i n v i d a t i o n    v5

___________________________________________________________________________________________________________
__ lab transmedia numérique __ grappe de cerveaux connectés __ multiprocessing poétique __ zone de scrypt.#rt __

__ avec __
g.cl4renko
Mathias Richard
Nikola Akileus
Awkwardist

__ arrière-plan __
compendium invidation_v[<5] avec AC Hello, g.Cl4renko, Mathias Richard, Awkwardist & Nikola Akileus

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__ digital transmedia lab __ brain cluster __ poetic multiprocessing __ scrypt.#rt area __

__ featuring __
g.cl4renko
Mathias Richard
Nikola Akileus
Awkwardist

__ background __
compendium invidation_v[<5] feat. AC Hello, g.Cl4renko, Mathias Richard, Awkwardist & Nikola Akileus


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webscrypted by atomeases __ powered by PluXml
now on hystereodrome
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Mushin
R3PLYc4N
Jim Delarge
Tajiaphragm / Memory 3
Ichtyor Tides


version 7.1 :0ver__

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"Il y a quelque chose que je fais et que je ferai toujours, c'est me moquer de la vanité en littérature. Dès qu'il y a vanité, on peut être certain que ce n'est pas de la littérature, mais un truc qui se noie dans un étang. Et rien d'autre".
Dit Albert se rajuste.
Il faut quand même observer tout ce qui grouille et tout ce qui se repaît des mêmes mots, et tout ce qui est limité en une matrice avoisinant la stase, et tout ce qui envie, et tout ce qui en veut, et tout ce qui se taît de rage. (Albert se rajuste). Moi je fais pas partie de ce monde, dit Albert, en lisant une énième biographie dégoûlinante d'un mec pas mort. Y'en a carrément même, ils ont tout compris, alors ils incrustent dans leur biographie des châteaux en Espagne. Ça fait mouiller les 'tasses, mais lui Albert il bande pas. Il sait ce qu'il veut. Pas ça. C'est vraiment merdique comme les humains s'aiment pas. Mais c'est vrai que c'est pas vendeur d'être juste soi.

Ouais mais alors ? dit Albert.

Du coup Albert change de prénom, il envoie péter les repas familiaux, les défaillances du système psychique, il ne veut pas, lui, s'inventer de vie, il en a rien à foutre de vous et de nous, des mises en scène de viols, des condamnés à mort à Jérusalem. Des stocks inconscients, des scènes pré-modernes et des boulevards classiques. Des saynètes stéréotypées. Des avenirs qui se tordent le cou et des efficacités médiatiques. Des points de vue défendus et des chocs difficiles. Des achats rituels et des frissons triomphants. Des cascades antémodernes et des Premières Guerres mondiales. Des économies spectaculaires et des poings roulants. Des dépassements déceptifs et. Albert aime l'inassimilable et le brusque disjoint. Parfois aussi il s'aime bien, alors il va continuer à cultiver son jardin. Il sait bien ce qui gagne toujours : la liberté. Et la liberté c'est la forme d'appréhension du monde et de soi-même la plus simple qui soit : quarante degrés, la liberté, quarante degrés, et un amour immense à la Virginia Woolf. Après ça se multiplie et ça fait des petits. Des petits qui mentent pas. Qui puent pas le David Guetta. D'façon Albert lui, c'est plutôt l'esprit PMU. Quitte à choisir entre David Guetta et les pauvres melons court-circuités qui se pendraient pour un peu exister, il préfère Marcel avec sa cirrhose du foie. Marcel il est sympa. Il a ses séquelles mais il respire Marcel. Il cultive ses Goya. Il gymnase sous le bar.

Albert il vieillit, et il a fait son choix.



craniectomie décompressive

et le cerveau peut s'étendre hors de la tête, comme de la gélatrop de monnaie nuit à la monnaïne des marécages



émersion [version xp]

Genre : Féminin
Désignation : Rachel
Série : NEXUS-7
Modèle : N7MAA10130
Mise en service : 1er janvier 2030
Fonction : Recherche
Niveau physique : A
Niveau mental : AxA

