i n v i d a t i o n    v5

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__ lab transmedia numérique __ grappe de cerveaux connectés __ multiprocessing poétique __ zone de scrypt.#rt __

__ avec __
g.cl4renko
Mathias Richard
Nikola Akileus
Awkwardist

__ arrière-plan __
compendium invidation_v[<5] avec AC Hello, g.Cl4renko, Mathias Richard, Awkwardist & Nikola Akileus

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__ digital transmedia lab __ brain cluster __ poetic multiprocessing __ scrypt.#rt area __

__ featuring __
g.cl4renko
Mathias Richard
Nikola Akileus
Awkwardist

__ background __
compendium invidation_v[<5] feat. AC Hello, g.Cl4renko, Mathias Richard, Awkwardist & Nikola Akileus


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webscrypted by atomeases __ powered by PluXml
now on hystereodrome
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Mushin
R3PLYc4N
Jim Delarge
Tajiaphragm / Memory 3
Ichtyor Tides


°the°birth°of°Stan3°





le pendant vert du monde, il
  • a
    • la pudeur quantique du blackout
    • le souffle du vent vinyle








fEEEEEEEEEEEEEEEEEEEd

réduisez vos pensées
pensées miniatures

les putes mutantistes, elles sont phéroménales

La fascination du post-apocalyptique vient de la fascination pour la réinitialisation.
Si seulement nous pouvions tout reprendre depuis le début.

"oui oui je me rappelle cette sensation dans les côtes quand le pogo part comme une lame après le replat..."

les insectes connaissent-ils le sommeil ? rêvent-ils ?

[personnages rendus en temps réel, et arrière-plans précalculés]

Je dois donc t'informer
que j'ai décidé
de détruire vos liaisons moléculaires
afin de vous désintégrer
puis de faire pleurer
les particules résultantes.

"Oh ! Putain ! J'ai cliqué sur Cyanure au lieu d'attaquer..."

elle est très perturbée de la tête

Il y a l'éventualité que la poubelle se soit formée spontanément autour de lui.

Sa petite amie imaginaire a rompu avec lui.

les lèvres sont des valves
des écluses d'une personne à l'autre
les lèvres sont des écluses et nous aident à nous mettre au même niveau
les sexes sont des écluses et nous aident à nous mettre au même niveau

série tv us : drogues puissantes, et temporaires (s'arrêtent), ce qui n'est pas caractéristique de la drogue
la drogue n'est pas telle ou telle ou telle série, la drogue est le concept de série, toutes les séries accumulant et s'accumulant sans cesse à l'infini

Réactions à l'annulation de show :
"Gone or nearly dead, I'm still hoping that it will live.
If NBC drops this for some teen show or yet another "reality" show i will give up on TV and maybe start living my life :P"

"On dirait que je vais avoir plus de temps libre l'an prochain...rolleyes."

Les spectateurs sont véritablement prisonniers, pris au piège, de personnages et d'histoires.

La phrase suivante est fausse. La phrase précédente est vraie.

Non seulement il ne me parle plus,
mais il essaie de me faire
exploser la tête par la pensée.

Je me plaignais des blagues de Grant.
- De ses blagues ?
- Des idées lumineuses. Des doigts dans mon café, des boites crâniennes en guise de bols, il cachait mon stylo dans un œsophage.

quelqu'un m'a volé mon sang

il faut que j'accélère mon sang
qu'il tourne plus vite dans mon corps

la drogue abstraite ne laisse aucune trace dans le sang

sentir, ressentir, puis cristalliser, formuler



Un nouveau corps pousse autour d'un organe abandonné.



°the°birth°of°Stan3°









Laisse des petites taches au milieu de ses phrases (sans importance), n'est plus le même homme, est recouvert d'une tapisserie en très bon état, fout le camp tous les matins dans un horizon grisâtre ponctué de paroles bizarres, confond son visage avec une fiction, tous les matins son visage est une fiction et s'ouvre sans bruit sur les boulevards et ressemble à quelque chose comme des tiges de fleurs emmêlées, tous les matins il presse des boutons et personne ne vient lui ouvrir, tous les matins il est sur les dents, s'inspectant minutieusement, se frappant l'intérieur de coups quasi imperceptibles, marchant main dans la main avec un malentendu interminable, incliné en avant de façon très inquiétante.



back in business, huh ?







