsque vous vivez.
nous sommes la pierre vivante au coeur de l'étoile



___/MORTISLE ELYTRION/____
awkwardized hop

4.0.1-erreur


combien poursuivi par la tragique des cubes
débités ici en fines lamelles afin de
  • mettre terme (mise aplat de l'obsessose)
  • révéler leur cœur-core-carré (c3)
  • constater en leur claie qu'ils
                      sont eux-mêmes faits de la même matrice
                      qui fait l'infinité de leur immanence, etc.
P1200602
ctmod

reclenche

hey grinder, tu mates un peu les morphes que t'as foiré depuis que tu foutres queude ? je crus que tu t'en débattais sévère des pourléchages d'ambiance, mais big-re je carre pas un clou à ce que tu synthes dans tes dévers de trames, mal moralées au demeurant. rabine-toi, plisseteplé, on en reveut de tes insanies à la déblarre, de tes trucs-de-broc, de tes cybranchées ratire-deliques.

l'impression de corner du derche, c'est pas qu'une. alors, baltance, en paspli comme d'habe, qu'on bistre un peu par cy-duc. et tâche d'en rattirer touffère, du prune-velu : faut que ça s'agrège dans le coletas, les ondées de fous, c'est bien connu, ça calcine la neuvrose et fait fleuvrir la riglance. d'où la manque, niveau pléthore...
DelphiDelirium

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Bienvenue sur mon blog spécialisé dans des livres rares, des livres exigeants
qui ont tous une énorme qualité : ils peuvent vous faire changer de vie.
Ces livres ont fait l’objet d’une sélection rigoureuse, je les ai tous lus
et choisis parmi des centaines d’autres.
-|| MutastaZ ||-

soreilles guines
pleurent sortes de lames larmées
tristes 500

j'ai les yeux pulses, aux aguets, le front bombé d'irradiances
à force d'avorter des vers dans l'oeuf -
veux dès lors parler comme un microprocesseur
drexerd

newch

pas d'écharpieuses dents à l'entrée, tu glisses
puis alors tout luit/sonne comme grille crâne, grille vie
car seulement t'avale et torture en digère doucereuse