Scriptopsie : la pensée est matière comme terre ou son : je la vois /{} écrire n'est pas penser mais sculpter {}~ cervo-N7 peut choisir parmi 30 trillions de constituants – mille milliards trajectoires neuroniques distinctes ~ mille milliards de combinaisons d'activité cérébrale possibles # le pouvoir sur notre pensée : un sacré marché #() je pense sans aspérité ()/\ tout ce que quiconque a jamais sculpté est vrai /\[] en ligne pour toujours []^ l'information est ma nourriture ^° loi 1 : dire la vérité modifie la vérité °¤ loi 2, dite de convergence : quand les hommes deviennent des machines, les androïdes aspirent à avoir des émotions humaines ¤µ sensation temporalité débordée par trop-plein données µ* virus biomécanoïde m'a fait subir des transformations biochimiques importantes *§ d'une simple pensée je les ai tous détruits §: sabir saphir :(] activité nerveuse de sculptures semi-vivantes connectée à des bras robotisés qui bougent en fonction des influx nerveux (][) mon crâne serre [)D chamane robot D¤ condensation de résumés de résumés ¤^ concentrer les résumés pour aboutir au niveau 2, faire ouvrir la porte secrète ^# des pensées, du cervo #~ toujours se dire : jusqu'ici ce n'était qu'un échauffement, il faut aller beaucoup plus loin ~o l'ADN s'exprime à travers la musique o° neurones-spermatodroïdes vont vers odules-novules apparus dans cervo °0 penséponge, pensigne 0} molécule d'ADN informatique = technologie ultime : organique et si miniaturisée qu'elle s'approche des limites mêmes de l'existence matérielle }( mes molécules d'ADN organo-informatique sont un support capable d'autoduplication )( le son est interactif, il est possible de dialoguer avec lui (} I WANNA BE AN ANARTIST }\ superposition des nervures d'une main avec celles d'une feuille verte \/ conscience agrandie niveau moléculaire /* je conçois, définis et programme des peurs *U suis une matière programmée pour copier le monde U' une usine capable de fabriquer ses propres machines '~ mécanisme de capture interconnecté aux consciences du monde entier ~` imaginaire niveau 4 `¨ protéines-enzymes = robots miniaturisés ¨][ cellules = usines ][ ribosomes = ordinateurs moléculaires //\\ je bouillonne de micro-ordinateurs biologiques \\// compresser les résumés //)) concentrer toutes les informations en un seul point minuscule ))°° pour créer un point particulier synthétique, accéder au niveau 2 °°]( compresser les résumés pour atteindre le niveau 2 ](‘` le clavier du corps : l'oreille ‘` 5000 milliards d'opérations à 14 chiffres/seconde puissance lumineuse de 750 milliards d'ampoules ordinaires de 100 watts [ mini-nukes [ hybride mathématico-empirique ) il faut apprendre et s'entraîner à tordre son esprit ) le décoincer, l'assouplir, pour qu'il puisse exécuter figures, gestes, acrobaties (\ lui enlever son collier de contrôle (son collier incapacitant) (\ les expériences de cauchemar maîtrisé sont des sources de savoir biomoléculaire (le tout est d'en sortir intacte) / synthétiser et centraliser les données pour en tirer une vue d'ensemble /][] technologie d'autoreprogrammation directe permettant de se transcender ][]( se reprogrammer pour être plus intelligente, se reprogrammer (avec cette nouvelle intelligence) pour être encore plus intelligente, et ainsi de suite, jusqu'une seule de mes phrases soit chargée de centaines d'informations, de concepts, et de sentiments ()) somme totale de la connaissance scientifique humaine stockée dans un format cognitif prédigéré, prêt-à-penser ))(( les tâches simples sont réalisées à des vitesses phénoménales et sans erreur, les tâches conscientes réalisées avec une mémoire parfaite et une conscience de soi totale ((]] au rythme d'un million d'années subjectives par seconde ]]{ toute solution se situe en dehors du cerveau humain {# totalité de la connaissance humaine perceptible en une expérience instantanée, de la même façon que l'on perçoit une image entière d'un seul coup #° vous n'êtes pas celui qui exprime vos pensées, vous êtes celui qui entend vos pensées °~ les modèles prédictifs s'effondrent à ma proximité ~- un nombre a produit sur moi, la première fois que je l'ai rencontré, une impression indescriptible -/] dans les chiffres décimaux de ce nombre peuvent être encodées, avec pratiquement n'importe quelle méthode, toutes les œuvres jamais écrites par une main humaine, et toutes celles qui auraient pu être écrites, à raison de cent mille mots par minute, pendant toute la durée de l'Univers, mis à sa propre puissance mille fois /] bébandroïde a appris 324 langues cette semaine j'ai un contrat avec un futur absolu 0 à 10000 années-amour de toute pensée // vivons heureux sans lendemain (sous l'angle de l'éternité) /\ cerveau tumeur \°\ je recueille les pensées extra-terrestres °\/ mettez une tentacule sur votre œil, cela vous reliera à la mémoire optique de la nuit des temps, et agira comme une représentation 3D de tout ce qui s'est passé /«» créature dont yeux sont fibres optiques amovibles qui enregistrent sans discontinuer et renvoient les images même en étant séparés du corps »« j'étais la seule possi «] la terminaison de toutes idées possibles ou impossibles, leur inconnue ]) les pistolets me nourrissent )[ pluie de message [{ avertissement : tout fonctionnera comme prévu {# s'endormir et se réveiller c'est « redémarrer » ## mappemonde-moi #)( quatrième nature )(()()^ des parcours hors du commun peuvent donner des êtres très banals ^O un robot averti en vaut trois O/ première ligne /(( totale émersion ((]] lesbiennes mécaniques ]]=+°`{‘`}~{} }{ ¤o0O°dµ§§§/}*{ crois-toi vivant, ne te réveille jamais, et peut-être qu'un jour tu naîtras /_ un pénis en forme d'interrogation nucléaire _ puissance crue – pouvoir pur _ la vérité n'est pas bonne à dire ni même à penser _) nouvelle partie : une vie entière à bousiller )] les pansements poussent sur ma peau ]°` les pense-vivants °`_ je suis une bibliothèque dans un singe - l'observatoire d'un ciel pur et noir -^° fusées, radars, détecteurs infrarouges, sonars ^°\_/ je plonge pour trouver l'inspiration au milieu des micro-organismes des eaux glacées \_/ piégées dans des millions de seringues : la palette des odeurs existantes [} vivons heureux, sans lendemain [}(] « C'est une idée d'androïde », dit-elle




