i n v i d a t i o n    v5

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__ lab transmedia numérique __ grappe de cerveaux connectés __ multiprocessing poétique __ zone de scrypt.#rt __

__ avec __
g.cl4renko
Mathias Richard
Nikola Akileus
Awkwardist

__ arrière-plan __
compendium invidation_v[<5] avec AC Hello, g.Cl4renko, Mathias Richard, Awkwardist & Nikola Akileus

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__ digital transmedia lab __ brain cluster __ poetic multiprocessing __ scrypt.#rt area __

__ featuring __
g.cl4renko
Mathias Richard
Nikola Akileus
Awkwardist

__ background __
compendium invidation_v[<5] feat. AC Hello, g.Cl4renko, Mathias Richard, Awkwardist & Nikola Akileus


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webscrypted by atomeases __ powered by PluXml
now on hystereodrome
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Mushin
R3PLYc4N
Jim Delarge
Tajiaphragm / Memory 3
Ichtyor Tides
se raser les dents

heu...




l'herbe pousse sur la peau du gazon sur la peau
je cultive un jardin sur ma peau
un jardin de yeux

Tu étais l'air dans mes poumons,
le sang dans mes veines,
la lumière dans mon oeil,
et à présent, cet air a disparu.

Ce sang
et cette lumière ont disparu.
Et je ne suis plus
qu'une voix.

Tout cela, c'était l'air dans mes poumons,
A présent, cet air a disparu.
Et je ne suis plus
qu'une voix.

Tout ce que j'aimais, c'était l'air dans mes poumons.
A présent, cet air a disparu.

Toutes les réalités commencent à se réunir dans le meme espace. rajeunir
Et que nous arrivera-t-il quand tout sera dans le meme espace ? Tout implosera.
(J'essaie de dénouer cette merde.)

= C'est une coordonnée en quatre dimensions.

C'est lui le seul qui a le potentiel, et la tête... pour créer une chose pareille.
Et, si c'est le jeu de quelqu'un, ce n'est pas un jeu très propre.
Ce sont des pièces de vitesses de temps variables.
Tu ne te rappelle pas de ce truc qui te changea en viande hachée, Geoffroy ?
Ici se croisent des réalités parallèles alternatives (je crois que dans une autre réalité, ça a mal tourné pour nous).

- Et comment on en sort ?
- Jeanne, c'est un jeu. Il n'y a pas de fin heureuse.

- C'est vrai, tu crois que c'est un rêve ?
- Bien sur. Dans la réalité, je ne t'embrasserais pas.

Il est hors controle, il est instable.

des mouches en formes d'empreintes digitales
des mouches tatouées d'empreintes digitales humaines
des mouches tatouées en empreintes digitales humaines
des bouts de doigts, des empreintes digitales humaines, volent comme des mouches
des mouches tatouées en empreintes digitales humaines
de meurtriers
la police poétique des cauchemars

les gens sans problèmes sont pour moi mystérieux comme la surface lisse d'un lac
les gens lisses et sans problèmes sont pour moi mystérieux comme la surface lisse des lacs
(plane)

meurt le matin et tue la nuit

plus c'est taré plus c'est bon

je vais te prendre sous mon aile ma petite c

écrire après la littérature

j'aimerais savoir pourquoi mon psychisme m'impose de telles tortures

peine de vie, espérance de mort

j'ai
dans la peau
des déchirures
j'ai des déchirures dans la peau
j'ai des déchirures dans la tête

ça fait cinq ans que je fume la même cigarette
j'ai étalé ma première cigarette sur cinq ans

un coeur brisé boîte ?
un coeur brisé bat comme n'importe quel coeur

je suis exactement le genre de fille que je déteste
je suis exactement le genre de mec que je déteste
je suis exactement le genre de gars que je déteste

Je suis le genre de mec que je déteste.

je suis agressif, passif et teigneux

Agressif, passif et teigneux, je suis exactement le genre de mec que je déteste.

"je suis laura simon, agressive, passive et teigneuse"

ennami

elle est pas tolérante avec les gens pas tolérants

nos têtes sont des windows 95 bourrés de bugs, de vers et de virus
nos têtes sont des pc préhistoriques sous DOS, qui plus est bourrés de bugs, de vers et de virus
nos têtes sont des pc préhistoriques sous DOS, nos rares éclairs et capacités entrav&s de bugs, de vers et de virus
qd je chante j'ai des larsens dans la tête

Le noir devient blanc, les Écritures deviennent fiction, votre planète se vaporise au lieu d'être solide,
et caetera.