Ce serait comme une trajectoire. On est une trajectoire. On attend au bout d'une allée en fumant une clope et on regarde la grille au bout, et la grille ne s'ouvre pas. Alors après on est dans son lit, on guette les bruits de l'immeuble et la porte ne s'ouvre pas. Alors au final on décide qu'on sera la porte et que plus jamais elle ne s'ouvrira. On sera moins emmerdé. Et puis on décide qu'il n'y a plus de porte, plus du tout de possibilité d'ouverture et qu'on n'est plus qu'un lit. Et on fume. On est infiniment plus soulagé. Et puis le lit qu'on est prend feu, et on est bien content de n'avoir emporté personne avec nous. Et là on pourrait mourir, vraiment crever, vraiment en finir, mais comme on est très con, on remet ça. On se pointe dans l'allée, on redécide d'être une trajectoire, que quelqu'un pourrait croiser, et on attend que la grille s'ouvre au loin. On fume clope sur clope. Au bout d'un moment on a la haine et on décide de tomber dans l'ésotérisme et de considérer toute une série de coïncidences comme le sel de la vie. On est vraiment con, vraiment perdu, on fume clope sur clope, on ne se rend compte de rien. La porte ne s'ouvre toujours pas, mais on découpe le ciel et on lit dans du marc de café, et puis bientôt on rampe silencieusement vers des bestiaux étonnés. Et puis bientôt on est agités de mouvements passionnés. Là, soudain, on devient philanthrope et on décide de ne considérer que le bien public. En fumant clope sur clope. On est aimable et discret, en sifflant des chimères. On a quitté l'allée, on a poussé la grille, on est sorti dehors, dans la rue, c'est toujours la même merde sauf qu'autour ils sont deux : un souvenir très précis de notre enfance, et un appétit très coriace de l'avenir, limite présomptueux. On est moins seul. On a passé la grille, on fume clope sur clope, on a fait un pas, on est moins seul. Moins con. Moins carcasse.

Le lendemain, on se dirige d'un pas enthousiaste vers le boulevard. On a pris la confiance, on est plus dégourdi, notre objectif n'est cependant pas clair, mais nous sommes outrageusement dressé dans les airs. Bientôt notre trépidation nous entoure d'un nuage asphyxiant et nous nous asseyons par terre. Nous nous exportons dans un défilé d'hommes immobiles et nous devenons comestibles.



prayer4(+1)death





suBrept-YSH





renâcler toujours re
me regarde l'inanité
dû de réclamer se
mais ne puisse après
que regretter de



au bout d'un moment, vouloir se retrouver, se ressourcer,
est dangereux, car alors on risque de s'apercevoir qu'il
ne reste plus rien de soi, et qu'il n'est plus possiblen de "se"
retrouver, de retrouver quoi ou qui que ce soit.
il n'y a plus personne, ni quoi que ce soit, à retrouver

vivre coûte cher
mourir aussi

les seins s'ouvrent en yeux

EREINTIQUE ###4

montre-dents
remotely queued voire not shared
qu'épingler sinon la lenteur ,se blacklister ,fermer ses ports
aux attaches effilochées ,engrenages de dérives

« nébuleuse, nébuleuse, nébuleuse »
,balbutiait-elle encore cette foutue pénombre – à verse
trace-moi une nébuleuse ,quelque chose comme le vide ,l'invidation
irradiante qu'une spectrométrie pourrait faire plus que propension oooooh



- dessiner un plan de La ville ;
- acheter des bières vertes ;
- reprendre les cours de drones (plonger davantage dans le Troum) ;
- échafauder une rythmique en lieu et place d'une déception ;
- s'y tenir.


louche : Bastien + 8.6





P1200602

inVidé par saihtaM :: 08042012