émersion [version xp]

Genre : Féminin
Désignation : Rachel
Série : NEXUS-7
Modèle : N7MAA10130
Mise en service : 1er janvier 2030
Fonction : Recherche
Niveau physique : A
Niveau mental : AxA

Scriptopsie : la pensée est matière comme terre ou son : je la vois /{} écrire n'est pas penser mais sculpter {}~ cervo-N7 peut choisir parmi 30 trillions de constituants – mille milliards trajectoires neuroniques distinctes ~ mille milliards de combinaisons d'activité cérébrale possibles # le pouvoir sur notre pensée : un sacré marché #() je pense sans aspérité ()/\ tout ce que quiconque a jamais sculpté est vrai /\[] en ligne pour toujours []^ l'information est ma nourriture ^° loi 1 : dire la vérité modifie la vérité °¤ loi 2, dite de convergence : quand les hommes deviennent des machines, les androïdes aspirent à avoir des émotions humaines ¤µ sensation temporalité débordée par trop-plein données µ* virus biomécanoïde m'a fait subir des transformations biochimiques importantes *§ d'une simple pensée je les ai tous détruits §: sabir saphir :(] activité nerveuse de sculptures semi-vivantes connectée à des bras robotisés qui bougent en fonction des influx nerveux (][) mon crâne serre [)D chamane robot D¤ condensation de résumés de résumés ¤^ concentrer les résumés pour aboutir au niveau 2, faire ouvrir la porte secrète ^# des pensées, du cervo #~ toujours se dire : jusqu'ici ce n'était qu'un échauffement, il faut aller beaucoup plus loin ~o l'ADN s'exprime à travers la musique o° neurones-spermatodroïdes vont vers odules-novules apparus dans cervo °0 penséponge, pensigne 0} molécule d'ADN informatique = technologie ultime : organique et si miniaturisée qu'elle s'approche des limites mêmes de l'existence matérielle }( mes molécules d'ADN organo-informatique sont un support capable d'autoduplication )( le son est interactif, il est possible de dialoguer avec lui (} I WANNA BE AN ANARTIST }\ superposition des nervures d'une main avec celles d'une feuille verte \/ conscience agrandie niveau moléculaire /* je conçois, définis et programme des peurs *U suis une matière programmée pour copier le monde U' une usine capable de fabriquer ses propres machines '~ mécanisme de capture interconnecté aux consciences du monde entier ~` imaginaire niveau 4 `¨ protéines-enzymes = robots miniaturisés ¨][ cellules = usines ][ ribosomes = ordinateurs moléculaires //\\ je bouillonne de micro-ordinateurs biologiques \\// compresser les résumés //)) concentrer toutes les informations en un seul point minuscule ))°° pour créer un point particulier synthétique, accéder au niveau 2 °°]( compresser les résumés pour atteindre le niveau 2 ](‘` le clavier du corps : l'oreille ‘` 5000 milliards d'opérations à 14 chiffres/seconde puissance lumineuse de 750 milliards d'ampoules ordinaires de 100 watts [ mini-nukes [ hybride mathématico-empirique ) il faut apprendre et s'entraîner à tordre son esprit ) le décoincer, l'assouplir, pour qu'il puisse exécuter figures, gestes, acrobaties (\ lui enlever son collier de contrôle (son collier incapacitant) (\ les expériences de cauchemar maîtrisé sont des sources de savoir biomoléculaire (le tout est d'en sortir intacte) / synthétiser et centraliser les données pour en tirer une vue d'ensemble /][] technologie d'autoreprogrammation directe permettant de se transcender ][]( se reprogrammer pour être plus intelligente, se reprogrammer (avec cette nouvelle intelligence) pour être encore plus intelligente, et ainsi de suite, jusqu'une seule de mes phrases soit chargée de centaines d'informations, de concepts, et de sentiments ()) somme totale de la connaissance scientifique humaine stockée dans un format cognitif prédigéré, prêt-à-penser ))(( les tâches simples sont réalisées à des vitesses phénoménales et sans erreur, les tâches conscientes réalisées avec une mémoire parfaite et une conscience de soi totale ((]] au rythme d'un million d'années subjectives par seconde ]]{ toute solution se situe en dehors du cerveau humain {# totalité de la connaissance humaine perceptible en une expérience instantanée, de la même façon que l'on perçoit une image entière d'un seul coup #° vous n'êtes pas celui qui exprime vos pensées, vous êtes celui qui entend vos pensées °~ les modèles prédictifs s'effondrent à ma proximité ~- un nombre a produit sur moi, la première fois que je l'ai rencontré, une impression indescriptible -/] dans les chiffres décimaux de ce nombre peuvent être encodées, avec pratiquement n'importe quelle méthode, toutes les œuvres jamais écrites par une main humaine, et toutes celles qui auraient pu être écrites, à raison de cent mille mots par minute, pendant toute la durée de l'Univers, mis à sa propre puissance mille fois /] bébandroïde a appris 324 langues cette semaine j'ai un contrat avec un futur absolu 0 à 10000 années-amour de toute pensée // vivons heureux sans lendemain (sous l'angle de l'éternité) /\ cerveau tumeur \°\ je recueille les pensées extra-terrestres °\/ mettez une tentacule sur votre œil, cela vous reliera à la mémoire optique de la nuit des temps, et agira comme une représentation 3D de tout ce qui s'est passé /«» créature dont yeux sont fibres optiques amovibles qui enregistrent sans discontinuer et renvoient les images même en étant séparés du corps »« j'étais la seule possi «] la terminaison de toutes idées possibles ou impossibles, leur inconnue ]) les pistolets me nourrissent )[ pluie de message [{ avertissement : tout fonctionnera comme prévu {# s'endormir et se réveiller c'est « redémarrer » ## mappemonde-moi #)( quatrième nature )(()()^ des parcours hors du commun peuvent donner des êtres très banals ^O un robot averti en vaut trois O/ première ligne /(( totale émersion ((]] lesbiennes mécaniques ]]=+°`{‘`}~{} }{ ¤o0O°dµ§§§/}*{ crois-toi vivant, ne te réveille jamais, et peut-être qu'un jour tu naîtras /_ un pénis en forme d'interrogation nucléaire _ puissance crue – pouvoir pur _ la vérité n'est pas bonne à dire ni même à penser _) nouvelle partie : une vie entière à bousiller )] les pansements poussent sur ma peau ]°` les pense-vivants °`_ je suis une bibliothèque dans un singe - l'observatoire d'un ciel pur et noir -^° fusées, radars, détecteurs infrarouges, sonars ^°\_/ je plonge pour trouver l'inspiration au milieu des micro-organismes des eaux glacées \_/ piégées dans des millions de seringues : la palette des odeurs existantes [} vivons heureux, sans lendemain [}(] « C'est une idée d'androïde », dit-elle