"lumineux treillis de logique se déroulant dans le vide incolore..."

programme préhistorique ayant survécu à la réinitialisation mondiale

réactions électro-chimiques en chaîne

le goût des écrans de contrôle

mon rouge à lèvres contient un programme destiné à scanner ton cerveau

modèle du cerveau-machine, selon lequel son fonctionnement se réduit à un système d'entrées-sorties de signaux électriques simulant la perception du monde

quand un personnage virtuel prend possession d'un esprit réél

se brancher sur une machine en train de rêver

se brancher sur un humain en train de rêver

la machine se branche sur un humain en train de rêver et pète un plomb

le soleil est rentré par tes yeux et est sorti par ta bouche
(dans un rire)

les absents ont toujours tort mais les morts ont toujours raison.
[= les vivants sont présents ?]

j'veux fumer dla musique !
je fume la musique je fume de la musique

je suis de bonne bonne nuit ce matin !

la cité des travaux perpétuels

on les mange comme des mouches

plus vrai que mature

cavalier téléphone

la meilleure attaque c'est la défense ?

Nihîle de France

j'entends les gens, dans la rue. ils rient, ils parlent fort. ils ne savent pas pour invidation.

rss blues (notes en pure perte ou peut-être)
?s de collision frontale a décrochage d'un degré :voir ces vaines ~ cliquetances & calvities pulluler :noyaux fétides ,bulles d'un bain bacille ,gerbe lisse [...puis vu un homme-sandwich à moitié mangé] ,l'idée d'une littérature (voire d'une mouvance artistique) de l'interpolation ,localisable1 entre le réel et l'imaginaire fantasmé ,territoires in explorance .en morphose ,en dé-synthétisation ,puis re- …

1 -able :car en fuite ,référentiel fuyant ,toujours vers ,f(((t)))

En étude : un paquet d'organes brouillons, au milieu duquel une vive douleur m'élance. Jour 44 : je ne sais toujours pas ce que j'ai. Ma souris marche mal, moi-même je marche mal, tout déconne, notamment le U. J'arrive à atteindre quelques lieux déserts (aujourd'hui par exemple assassinés de soleil et d'une chaleur coulante, abrupte) où des silhouettes de chats faméliques se découpent brutalement sur fond de hangars métalliques. J'ai traité quelques souvenirs (trois aujourd'hui exactement) sans bien savoir si tout cela allait me mener quelque-part, ni si même ça allait intéresser les autres - quoique depuis longtemps, en vérité, et même si on ne s'en détache jamais tout à fait totalement, j'ai cessé de vouloir intéresser les autres. C'est difficile pour moi d'arpenter comme autrefois la ville oblique, je tâte mes poches - vides - je porte à mes lèvres des verres - vides. C'est difficile pour moi, de continuer sans rien - sauf moi. Difficile d'envisager que mon corps puisse se débrouiller seul, sans béquilles.

je t'avais pas dit, l'autre nuit, les crabes aussi étaient là, juste sous la fenêtre. le ciel s'en diluait, depuis la moire de leurs coquilles, marécages. j'écrasai, un, puis tous
d'un commun
arpège,
alors
leurs biles d'entre
les fissures les vantaux viscères vertes
à même la moquette qu'on avait suintée
leurs pinces petits bras roses échafauds

puis
les toits à pluie, gouttières du jaune - et les monstres nocturnes vers,
dérivèrent

je voulais plus savoir,
au réveil

Mute (soon still)


je t'avais pas dit, l'autre nuit, les crabes aussi étaient là, juste sous la fenêtre. le ciel s'en diluait, depuis la moire de leurs coquilles, marécages. j'écrasai, un, puis tous
d'un commun
arpège,
alors
leurs biles d'entre
les fissures les vantaux viscères vertes
à même la moquette qu'on avait suintée
leurs pinces petits bras roses échafauds

puis
les toits à pluie, gouttières du jaune - et les monstres nocturnes vers,
dérivèrent

je voulais plus savoir,
au réveil

À Arsenal.