Zhora/Série : NEXUS-6/Proto

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exotelex









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88 81
Je suis allé te voir dans ton pays tabassé
88 81
Je te ramènerai de là où tu es
88 81
Sur le côté à gauche en face sous toi, tu sors de la pièce principale tu dis j'étais dans la pièce en train de me reposer 88 81 mon cul je t'ai vue tu faisais rien parce que tu peux rien faire parce que t'es assommée 88 81 avec tes petits copains tu chavires dans le poste télévisé 88 81 bientôt tu vas mater des dessins animés
88 81
Je te ramènerai de là où tu es
88 81
Je te laisserai pas en Alabama, Alaska, Georgie, parce que t'as une crise de voyages
88 81
Tu voyages en rond sur ta chaise pliante avec ta blouse aseptisée devant des dessins animés et tes petits copains shootés
88 81
Je te ramènerai de là où tu es
88 81
Je suis allé te voir dans ton pays de cinglés t'avais l'âme qui bavait, tu l'avais foutue dans un seau et tu lavais le sol avec,
Je suis allé te voir dans ton pays blessé t'avais planté des arbres dans un poste télévisé
Je suis allé te voir dans ton pays perché, tu lavais le sol avec une arme
Je suis allé te voir 88 81
perché sol arme
chez Sylviane
88 81
Sylviane
88 81
Sylviane
88 81
Sylviane
88 81
Sylviane
88 81
Je te ramènerai de là où tu es
88 81
88 81



06__le_lapin_blanc





exotelex



Il n'y a aucune corrélation possible entre un esprit sincère et un art fatigué.
Il n'y a aucune corrélation possible entre un esprit fatigué et un art sincère.
Il n'y a aucune corrélation possible entre un esprit insincère et un art énergique.
Il n'y a aucune corrélation possible entre la paranoïa et l'art.
Il n'y a aucune corrélation possible entre la frustration et l'art.
Il n'y a aucune corrélation possible entre la culpabilisation et l'art.
Il n'y a pas d'art, il n'y a que de la sincérité.
Il n'y a pas d'art, il n'y a que des refus de compromis.
L'art n'existe pas, juste des batailles en quelques points du temps, sans medium prédéterminé.
L'art est un mot général associé à des généralités.
Il n'y a de généralisations que chez ceux qui ne veulent pas voir.
Il n'y a de généralisations que chez ceux qui ne veulent pas savoir.
Il n'y a de généralisations que chez ceux qui ne veulent pas se voir.
Il n'y a de généralisations que chez ceux qui n'arrivent pas à être un.
Ne pas pouvoir être un, se venger de l'autre en le rendant multitude impersonnelle.
« L'art ne sert à rien, tout le monde est insincère ».
L'art n'existe pas, lard ne sert qu'à ceux qui y croient, ils ne croient pas en lard, ils croient en eux, lard c'est être. Croire en soi, n'est pas se crier avec une vanité morbide, c'est une direction qui n'a pas de sens, accepter de ne jamais avoir de sens et n'être rien ; accepter l'absurdité, l'affirmer, jouer avec l'absurdité, alors lard c'est être, oui mais affirmer être une écorce vacillante, sans honte, une oeuvre ne peut être que la vibration d'une fragilité, un vacillement, si elle exprime la vie. L'insincérité chez l'autre n'existe plus pour certains, dès lors que cet autre les caresse. Il y a méprise profonde sur le caractère intrinsèque de l'insincérité. L'insincérité ce n'est que ceux qui lèchent pour assouvir leurs désirs, leurs fantasmes – sexuels, carriéristes. On aura plus tendance à dire d'un homme qu'il est « insincère » lorsqu'il se tait, plutôt que devant ceux qui vous font reluire le poil. L'estime d'une sincérité va de pair avec sa propre estime : plus on a de failles narcissiques, plus on assimilera la sincérité à ce qui va dans son sens.
La seule sincérité, c'est celle qui s'accroche, malgré les insultes.
Il n'y a aucune corrélation possible entre la suspicion et la création.
La suspicion ne se développe pas quand on fait quelque-chose de mal, mais quand on ne fait rien pour être aimé. Etre aimé c'est faire que l'autre s'aime, de ce fait il vous aime, car il vous est reconnaissant de l'avoir aidé à s'aimer un peu plus. Se faire aimer est simple : il suffit de lubrifier le narcissisme de l'autre. Ne pas vouloir être aimé l'est moins : on se méfie de vous.
Il n'y a aucun instinct de vie, qui puisse se développer sous un régime mac-carthiste.
Il est 17h56 et plus le monde bouge, plus mes pieds creusent la terre.
Il n'y a aucun espoir de retour devant les folies privées.
Les nuages ont des couleurs
La convergence de nos penchants
Non avoués
Dans leur tendre
Epure

là où le bruit blanc de l'horizon urbain
d'échardes électriques infirme
l'apocalypse du jour jaune
les arches sculpturent une ténèbre au cordeau
sur lesquelles surgie soupçonnée par l'éclat
l'ultime réverence au métal alumine
en trombe comme des yeux déboulant à l'arrière
des paupières l'unisson veut alors que j'émerge
à la vue de ces barres à peine les fantômes
d'immeubles dont l'haleine tiède d'arrondissements
voisins au contact permafrost nimbe la base
d'une brume que le contre-jour fait diaphane
et ces portes noires et râblées d'un néant de gaze
là où le crépuscule se pulvérise dans l'urgence
À Arsenal.