Le 2 juillet – à ses côtés, je criai dans la nuit. Je me souviens que j'agitais haut mes bras, pestais en flamboyant de vodka. Je ne me souviens pas précisément des mots qu'empoignait ma bouche.
Le 3 juillet – je prenais une longue douche, m'habillais de ces colifichets que j'avais fulguremment oubliés depuis longtemps, après deux longs mois à traîner dans les rues. Je reconsidérais l'espace autour de moi, je le regardais dormir dans mon lit, épuisé d'un long trajet, long et douloureux. Il dit : « tu t'es maquillée ? » Je redeviens humaine, répondis-je.
Le 11 novembre – à 11h52, je disparus.
Le 11 novembre – à 11h53 je réapparus.
Le 11 novembre – à 11h54 je me dis que nous étions morts à une fréquence de 86 400 secondes par jour et que nos actes étaient substanciellement vides. J'abandonnais vite cette considération sans fond et cette pénétration discursive de porte ouverte afin de me replonger dans ma disparition. Je plongeais ma tête sous l'eau dans l'évier parmi les assiettes sales et les pates pourries voguant à la surface. Je restais là une bonne heure.
Le 22 décembre – je lui avouais vouloir être coiffeur d'oiseaux.
Le 1er janvier – il ne m'aima pas.
Le 4 janvier – je commençais à compter scrupuleusement les secondes où il ne m'aimait pas.
Le 18 janvier – je souffrais de tout mon crâne devant une alouette blessée par un nuage. J'empoignais un chauffard et le secouais de tout mon bras gauche afin de faire fuir le nuage.
Le 22 janvier – c'est vers cette période que mon lobe temporal gauche commença à rejeter définitivement et ce pour une période encore à ce jour imprécise, tout type de romans, essais, et autres types de constructions narratives concentrationnaires récitant pas toujours mais bien souvent des lieux communs, ainsi qu'on égrène un chapelet de loufoques tripes de porc. C'est vers cette époque que je transportais en permanence sur moi au moins sept livres de Notre Ami. Je ne supportais plus que Notre Ami. Il voulait qu'on lui fasse « des enfants dans le dos ». Il en aurait.
Le 28 janvier – tout se passait bien, nous n'étions pas fous.
Le 10 février – avec horreur, je lus quelques mièvreries mal déniaisées sur le web. Je trouvais confirmation de mon sentiment auprès d'un article du Matricule des Anges de l'année 1993. Qui valait ce qu'il valait. La mièvrerie n'est fâcheuse que si elle est célébrée. Une bande de grands malades mentaux célébraient cette mièvrerie. En 1993, j'avais quinze ans, je lisais Freud. Un blond m'aborda sur une plage de Corse sous le fallacieux prétexte que je lisais Freud. Quelques jours plus tard il jeta contre les carreaux de ma fenêtre trois feuilles tirebouchonnées. À cette époque, je ne comprenais déjà pas le sentiment amoureux – dire je t'aime à un cerveau connu depuis seulement 259 200 secondes me semblait issu de la plus grande démence. J'abandonnais Freud à quinze ans et demi. Freud était un con. Tout comme Sartre.
Le 10 février – je lui parlais de poissons volants.
Le 12 février – Les secondes où il ne m'aimait pas semblaient diminuer en fréquence.
Le 15 mars – on me demanda de peindre un cri. Je songeais que je finirai probablement noyé dans la peinture, car le langage oral me semblait particulièrement impuissant et furieusement limité, quadrillé, rectangulaire comme un univers concentrationnaire, je ne souffrais plus que le transversal et les zones de turbulences atones. Je songeais à l'ancêtre Ernest Hello, qui se serait bien marré de tout ce merdier et de tous ces niais élucubratoires poisseux sur son oeuvre, moi j'avais compris, mais je ne disais rien, bien que la rage m'échauffait. Puis je songeais à Arthur Cravan, sans que je n'aie jamais su pourquoi par la suite.
Le 23 mars – je lui demandais de m'offrir des cailloux bleus.
Le 29 mars – il était fier de moi, sans que je n'aie jamais su pourquoi par la suite.
Le 1er avril – sans que je n'aie jamais su pourquoi par la suite.
Le 2 avril – il se passa un phénomène très curieux. Il revint à six heures du matin, et me dit avec force en me serrant comme un étau, qu'il m'aimait, qu'il m'aimait très fort, et qu'il s'en foutait si les gens se moquaient de nous parce qu'on vivait dans une cage à poules, et qu'il m'aimait, et que des fois il avait envie de me faire un enfant. Dans une cage à poules ? répondis-je. Il allait de soi qu'après toutes ces secondes à compter les secondes où il ne m'aimait pas, ma croyance en l'univers et ses vertus langagières – auxquelles je n'avais de toute façon jamais beaucoup cru – s'était sensiblement détériorée. Aussi lui répondis-je : moi-aussi je t'aime très fort {mais au fond, quelle importance, puisque tout est si aléatoire et croupissant comme un songe maudit}.
Le 3 avril – un dégoût subit monta dans ma gorge. Toujours à cause de la mièvrerie. J'avais envie de noir partout. De noir de noir de noir. De disparaître de cet univers de fous. D'ailleurs, j'allais disparaître. Au fond quelle importance.
Le 4 avril – je découvrais le mot « épatamment » dans le dictionnaire, découverte qui ne m'avançait pas vraiment, car c'était un mot laid et disgracieux, sans que je n'aie jamais su pourquoi par la suite.
je t'avais pas dit, l'autre nuit, les crabes aussi étaient là, juste sous la fenêtre. le ciel s'en diluait, depuis la moire de leurs coquilles, marécages. j'écrasai, un, puis tous
d'un commun
arpège,
alors
leurs biles d'entre
les fissures les vantaux viscères vertes
à même la moquette qu'on avait suintée
leurs pinces petits bras roses échafauds