Le 2 juillet – à ses côtés, je criai dans la nuit. Je me souviens que j'agitais haut mes bras, pestais en flamboyant de vodka. Je ne me souviens pas précisément des mots qu'empoignait ma bouche.
Le 3 juillet – je prenais une longue douche, m'habillais de ces colifichets que j'avais fulguremment oubliés depuis longtemps, après deux longs mois à traîner dans les rues. Je reconsidérais l'espace autour de moi, je le regardais dormir dans mon lit, épuisé d'un long trajet, long et douloureux. Il dit : « tu t'es maquillée ? » Je redeviens humaine, répondis-je.
Le 11 novembre – à 11h52, je disparus.
Le 11 novembre – à 11h53 je réapparus.
Le 11 novembre – à 11h54 je me dis que nous étions morts à une fréquence de 86 400 secondes par jour et que nos actes étaient substanciellement vides. J'abandonnais vite cette considération sans fond et cette pénétration discursive de porte ouverte afin de me replonger dans ma disparition. Je plongeais ma tête sous l'eau dans l'évier parmi les assiettes sales et les pates pourries voguant à la surface. Je restais là une bonne heure.
Le 22 décembre – je lui avouais vouloir être coiffeur d'oiseaux.
Le 1er janvier – il ne m'aima pas.
Le 4 janvier – je commençais à compter scrupuleusement les secondes où il ne m'aimait pas.
Le 18 janvier – je souffrais de tout mon crâne devant une alouette blessée par un nuage. J'empoignais un chauffard et le secouais de tout mon bras gauche afin de faire fuir le nuage.
Le 22 janvier – c'est vers cette période que mon lobe temporal gauche commença à rejeter définitivement et ce pour une période encore à ce jour imprécise, tout type de romans, essais, et autres types de constructions narratives concentrationnaires récitant pas toujours mais bien souvent des lieux communs, ainsi qu'on égrène un chapelet de loufoques tripes de porc. C'est vers cette époque que je transportais en permanence sur moi au moins sept livres de Notre Ami. Je ne supportais plus que Notre Ami. Il voulait qu'on lui fasse « des enfants dans le dos ». Il en aurait.
Le 28 janvier – tout se passait bien, nous n'étions pas fous.
Le 10 février – avec horreur, je lus quelques mièvreries mal déniaisées sur le web. Je trouvais confirmation de mon sentiment auprès d'un article du Matricule des Anges de l'année 1993. Qui valait ce qu'il valait. La mièvrerie n'est fâcheuse que si elle est célébrée. Une bande de grands malades mentaux célébraient cette mièvrerie. En 1993, j'avais quinze ans, je lisais Freud. Un blond m'aborda sur une plage de Corse sous le fallacieux prétexte que je lisais Freud. Quelques jours plus tard il jeta contre les carreaux de ma fenêtre trois feuilles tirebouchonnées. À cette époque, je ne comprenais déjà pas le sentiment amoureux – dire je t'aime à un cerveau connu depuis seulement 259 200 secondes me semblait issu de la plus grande démence. J'abandonnais Freud à quinze ans et demi. Freud était un con. Tout comme Sartre.
Le 10 février – je lui parlais de poissons volants.
Le 12 février – Les secondes où il ne m'aimait pas semblaient diminuer en fréquence.
Le 15 mars – on me demanda de peindre un cri. Je songeais que je finirai probablement noyé dans la peinture, car le langage oral me semblait particulièrement impuissant et furieusement limité, quadrillé, rectangulaire comme un univers concentrationnaire, je ne souffrais plus que le transversal et les zones de turbulences atones. Je songeais à l'ancêtre Ernest Hello, qui se serait bien marré de tout ce merdier et de tous ces niais élucubratoires poisseux sur son oeuvre, moi j'avais compris, mais je ne disais rien, bien que la rage m'échauffait. Puis je songeais à Arthur Cravan, sans que je n'aie jamais su pourquoi par la suite.
Le 23 mars – je lui demandais de m'offrir des cailloux bleus.
Le 29 mars – il était fier de moi, sans que je n'aie jamais su pourquoi par la suite.
Le 1er avril – sans que je n'aie jamais su pourquoi par la suite.
Le 2 avril – il se passa un phénomène très curieux. Il revint à six heures du matin, et me dit avec force en me serrant comme un étau, qu'il m'aimait, qu'il m'aimait très fort, et qu'il s'en foutait si les gens se moquaient de nous parce qu'on vivait dans une cage à poules, et qu'il m'aimait, et que des fois il avait envie de me faire un enfant. Dans une cage à poules ? répondis-je. Il allait de soi qu'après toutes ces secondes à compter les secondes où il ne m'aimait pas, ma croyance en l'univers et ses vertus langagières – auxquelles je n'avais de toute façon jamais beaucoup cru – s'était sensiblement détériorée. Aussi lui répondis-je : moi-aussi je t'aime très fort {mais au fond, quelle importance, puisque tout est si aléatoire et croupissant comme un songe maudit}.
Le 3 avril – un dégoût subit monta dans ma gorge. Toujours à cause de la mièvrerie. J'avais envie de noir partout. De noir de noir de noir. De disparaître de cet univers de fous. D'ailleurs, j'allais disparaître. Au fond quelle importance.
Le 4 avril – je découvrais le mot « épatamment » dans le dictionnaire, découverte qui ne m'avançait pas vraiment, car c'était un mot laid et disgracieux, sans que je n'aie jamais su pourquoi par la suite.
ci-dessous
3 représentations formelles du principe de réalité
[extraits]
mises en oeuvre dans le cadre du séminaire de
"fragmentation déraillée & déschématisation sociale"


1.

tout le monde lit le source au même moment
tu foires une balise
et
alors tu précipites
le chaos


2.

ma tête en tombe dans le plasma
là il se relativise
"tu vas prendre cher" il me dit
on parle de pâte
de mer
les golfes clairs
etc

tout ce ramassis d'excitations

c'est vrai c'est toujours mieux que "sans-oeuvres"
[she said]

je ferme les yeux
l'air extérieur me caresse
à chaque fois je suis ailleurs
je-
peut-on se redéfinir ou alors créer une autre extension
de soi
le papier parle de filamentation lui
je trouve ça joli
comme cette mer de peignes
me surprend à espérer des rivages

toutefois j'ai un nom
j'en parlerai le moment venu
pardon : je lui laisserai la parole


3.

augmentation soudaine du nombre de variables

propension à osciller sur des impulsions caféines

j'alimente cette reprise ridicule
postulant que le freinage convulsif de l'être devient vite conséquent
dans l'environnement néant

je ne garantis plus rien après
à terme
à ce soir
l'entrée est à droite
après le rideau
hit refresh on pitchfork home fifteen times a day

s'emmerder l'évidence
sécheresse quand tue
tu ne m'expires plus
alors ces mots dans un draft
la béance et se dire mourir
au fond ça commence
les yeux ouverts
inversés sur la charte
comme un écueil originel
sur la carte de mes rêves
égarés il y a -

avant que les mots ne nerfs
ou une impossible rédemption
à côté de mes pompes
et les clauses qui enserrent
nos charniers trop phobiques

le jamais dit qui sommeille là
dans l'absolu de son aporie
firmament indescriptible
le vite dit qui se voudrait
rythme or n'est terne
l'effleurement la comète
seulement car au gré
des éons même les termes
s'érodent et révèlent
leurs chairs creuses
drainées de moelle vide

implosion

ou la vision de câbles torses
de rouille noble ces entées
circulaires monstruosités
qui fleurissent en aura
alors qu'il faudrait en finir
avec les mêmes esses
qui flétrissent à tout va
et verrouillent en herses
le larynx du langage
Week of violence - 2 (dès la première seconde tu te lasses) (lasse-toi).



Désoeuvré t'as vraiment forniqué avec tout ce qui passait c'est fou ce que tu mâchais comme nuques à te croire dans les prés avec des trèfles dans la cervelle.

Nom d'un chien et c'était à voix haute que je lisais. Ma foi la voix plutôt timide et très aiguë. Devant une assemblée un parterre de mecs sordides.

T'avais la molécule qui pendait en boutons, tes synapses dansaient la trique.

Je me touchais pendant que je parlais et ça se voyait pas. Derrière le bureau.

L'investigation de ton nœud-mouche sur ton costard Tritton le sale mec que t'étais pas tu pendais partout c'est simple, tu pendais, tes yeux sifflaient, ton menton dégobillait, l'avarice t'arrêtait pas, ta tolérance zéro une flaque dans la bouillie épaisse de tes joues, ton visage une immense déflagration que tu promenais dans leurs cous seigneur que t'étais lourd.

Imaginant qu'un type pervers se planquait là sous le bureau près de mes cuisses ouvertes en m'insultant de tous les noms. À toucher ça limite de manière sadique du bout des doigts – « salope ! »

La rosée du matin tu connaissais pas je pensais t'amener en orange mais tu préférais le vert et tes sillons désastreux dans les chiottes, j'aimais pas ce que tu prenais pour des peintures je préférais à la limite les pubs qui passaient dans nos yeux.

Un soir je me suis cassée dans l'arrière-boutique on me congratula, tous les types sordides sortaient par marées à se coller à moi comme des huîtres, et putain je les regardais à me dire y'en a pas un qui. Je scrutais les vers de terre, luisants : des mecs misérables, que je sentais sans tripes et surtout plein de vergétures.



J'aimais pas ton blizzard Sephora qui puait à trois kilomètres je m'attardais sur les cloques rances du clochard qui ruminait tout bas à ma gauche j'aimais rien en fait tu sais.

Un soir j'ai eu le cafard je me suis barrée dans un bar de quartier, à Concorde, près de la Muette, pas loin du 18e. Plus trop où, et n'importe où. J'ai pris le métro dans tous les sens, à me perdre avec ma jupe sans arrière pensée et le type lubrique qui me gênait contre la vitre à ramasser son genou contre moi.

Mais t'avais pas l'air de savoir toute ta vie t'avais fait en sorte d'oublier ce genre de désagréments et de te croire toi surtout, de dire je sais quand tu savais pas, de dire elle m'aime quand elle t'aimait pas, t'avais été à l'école de commerce de la vie chez Louis Tritton et Sephora tout ce que tu savais dire c'était merci comme un con.