puis
les toits à pluie, gouttières du jaune - et les monstres nocturnes vers,
dérivèrent

je voulais plus savoir,
au réveil

"i do not want this"

j'ai vu cet envol comme mille défenestrations spontanées
une falaise de verre sur la peau
[au moment de l'en-gouffre palingénésie]
sur les murs jusqu'à pierre
on essuiera nos os

quelqu'un a écrit "géhenne" sur l'alphanumérique
et aujourd'hui une particule paranoïde
boucle probabiliste dans quelque cellule
capitonnée
et me murmure encore

j'aurais bien vu son sang noir remplir les sondes fêlées de l'envers gris cellulose
//// hystereodrome ////
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boîteuse

retour des vrilles, des fêles
ces prolégomènes des cubes
again

s'accommoder de glitches
car la vie n'est pas lisse comme un drone


retour aux mots
aux abois, bulles
(trans)lucides au-dessus
de l'indolence, océans
denses d'alibis
et d'autres billevesées,
humides étendues
de décadences débiles
Je veux vous parler lorsque vous dormez.
Je veux vous parler lorsque vous conduisez.
Je veux vous parler lorsque vous baisez.
Je veux vous parler lorsque vous mangez.
Je veux vous parler lorsque vous ne pensez à rien.
Je veux vous parler lorsque vous regardez une série.
Je veux vous parler lorsque vous marchez.
Je veux vous parler lorsque vous vivez.
nous sommes la pierre vivante au coeur de l'étoile



___/MORTISLE ELYTRION/____
awkwardized hop

4.0.1-erreur


combien poursuivi par la tragique des cubes
débités ici en fines lamelles afin de
  • mettre terme (mise aplat de l'obsessose)
  • révéler leur cœur-core-carré (c3)
  • constater en leur claie qu'ils
                      sont eux-mêmes faits de la même matrice
                      qui fait l'infinité de leur immanence, etc.
P1200602
ctmod

reclenche

hey grinder, tu mates un peu les morphes que t'as foiré depuis que tu foutres queude ? je crus que tu t'en débattais sévère des pourléchages d'ambiance, mais big-re je carre pas un clou à ce que tu synthes dans tes dévers de trames, mal moralées au demeurant. rabine-toi, plisseteplé, on en reveut de tes insanies à la déblarre, de tes trucs-de-broc, de tes cybranchées ratire-deliques.

l'impression de corner du derche, c'est pas qu'une. alors, baltance, en paspli comme d'habe, qu'on bistre un peu par cy-duc. et tâche d'en rattirer touffère, du prune-velu : faut que ça s'agrège dans le coletas, les ondées de fous, c'est bien connu, ça calcine la neuvrose et fait fleuvrir la riglance. d'où la manque, niveau pléthore...
DelphiDelirium

Oa eelebrs at similCbbet (WhatWorld)

Venet (acqCanonicarum)

ibMPaOlymm

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Bienvenue sur mon blog spécialisé dans des livres rares, des livres exigeants
qui ont tous une énorme qualité : ils peuvent vous faire changer de vie.
Ces livres ont fait l’objet d’une sélection rigoureuse, je les ai tous lus
et choisis parmi des centaines d’autres.
-|| MutastaZ ||-

soreilles guines
pleurent sortes de lames larmées
tristes 500

j'ai les yeux pulses, aux aguets, le front bombé d'irradiances
à force d'avorter des vers dans l'oeuf -
veux dès lors parler comme un microprocesseur
drexerd

newch

pas d'écharpieuses dents à l'entrée, tu glisses
puis alors tout luit/sonne comme grille crâne, grille vie
car seulement t'avale et torture en digère doucereuse