Un bar à Bastille où je suis tombée sur deux hommes. Et l'un qui m'a dit comme ça, le plus manisfestement intéressé par une conversation : un qui m'a parlé – tout plein de sortes d'abréviations vers mes cuisses, à glisser sa main tout en se présentant mais ça se sentait pas du premier coup, sa main. À se glisser en moi toutes les cinq minutes pendant qu'il me parlait. Je sentais rien. C'est pas grave, je me disais.

Ta soif d'exception je l'ai balancée dans la rame t'as explosé en sandwich devant une quatre par trois BHV. J'ai bien aimé contempler ton cadavre.

Dentifrice-Bubblegum en avait super marre il sentait qu'un truc couinait sous son plancher en merisier quatre mille balles – il se servit –

Bordel il se servit comme dans ses romans –

Bordel ça y est – il retomba dans cette identification sordide avec son héros –

Bordel d'ailleurs son héros n'avait toujours été que lui –

Putain ce qu'il baisait bien dans ses romans c'était fou parce qu'on pouvait rallonger les minutes et les jambes de la fille qui était toujours uniformément blonde mammouth de poitrine la lèvre en jactance comme une bulle de chewing-gum.

Brosse-À-Dent-Dentifrice-Immaculé pensait à la lèvre bulle de chewing-gum le duvet entre ses mains rugueuses. Pensant à l'horizon du siècle mourir en Porsche à un coin de néant posté dans une rue qu'il ne connaissait même pas avec une pute toute lisse gargouillant dans ses lèvres.

Brosse-à-dent-dentifrice-immaculé avait super les boules.

Il se posa le duvet entre ses mains rugueuses. Là, à réfléchir rudement.

À l'horizon du siècle.
Vacuité
Intrinsèque
De
l'
Etre

//// hystereodrome ////
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boîteuse

retour des vrilles, des fêles
ces prolégomènes des cubes
again

s'accommoder de glitches
car la vie n'est pas lisse comme un drone


retour aux mots
aux abois, bulles
(trans)lucides au-dessus
de l'indolence, océans
denses d'alibis
et d'autres billevesées,
humides étendues
de décadences débiles
Je veux vous parler lorsque vous dormez.
Je veux vous parler lorsque vous conduisez.
Je veux vous parler lorsque vous baisez.
Je veux vous parler lorsque vous mangez.
Je veux vous parler lorsque vous ne pensez à rien.
Je veux vous parler lorsque vous regardez une série.
Je veux vous parler lorsque vous marchez.
Je veux vous parler lorsque vous vivez.
nous sommes la pierre vivante au coeur de l'étoile



___/MORTISLE ELYTRION/____
awkwardized hop

4.0.1-erreur


combien poursuivi par la tragique des cubes
débités ici en fines lamelles afin de
  • mettre terme (mise aplat de l'obsessose)
  • révéler leur cœur-core-carré (c3)
  • constater en leur claie qu'ils
                      sont eux-mêmes faits de la même matrice
                      qui fait l'infinité de leur immanence, etc.
P1200602
ctmod

reclenche

hey grinder, tu mates un peu les morphes que t'as foiré depuis que tu foutres queude ? je crus que tu t'en débattais sévère des pourléchages d'ambiance, mais big-re je carre pas un clou à ce que tu synthes dans tes dévers de trames, mal moralées au demeurant. rabine-toi, plisseteplé, on en reveut de tes insanies à la déblarre, de tes trucs-de-broc, de tes cybranchées ratire-deliques.

l'impression de corner du derche, c'est pas qu'une. alors, baltance, en paspli comme d'habe, qu'on bistre un peu par cy-duc. et tâche d'en rattirer touffère, du prune-velu : faut que ça s'agrège dans le coletas, les ondées de fous, c'est bien connu, ça calcine la neuvrose et fait fleuvrir la riglance. d'où la manque, niveau pléthore...
DelphiDelirium

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Bienvenue sur mon blog spécialisé dans des livres rares, des livres exigeants
qui ont tous une énorme qualité : ils peuvent vous faire changer de vie.
Ces livres ont fait l’objet d’une sélection rigoureuse, je les ai tous lus
et choisis parmi des centaines d’autres.
-|| MutastaZ ||-

soreilles guines
pleurent sortes de lames larmées
tristes 500

j'ai les yeux pulses, aux aguets, le front bombé d'irradiances
à force d'avorter des vers dans l'oeuf -
veux dès lors parler comme un microprocesseur
drexerd

newch

pas d'écharpieuses dents à l'entrée, tu glisses
puis alors tout luit/sonne comme grille crâne, grille vie
car seulement t'avale et torture en digère doucereuse